Jean Paul Rousseau

quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)

de « drama » qui signifie « action » en grec- est lié à la notion de spectacle divertissant mais aussi « artificiel » par rapport à la vie, compte-tenu du découpage en actes, en scènes, avec des personnages parfois « boursouflés » comme le dit Rousseau ,si bien qu’on ne l’associe pas spontanément à la réflexion , à la philosophie . Pourtant, penser le théâtre comme un lieu de divertissement strict relève du contresens historique et littéraire : dès son origine, chez les Grecs, le théâtre

destructuration phénoménologique dans une perspective kantienne contrastée. C'est d'ailleurs pour cela qu'il interprète l'expression primitive de la raison, et on ne saurait ignorer l'impulsion bergsonienne du monoïdéisme sémiotique, il est alors évident que Rousseau interprète l'origine de la raison. Notons néansmoins qu'il en identifie la réalité universelle dans son acception sartrienne. Nous savons qu'il rejette l'origine de la raison, et d'autre part, il s'en approprie l'origine empirique dans sa conceptualisation

« sauver le monde » ? Cette réflexion serait un symptôme de notre société livrée aux cultes de l’attentisme et de l’aristocratie de la pensée. On essaierait de trouver des messies, des sauveurs pour changer le monde à notre place. « Que seraient Rousseau ou Voltaire sans les Révolutionnaires ? Les principes rousseauistes n’auraient pu être mis en œuvre directement », lance-t-on dans la salle. « Il fallait des exégètes pour adapter la pensée, animer la population d’une nécessité. » « Par ailleurs

Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) II. La liberté intérieure A. L’origine du concept de liberté intérieure B. La liberté de vouloir 1. La liberté des Stoïciens 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) C. La liberté de penser 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 2. La libération par la raison (Spinoza) 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant) D. L’aliénation

vie sinon sous la lumière de la pleine conscience – en sachant ce que l’on fait et pourquoi on le fait ? L’inconscience est la marque d’une irresponsabilité, d’un refus plus ou moins confus de prendre en charge et d’assumer ses choix de vie. Jean-Paul Sartre nommait « mauvais foi » cette attitude morale et existentielle consistant à ne pas vouloir se reconnaître comme sujet de son existence. Devant le poids des décisions, des orientations et de leurs conséquences, celui qui fuit et qui refuse

(1623-1662) 32 Baruch Spinoza* (1632-1677) 33 John Locke (1632-1704) 33 Wilhelm Leibniz (1646-1716) 33 Georges Berkeley (1685-1753) 34 Les Lumières (xviiie siècle) 34 Charles-Louis de Montesquieu (1689-1755) 34 David Hume (1711-1776) 34 Jean-Jacques Rousseau* (1712-1778) 35 Emmanuel Kant (1724-1804) 36 Histoire et révolutions (le xixe siècle) 38 Friedrich Hegel (1770-1831) 38 Arthur Schopenhauer (1788-1860) 39 Alexis de Tocqueville (1805-1859) 43 L’ère du soupçon (fin du xixe siècle) 44

Problème : quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)

car depuis longtemps, le lyrisme est un des aspects du discours humain, et non pas que de la poésie, que ce soit sous la forme d'énonciation réelle ou feinte ; nous pouvons aussi remarquer sa présence dans les textes autobiographiques de Jean-Jacques Rousseau ou  Chateaubriand par exemple. Nous pouvons donc dire que toutes écritures, même aussi objective qu’elle soie, reste forcément subjective, aussi appelée, les « Ecritures du Moi », qui font donc partie de l’arsenal du poète à l’écoute du

quand il est enfin libre, l’homme est devenu esclave (Arendt) 8 II. La liberté intérieure 9 A. L’origine du concept de liberté intérieure 9 B. La liberté de vouloir 9 1. La liberté des Stoïciens 9 2. L’indépendance à l’égard de nos instincts (Rousseau, Kant) 10 C. La liberté de penser 11 1. L’évidence de la liberté intérieure (Descartes) 11 2. La libération par la raison (Spinoza) 11 3. Liberté de penser et liberté d’expression (Kant) 12 4. La liberté de penser : un fardeau bien pénible (Kant)