Jean Juvénal Des Ursins

âgée de 4 ans, Jeanne, et la reine enceinte. L’aîné des frères du roi, Philippe, comte de Poitiers, assume alors de sa propre autorité la régence jusqu’à l’accouchement de la reine, et éventuellement, s’il naît un fils, jusqu’à sa majorité. La mort de l’enfant, Jean Ier, peu de jours après sa naissance, ouvre une succession sans descendance mâle directe. Cette situation nouvelle dans le royaume capétien se résout dans une alternative : la Couronne ira t-elle à la princesse Jeanne ou à son compétiteur

droit public : une oeuvre du temps b – Une “Providentia consuetudinis” : une oeuvre de Dieu c – Un pacte tacite entre la Famille de France et les familles de France 2 – La doctrine a – Les juristes de Charles VII : Jean de Terrevermeille et Jean Juvénal des Ursins b – Les juristes d’Henri IV : le Parti des Politiques , Pierre Pithou et la Satyre Ménipée 3 – La législation a – L’apport de la législation issue des demandes des États généraux b – L’apport de l’usage de ses attributions

D’autres artistes sont plus attaché à des princes. Il n’empêche que ces artistes répondent toujours à des commandes. I. le Gothique international (1380-1420) Très riches heures du duc de Berry : 1416 (en parie enluminées par les frères Limbourg) Jean De Lebon à des fils qui sont des princes de lys. Il a 4 ou 5 livres de prière qui sont des livres très précieux, le plus célèbre est celui ci. Ce manuscrit ne sort jamais. Ces fils ont illustré le livre toute leur vie. Berry a deux animaux emblématique :

polychrome, Rhin inférieur. (Cl13236) Saint Jean au calvaire Sculpture, bois, Flandre, fin du Xvème siècle. (Cl. 14437) Stalles de Saint-Lucien de Beauvais (les miséricordes) Beauvais, 1492 – 1500 chêne (Cl. 19603-19682) Salle ? Vierge ouvrante Prusse occidentale, vers 1400, bois (tilleul) polychrome (Cl. 12060) Dent de narval (considéré au Moyen Age comme une dent de licorne) Ivoire de narval (Cl.20202) Salle 10 La famille Jouvenel des Ursins Peinture et or sur bois, 1445 1449, Paris

Louis XI à la fin de son règne de modifier le statut de « sa » noblesse en s’inspirant expressément des modèles « ouverts » offerts par les noblesses italienne et anglaise. On pourrait aussi ajouter ce passage de la chronique attribuée à Jean Juvénal des Ursins qui envisage un destin commun aux deux noblesses, à l’occasion des troubles de 1381-1382 : « Presque par tout le royaume [de France] telles choses se faisoient et regnoient, et mesmement en Flandres et en Angleterre ou le peuple se esmeut

son fils parce qu’il n’est pas propriétaire de la couronne il n’en est que le dépositaire. De plus, Le dauphin ne peut pas refuser le trône. Même avants le traité de Troyes (qui promettait la couronne au roi de d’Angleterre), les juristes (Jean Juvénal des Ursins) vont s’attaché à justifier juridiquement ses droits avec la théorie statutaire de la couronne. le principe de continuité ou de l’instantanéité : l'Etat continue malgré le changement de la personne qui se trouve a sa tête, d’où le célèbre

sont mis d’accord pour dire que le sacre ne crée pas le roi : il n’est pas choisit par dieu, il faut se référer aux règles juridiques des lois fondamentales. La th statutaire de J de Tervermeille au moment du traité de Troyes 15ème. Ou Juvénal des Ursins, ou au 13ème Jean de Paris, et Gerson. Idée admise à l’époque médiévale. Au 18ème, quand on lit certains dictionnaires, la manière dont le sacre est présenté limite sa portée. Dico de P Guyot dit « le sacre est une cérémonie religieuse destinée entre

Droit et de Science Politique d’Aix-Marseille ________________ Centre Marseille-Canebière Licence en Droit 1ère année Division A ________________ Histoire du droit et des institutions Documents de Travaux Dirigés Cours de Monsieur le Professeur Jean-Philippe AGRESTI Année universitaire 2014-2015 1 Plan des séances de travaux dirigés du 2nd semestre : Séance 1 : Méthodologie du commentaire de texte. Séance 2 : L’affermissement de l’institution royale et le renforcement des moyens d’action

faut avoir en tête la généalogie simplifiée des Capétiens directs et de leurs cousins Valois : - Le cas de 1316 et l’exclusion des femmes - A sa mort, le 5 juin 1316, Louis X le Hutin laissait une fille, âgée de quatre ans, la petite Jeanne, suspectée de bâtardise, une épouse enceinte, Clémence de Hongrie, et deux frères, Philippe le Long, comte de Poitiers, et, le plus jeune, Charles le Bel, comte de la Marche. Philippe se proclama alors régent et convoqua une assemblée de prélats

Bellaguet éd. et trad., précédée d'une introduction de M. de Barante, Paris, Imprimerie de Crapelet, 6 vol., 1839-1855 ; reprint Paris, CIHS, 1994, t. 3, p. 748 et suiv. Sur la question plus généralement cf. en dernier lieu, D. Gervais, S. Lusignan, « De Jeanne d'Arc à Madeleine de Verchères : la femme guerrière dans la société d'Ancien Régime », Revue d'histoire de l'Amérique française, 53/2, (1999), p. 171-205. 4. « Fluxo biennali spacio », dans « L'honneur de la couronne de France ». Quatre libelles contre