Jean Bodin

d’aujourd’hui, un Dijon d’autrefois.   « J’eus bientôt déblayé le Dijon des quatorzième et quinzième siècles, autour duquel courait un branle de dix-huit tours, de huit portes et de quatre poternes ou portelles, — le Dijon de Philippe-le-Hardi, de Jean-sans-Peur, de Philippe-le-Bon et de Charles-le-Téméraire, avec ses maisons de torchis à pignons pointus comme le bonnet d’un fou, à façades barrées de croix de Saint-André ; avec ses hôtels embastillés, à étroites barbacanes, à doubles guichets, à

Chapitre 1 : Les grandes fonctions économiques L K Après la Production (Y) I - La Production (Y) Pourquoi produire ? Le travail humain, une analyse de Jean Fourastié (L) Questions : Quelles sont les idées principales de ce texte qui permettent à Fourastié de construire son raisonnement ? Expliquer la phrase soulignée. Comment à partir du texte définir le rationnement et la rareté ? Proposer une

étatique. Le concept émerge pour la première fois avec Jean Bodin dans « Les Six livres de la République ». Il ne recouvre en effet aucune notion de la législation romaine : ni l' « imperium », qui désigne une simple « puissance de commandement militaire », ni la « summa potestas », qui se rapporte à un « pouvoir de vie et de mort », ne synthétisent ce vaste ensemble dit conceptuel. Cette absence de précédent est donc mis en évidence par Jean Bodin : « Il est ici besoin de former la définition de la

à cette question, nous verrons d’abord que la naissance de l’Etat peut être une naissance consentie, issue de la société ou bien au contraire que l’Etat s’impose par la force. La première théorie concernant la naissance de l’Etat est celle de Jean-Jacques Rousseau, bien que celle ci ne soit pas la première émise dans l’ordre chronologique c’est celle qui rencontre le plus de partisans. Pour lui un Etat ne peut naitre que la manière institutionnelle, c’est à dire par un contrat social, un accord

social (1762). Jean-Jacques Rousseau. L’Etat a été employé la première fois par MACHIAVEL en 1515. C’est une entité politique (c’est une personne morale) qui permet d’incarner un pays du point de vue politique sur le plan interne ou internationale. Pour qu’un Etat existe, il doit avoir un peuple sur un territoire donné dirigé par un pouvoir organisé. Ce pouvoir est exercé par le gouvernement. La souveraineté est une autorité supérieure qui a été définie pour la première fois par BODIN en 1576 dans

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très simplifiée. Au fil des siècles, le mercantilisme se forment petit à petit en utilisant les « usages et bonnes pratiques » de la théorie mercantile. Elle opte, plus tard, des formulations plus élaborées (cf celle systématisées en France par Jean-Baptiste Colbert, le colbertisme). Durant ce temps, une littérature se répand dans les nations européennes : -le bullionisme : Espagne, préconisant l’accumulation de métaux précieux. -le colbertisme : France, faisant de l’Etat un promoteur actif dans

Section 1 : La souveraineté de la loi Les Six Livres de la République : Ouvrage traduit dans toutes les langues, Jean Bodin a été amené à traduire son ouvrage en latin. Jean Bodin a eu une énorme audience en France, et il a défini la souveraineté en le taillant sur mesure pour le Roi de France. Jean Bodin a donné quatre caractères à la souveraineté qui correspond à un système monarchique : - la souveraineté appartient au Roi, ce n’est pas le peuple qui a accordé la souveraineté du Roi. Cette

La souveraineté, démocratie directe et représentative Jean Bodin (16e) dans le traité des Six Livres de la République définit la souveraineté en parallèle à la République. Selon lui, le souveraineté est «  un pouvoir de commandement, une puissance ultime de l’État, comme la puissance de donner ou de casser la loi  », c’est «  la puissance absolue et perpétuelle d’une République  ». De façon plus générale, la souveraineté est l’autorité suprême, la compétence des compétences. La notion de souveraineté

loi selon Jean-Jacques Rousseau « Un républicain dépend-il de quelque chose ? De la loi. Et de quoi encore ? De la loi. Mais que reconnaît-il au-dessus de lui ? La loi. Toujours la loi, rien que la loi et jamais autre chose ? Toujours la loi, rien que la loi, et jamais autre chose ». Cette citation du Catéchisme républicain à l'usage des sans culottes de l’an II est une bonne illustration de la doctrine de Jean-Jacques Rousseau. La loi apparait primordiale, au-dessus de tout. Jean Jacques Rousseau