Jean-Louis Borloo

enjeux industriels de celles-ci. Son objectif est de définir les voies, moyens et conditions requis pour une entrée en vigueur aussi diligente que possible des conclusions du Grenelle. QUELS SONT LES OBJECTIFS DE JEANS-LOUIS BORLOO A L’HORIZON 2020 ? Le 17/11/2008, Jean-Louis Borloo a présenté le plan exposant les 50 mesures pour le développement des énergies renouvelables à haute qualité environnementale. L'objectif du Ministre de l’écologie, de l’énergie, du développement durable et de l’aménagement

la République, - le comité de pilotage (maître d’oeuvre), qui a la responsabilité de l’ensemble du processus et en particulier du rapport final de recommandations : le Ministère de l’Écologie et du développement durable représenté par J.-L. Borlo, D. Bussereau et N. Kosciusco-Morizet. - l’instance de support méthodologique, organisationnel, chargé aussi de la mobilisation de l’information, - les instances de productions d’éléments analytiques et quantitatifs : laboratoire, bureaux

pays l’État aux élus locaux, aux professionnels et aux habitants, est mobilisée dans un nouveau projet pour les territoires, si tous les sujets et tous les modes opératoires sont décloisonnés, si tout le monde décide de passer à l’action. » Jean-Louis Borloo, ministre d’État, ministre de l’Écologie, de l’Énergie, du Développement durable et de l’Aménagement du territoire (site du Meeddat). Il n’y a pas de modèle unique, idéal et universel d’écoquartier. Il existe en revanche dans la pratique un certain

cohérents. Les chiffres clés : • 134 000 emplois dans les énergies renouvelables prévus en 2020, selon une étude de juin 2009 sur les effets du Grenelle de l'environnement sur l'emploi, réalisée par Boston Consulting Groupe (BCG) à la demande de Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Écologie. L'étude suppose la pleine réalisation des programmes du Grenelle, qui doivent permettre une réduction de 25 % des émissions de gaz à effet de serre de la France d'ici 2020 et générer environ 450 milliards d'euros

fauteurs de trouble éventuellement interpelés après des incidents sont déjà « connus » de la police auparavant. Des tentatives de discrimination positive en faveur des quartiers sensibles. Dans un article du Monde daté du 18 novembre 2003, Jean-Louis Borloo alors ministre délégué à la ville et à la rénovation urbaine en France déclarait : « La spécificité française aujourd'hui en Europe, c'est que l'arrogance républicaine nous a fait passer directement à la case « ghetto », sans passer par la case

faible. Voilà pourquoi un de ses fervents défenseurs, le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé, préfère parler de TVA "anti-délocalisation" et Manuel Valls - un des seuls favorables à cette mesure au PS - de "TVA protection". L'idée est d'aboutir avant l'élection : le sujet sera abordé avec les partenaires sociaux lors du sommet social du 18 janvier. Si, en 2007, cette mesure, évoquée par Jean-Louis Borloo avant les élections législatives, avait coûté de nombreux sièges à la majorité, le contexte

du parti. Toutefois, Patrick Braouzec et bon nombre d'élus et de ses partisans de cette tendance ont quitté le parti pour rejoindrre la Fédération pour une alternative sociale et écologique ; « Orthodoxe » (André Gerin, député-maire de Vénissieux, Jean-Claude Danglot, ex-secrétaire fédéral du Pas de Calais), environ 20% du parti aussi ; « Huiste » prônant une alliance avec le PS, c'est le courant de la direction qui pousse à l'ouverture vers le mouvement social et les autres forces de gauche, majoritaire

stigmatisant" octobre 1990 : Suite au décès d’un jeune motard lors d’une collision avec un véhicule de police, des affrontements entre jeunes et forces de police ainsi que des scènes de pillage se déroulent à Vaulx-en-Velin. Dans les nuits du 6 au 10. Le 8, Jean Poperen, ministre des relations avec le Parlement et maire de Mézieux (Rhône), estime que les raisons des incidents survenus à Vaulx-en-Velin sont "les zups inhumaines, le chômage des jeunes et une cohabitation dangereuse entre des communautés diverses"

Devoir maison d’Économie. En cette période de campagne présidentielle, Jean-Louis Borloo préconiserait à l'actuel président de la République – également candidat aux élections – d'accompagner son programme d'un nouveau pacte de croissance et d'emploi. Ces questions restent des sujets clés dans l'économie, de surcroît à l'approche des élections. La croissance étant l'augmentation soutenue de la production d'un pays pendant une période longue, celle ci est structurelle et se mesure grâce à des

parlementaires et les élus locaux, souvent interpellés par des électeurs inquiets des départs de médecins sans remplaçant, n'hésiteront pas à mettre la pression. Jeudi 22 novembre sera d'ailleurs débattue à l'assemblée une proposition de loi de l'UDI (de Jean-Louis Borloo)  visant "à garantir un accès aux soins égal sur l'ensemble du territoire", dont l'article 5 - proche de la proposition du PS - prévoit d'imposer aux diplômés d'exercer trois ans en zone sous-médicalisée. Le texte ne devrait pas être voté - une