Jean Francois Dortier

Monsieur Marc Levine, Professor of History, Economic Development, and Urban Studies (University of Wisconsin-Milwaukee). Il s’est toujours montré disponible et à l’écoute tout au long de la réalisation de ce mémoire. Je tiens aussi à remercier Monsieur Jean Christophe Marcel, professeur de sociologie de la déviance ( Sorbonne Paris 4) qui a su me passionner pour la sociologie des gangs et qui m’a très bien aiguillée dans mes recherches bibliographiques. Je n’oublie pas d’adresser ma gratitude à ma famille

est le premier groupe auquel appartient l'individu et c'est en son sein qu'il commence à vivre en société. La famille est donc le groupe de base de la société. Mais qu'est-ce qu'une famille? La famille est compliquée à définir comme le souligne François de Singly, sociologue. Il explique que « la famille est produite par l’enfant ». Mais, souligne également qu’un couple non marié et sans enfants et aussi une famille. Il rajoute enfin que « Le seul noyau dur c’est la définition juridique ; mais tous

également à l’intérieur de lui-même. Il en est capable mais n’a peut-être pas toujours les moyens de le faire. Références: • Paulette Bensadon, De l’écriture aux écrits professionnels, Paris, éd. L’Harmattan, 2005, pg 15 – 19. • Jean-François Dortier, La force des histoires, Sciences humaines n°60, avril 1995, pg 12 – 13. • Jaques Trémintin, L’ « éduc » et l’écriture, Lien social n°300, 23 septembre 1999, pg 4 – 5 – 6.

sociale et médico-sociale, Animation : Colette DURNING, conseillère Technique CREAI, en présence de Sheila WAREMBOURG Témoins : M. Hervé PIGALE, Directeur du Foyer de l’Enfance et M. Nicolas BOIGEAUD, Directeur Maison d’enfants de Déols Pr  HAYEZ Jean Yves « la sexualité des enfants », aux éditions Odiles Jacob 2004 J’ai trouvé ces références bibliographiques lorsque j’élaborais mon projet d’intervention éducative. En effet aborder la sexualité chez les jeunes me semble important dans le travail

persécutions faites à ceux qui ont le malheur d’être trop gros, trop petits, de loucher ou d’avoir les dents mal plantées.(..)De l’école au travail, la sélection par le beauLe même protocole peut être appliqué aux entretiens d’embauche. Le sociologue Jean FrançoisAmadieu, professeur à

Flaubert Le cauchemar : Le Horla, Maupassant Johann Heinrich Füssli, Le cauchemar (1781) Edouard Munch, Le cri Gustave Courbet, le désespéré DS : 1h : EP : Devons-nous considérer le rêve comme une perte de temps ? BTS Blanc Document 1: Jean-François Dortier, « Quand je serai grand… », Sciences humaines, n°234, février 2012 Document 2 : Paul Auster, Brooklyn follies, Actes Sud, 2005 Document 3 : Michel Bouquet et Fabienne Pascaud, Mémoire d’acteur, Plon, 2011 Document 4: Martine Laronche, «

dans la gestion des billets de train ou d'un compte bancaire. Pour le marchand de légumes, ils n'ont eu qu'un faible impact. Et comme le secteur du commerce de détail emploie beaucoup de main-d'œuvre, cela fait baisser la moyenne globale. Jean -François DORTIER, Sciences humaines, Hors série n° 28, 2000. 1. Nouvelles technologies de l'information et de la communication. 

J Helmick Beavin, Don D. Jackson , une logique de la communication, Points essais , 1979, 277 p Nicole Aubert et Al, Management aspects humains et organisationnels, PUF, 1992, Edouard Hall, la dimension cachée, Points essais, 1978, 254 p Jean François Dortier ; Les sciences humaines , Panorama des connaissances, édition Sciences humaines, février 2009, Auxerre Louis Malabeuf , La relation soignant-soigné du discours au passage à l’acte, soins formation pédagogie, n°4, 19 92, p 4-7 Octobre 2011

Pourquoi croit-on en Dieu ? Jean-François Dortier Depuis les études pionnières de William James sur la variété des expériences religieuses, un siècle d'études sur la psychologie des mystiques, les effets psychologiques de la prière ou encore les liens entre religion et bien-être tentent d'expliquer les motifs et effets psychologiques des croyances religieuses. « Par un beau dimanche matin, ma femme et mes garçons partaient pour l'église à Macclesfield. Je me sentais incapable de les accompagner

La beauté est injuste. Elle crée des inégalités entre individus qui, bien que non dites, ont de très fortes implications sur le marché de l’amour ou sur celui du travail. Par Jean-François Dortier. On peut débattre sans fin de la beauté. La laideur, elle, est indiscutable. Dans Les Mots (1964), Jean-Paul Sartre se rappelle comme d’un véritable traumatisme le jour où, à l’âge de 7 ans, on lui a coupé les cheveux. Jusque-là, il portait une longue chevelure blonde et bouclée qui cachait un visage