Jean Carbonnier

Jean Racine, Britannicus (1669) Molière, Les fourberies de Scapin (1671) Molière, Les femmes savantes (1672) 1°)Dans les trois scènes, nous sommes au tout début de la pièce. C'est a dire la scène première du premier acte. Jean Racine, Britannicus, acte I, scène 1 (1669) Dans la première scène, le texte A, Racine identifie quatre personnages, deux femmes et deux hommes, cependant, seulement les deux femmes sont actives et forment la conversation. Cette situation se déroule à Rome dans une

Jean de La Bruyère, Les Caractères Chapitre V, « De la société et de la conversation», 7 (1688) (portrait intégral) Intro La Bruyère fait partie des Anciens. Il s'inspire de Théophraste de qui il traduit ses Caractères. Moraliste, il ne développe pas une esthétique relative à l'écriture mais par rapport à la société et à la conversation. Ce caractère s'adresse à tous les Honnêtes Hommes et s'inscrit dans une polémique du XVIIè siècle : le combat contre les Précieux (à l'instar de Molière) et notamment

Corpus Le corpus met en relation trois textes théâtraux ainsi qu’une photographie. La première pièce est un extrait de la scène d’exposition de Beaumarchais intitulé Le Mariage de figaro publiée en 1784. Le document B est une œuvre de Jean Cocteau publié en 1934 appelé La Machine infernale. Ensuite, le troisième texte de théâtre est un passage de l’acte I d’Oh les beaux jours de Samuel Beckett édité en 1961. Enfin le dernier document est une photographie d’Yves Borrini qui est une représentation

Jean Anouilh est un écrivain et dramaturge français, né le 23 juin 1910 à Bordeaux (Gironde) et mort le 3 octobre 1987 à Lausanne (Suisse). Son œuvre théâtrale commencée en 1932 est particulièrement abondante et variée : elle est constituée de nombreuses comédies souvent grinçantes et d'œuvres à la tonalité dramatique ou tragique comme sa pièce la plus célèbre, Antigone, réécriture moderne de la pièce de Sophocle. Anouilh a lui-même organisé ses œuvres en séries thématiques, faisant alterner d'abord

et ES Objet d’étude : Écriture poétique et quête du sens, du Moyen Âge à nos jours Corpus : Texte A : Joachim Du Bellay, « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil… », sonnet 150, Les Regrets, 1558 (orthographe modernisée) Texte B : Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion », Fables, livre I, 6, 1668 Texte C : Paul Verlaine, « L’enterrement », Poèmes saturniens, 1866 Texte D : Arthur Rimbaud, « À la musique », Poésies, 1870 TEXTE A - Joachim

Nous sommes tous d’Athènes en ce point ; et moi-même,Au moment que je fais cette moralité,Si Peau-d’Ane m’étoit conté,J’y prendrois un plaisir extrême.Le monde est vieux, dit-on : je le crois ; cependantIl le faut amuser encor comme un enfant. Jean de la Fontaine

représentée au théâtre du Palais-Royal le 28 novembre 1670. Inspirée de la Rome antique, plus particulièrement de l’histoire d’amour unissant l’empereur Titus à la reine d’une partie de la Judée Bérénice, cette pièce est contemporaine de la Bérénice de Jean Racine, représentée a l’hôtel de Bourgogne. La comparaison de ces deux tragédies inspirées par le même sujet se fit au détriment de Corneille, dont c’est une des dernières pièces. Voici les différents personnages qui composent la pièce : Titus

et Mme Roland, Pierre l’aîné qui est médecin, et Jean qui est avocat, décident de s’installer dans la nouvelle résidence familiale avec leurs parents. Une somme d’argent laissée en héritage au cadet par un ami de la famille, Léon Maréchal, renforce la rivalité des deux frères, opposés physiquement et moralement. Pierre est de plus en plus agressif avec sa famille et cet héritage devient sa seule obsession. Un soupçon naît chez Pierre : et si Jean était le fils de Maréchal ? Et par contrecoup

choses. Ex : L’arbre étend ses bras dans la nuit froide / les murs de cette maison ont des oreilles. * L’allégorie : il s’agit d’une représentation d’une idée abstraite sous une forme concrète, le plus souvent animée. Ex : Par exemple, le Lion de Jean de La Fontaine est en fait une allégorie de la monarchie * L’oxymore : c’est le rapprochement dans une même expression de deux mots de sens opposé. Ex : une belle guerre

Lion invite ses sujets a un banquet et ceux qui ne sont pas content comme l'ours. Ils les tue. | « Et tachez quelques fois de répondre en Normand » Quand on dit quelque chose il ne faut pas être trop direct. | Je pense que dans cette fable Jean de La Fontaine critique le roi car il le présente comme un tyran qui tue les gens dès qu'ils ne sont pas d'accord avec lui. | Les Souhaits | Le follet:il s'occupe du jardin des bourgeois, il va leur proposer trois souhait. Les bourgeois :