Jean Rotrou Antigone

* Instabilité, inconstance et mobilité * Métamorphose : Jean Rousset rapproche le baroque et son désir de métamorphose à deux mythes : o au mythe de Protée : Protée est un dieu marin, de l'Antiquité grecque, qui avait reçu de Poséidon, son père, le don de changer de forme à volonté. o au mythe de Circé : Circé est un personnage de l'Odyssée, une magicienne qui métamorphosa les compagnons d'Ulysse en pourceaux. o Voici ce qu'en dit Jean Rousset : (La littérature de l'âge baroque, p22) : Protée

à l'espagnole. En 1635, Corneille aborde la tragédie, avec Médée, dont il emprunte le sujet à Sénèque, et compose L'Illusion comique. La même année, le cardinal de richelieu fait appel à lui pour constituer, avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou, les « cinq auteurs » chargés de rédiger tragédies et comédies sur des canevas imaginés par richelieu. Ainsi sont composées La Comédie des Tuileries et L'Aveugle de Smyrne. En 1637, il connut un énorme succès grâce à sa pièce Le Cid dans laquelle

les moins instruits. * * 3/Dans le vers douze : « O pédants! à Ducis nous préférons Rotrou », Victor Hugo se moque des soit disant érudits qui n’apprécient que les pièces de théâtre a la française. Contrairement a eux, Il favorise Rotrou au lieu de Ducis qui réécrit des pièces de Shakespeare à la française ; c’est à dire limité par des règles strictes, rendant la pièce de théâtre plus ordonné. Rotrou, lui, à l’opposé, écrit des pièces modernes avec de nombreux rebondissements. * *

QUESTION : Les marques du théâtre ds le théâtre st visibles de 2 manières ds ce corpus => 2 parties. Il faut associer les tx de Shakespeare et Marivaux parce qu’ils traitent explicitement de cette no° ; puis analyser ens les tx de Rotrou et Genet qui st + implicites. On rq ainsi que les doc B et C montrent une répétition avec des indications scéniques que font les comédiens eux-m^. Ils st ainsi les représentants du dramaturge. Tandis que les doc A et D proposent une confusion des genres qui montre

avec qui il aura sept enfants dont un mort une semaine après sa naissance. En 1635, Corneille aborde la tragédie, avec « Médée ». La même année, le cardinal de Richelieu fait appel à lui pour constituer, avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou, les «cinq auteurs » chargés de rédiger tragédies et comédies sur des canevas imaginés par Richelieu. Il écrit des pièces exaltant la haute noblesse (« Le Cid », œuvre aujourd’hui universellement connue), rappelant que les hommes politiques ne sont

comique, comédie gigogne qui met en scène à la fois l'allégorie du théâtre du monde et les différents genres dramatiques possibles. La même année, le cardinal de Richelieu fait appel à lui pour constituer, avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou, les « cinq auteurs » chargés de rédiger tragédies et comédies sur des canevas imaginés par Richelieu. À partir du Cid (1637), tragi-comédie inspirée d'une épopée espagnole, il connaît une suite de grands succès. Paraissent alors des tragédies

romanesque, dénouement heureux, style familier : cf. Clitandre. Corneille, 1631. Puis introduction des règles classiques dans la préface de Sylvanire, de aire, 1634 Sophonisbe = Première tragédie régulière. Ecolsion de tragédies avent Le Cid : Rotrou : l'Hercule Mourant, 1634. Chez Corneille : Goût pour les intrigues compliquées, les rebondissements, les coups de théâtre. Peu de place pour l'amour, importance de l'honneur, de la gloire, du sentiment du devoir. Importance des affaires d'Etat,

définit surtout l’aspect religieux de la tragédie. Au XVIIe siècle, le théâtre est soutenu par le pouvoir royale, lors des représentations on peut y voir la haute noblesse assise à côté de la scène. Les auteurs, comme par exemple Corneille ou Jean de Rotrou, s’inspirent de la tragédie antique et donc de Sophocle, Euripide et Sénèque. Pour la tragédie dans le théâtre, Boileau établie trois règles : La règle des trois unités (un lieu, une action, une journée). Le principe de vraisemblance (il

les Racan, dont les écrits superbes, En sortant de leur veine et dès qu'ils furent nés, D'un laurier immortel se virent couronnés, Combien seront chéris par les races futures, Les galants Sarasin, et les tendres Voiture, Les Molière naïfs, les Rotrou, les Tristan, Et cent autres encore délices de leur temps: Mais quel sera le sort du célèbre Corneille, Du théâtre français l'honneur et la merveille, Qui sut si bien mêler aux grands événements, L'héroïque beauté des nobles sentiments? Qui

| | |Groupement de textes sur le théâtre dans le théâtre : | | |Le Véritable St Genest, Rotrou IV, 7 | | |Hamlet, Shakespeare, III,2