Jean Pic de la Mirandole

« du 16e au 17e on passe du monde clos à l’univers infini » . L’homme de la renaissance a confiance en sa dignité fondée sur la raison. « C’est ton propre jugement auquel je tai confié qui permettra de définir ta nature »,Pic de la Mirandole , La dignité de l’homme . Confiance en ses propres capacités. Découverte contient américain fin 15e siècle. Indice d’un nouvel appétit de l’homme pour le monde qui l’entoure.

[pic] [pic] Exposé réalisé par Jeanne Classe 1.07 [pic] Introduction : A Florence, capitale de la toscane, au quinzième siècle, sous le pouvoir de Laurent le Magnifique, l’excellent élève de Fra Filippo Lippi, Sandro Filipepi surnommé depuis son plus jeune âge « Botticelli » (le petit tonneau) atteignit les sommets de la peinture de la renaissance. Il créa des tableaux splendides par leur légèreté et leur volupté tels que « le Printemps

Renaissance Afin de définir la notion de culture générale et sans remonter jusqu’à l’Antiquité grecque ou romaine avec la paideia et l’humanitas, on peut se référer à l’idéal humaniste de la Renaissance, représenté par un Léonard de Vinci ou un Pic de la Mirandole, le premier reconnu pour le caractère pluridisciplinaire de ses centres d’intérêt, le second étant réputé avoir été le dernier homme à posséder la totalité des connaissances humaines (en tout cas celles de l’Europe du XVe siècle). Cet idéal

peinture ne subit pas l’influence italienne. Les artistes majeurs y sont peux nombreux et le style renaissance ne s’affirme réellement vis à vis du gothique qu’à partir de la seconde moitié du XVeme siècle. Les peintres les plus représentatifs sont Jean Fouquet, Jean Clouet puis son fils François au début du XVIeme siècle qui continuera à peindre à la façon flamande, très attaché au mimétisme de la nature, avant que le maniérisme ne répande son influence sur l’Europe entière. LA RENAISSANCE CLASSIQUE

C. Dickens: Oliver Twist H. G. Wells : La guerre des mondes Et tant d’autres…Auteurs, œuvres et mouvements littérairesCite une œuvre de Jean-Jacques Rousseau Les Confessions, Rêveries du promeneur solitaire, Émile ou De l’Éducation

grande évolution vers plus de connaissances, plus de maîtrise de la nature, plus d’amour de la Beauté. Finalement, on a pas trouvé de terme adéquate. On a gardé le mot Renaissance mais à condition de lui attribuer un sens élargi. C’est celui que définit Jean Delumeau : « la Renaissance, c’est la promotion de l’Occident à l’époque où la civilisation de l’Europe a distancé les civilisation parallèle de façon décisive ». Cette avance de l’Occident n’a jamais été rattrapée. Elle a pourtant eu lieu à un moment

commanditaire fnance une oeuvre en particulier sur laquelle il est généralement nommé et/ou représenté. Elise Gantaume LPR Ampère. Il est possible de proposer ici l'étude de l'oeuvre d'un grand mécène : François 1er François Ier vers 1527 par Jean Clouet, huile sur toile, 96 × 74 cm, Paris, Musée du Louvre François Ier, le plus grand acteur de la Renaissance en France .Son mécénat lui vaudra le titre de « protecteur des arts et des lettres ». À l’époque où François Ier accède au trône, les

[pic] Histoire de la littérature française I M. Brix Syllabus pirate réalisé par Amandine D. Année académique 2008-2009 Questions des examens précédents : Juin 2006 - la poésie lyrique au M-A - le théâtre français à partir de la tragédie - la littérature "fin de siècle" - Bossuet Août 2006 - le jansénisme - le roman de la rose - Marivaux Juin 2007 - la poésie du 16e siècle - Beaumarchais - La Rochefoucauld - Scarron Août 2007 - la littérature

très efficace sur un plan pragmatique. Frère Jean des Entommeures se saisit du bâton de la croix pour défendre la récolte des raisins menacé de destruction. La préoccupation majeure de frère Jean porte sur les vendanges : si elles ne se font pas, les moines seront condamnés à l’eau claire pour des mois. C'est donc pour protéger les raisins, au nom du service du vin, et pas du tout pour défendre les bâtiments ou la communauté monastique, que Frère Jean décide de passer à l’action. « Il débezillait

1913, D. R. Lors de sa publication en 1913, Alcools reçoit un accueil mitigé dans la presse et les revues littéraires. L’ensemble des critiques, bonnes ou mauvaises, souligne l’aspect déconcertant du recueil. Certains commentateurs (Paul Léautaud, Jean Pellerin, Henri Martineau…) louent son charme singulier et ses aspects novateurs. Au contraire, l’écrivain Georges Duhamel publie une virulente critique dans la revue Le Mercure de France le 15 juin 1913. En voici plusieurs extraits. « Rien ne fait