Jean Rotrou Antigone

Jean Racine - La Thébaïde ou les Frères ennemis Tragédie en 5 actes Adresse A Monseigneur Le duc de Saint-Aignan Pair de France. MONSEIGNEUR, Je vous présente un ouvrage qui n’a peut-être rien de considérable que l’honneur de vous avoir plu. Mais véritablement cet honneur est quelque chose de si grand pour moi que, quand ma pièce ne m’aurait produit que cet avantage, je pourrais dire que son succès aurait passé mes espérances. Et que pouvais-je espérer de plus glorieux que l’approbation

continuera à écrire des comédies, comme par exemple La Veuve en 1631, jusqu'en 1635 ou il commencera à aborder la tragédie avec Médée. Cette même année, il rejoint un groupe de cinq auteurs que patronne Richelieu. Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou composent ce groupe qui rédige la Comédie des Tuileries. Une de ses œuvres tragiques a rencontré un très grand succès. Il s'agit du Cid écrit en 1637. Corneille se marie en 1641. Trois ans plus tard, il éditera son premier recueil intitulé Œuvres

L'Illusion comique, comédie gigogne qui met en scène à la fois l'allégorie du théâtre du monde et les différents genres dramatiques possibles. La même année, le cardinal de Richelieu fait appel à lui pour constituer, avec Boisrobert, Colletet, L'estoile et Rotrou, les « cinq auteurs » chargés de rédiger tragédies et comédies sur des canevas imaginés par Richelieu. Ainsi sont composées La Comédie des Tuileries et L'Aveugle de Smyrne. À partir du Cid, tragi-comédie inspirée d'une épopée espagnole, créée

plaire à un public plus exigeant. Les Sosies de Jean de Rotrou, publié en 1636, constitue un excellent exemple d’une pièce à mi-chemin entre le théâtre irrégulier et romanesque de la tragi-comédie baroque et l’esthétique réglé de la comédie classique. Dans Les Sosies, on assiste à la reprise du mythe d’Amphitryon mis en scène par Plaute dans l’Antiquité et adapté à maintes reprises par la suite, notamment par Molière qui en fera une pièce célèbre. Rotrou, tout en suivant de très près la pièce de Plaute

French studies 1 (FR2031) | 2) Commentaire d’Histoire sur La Genèse de la Monarchie Absolue, l’ODE A SON ÉMINENCE LE CARDINAL DUC DE RICHELIEU de Jean de Rotrou | 110007373 | | Tutor: Dr. Emma Herdman | 02-Nov-12 Word Count: 1096 | "This is my own work. It has not been written with the help of any other person. All quotations, or facts and ideas, taken from other printed, Internet or other public sources have been explicitly acknowledged in my text, endnotes or footnotes

appelle alors « Jeu ») prend véritablement son essor : onze pièces nous sont parvenues de cette époque, dont près de la moitié viennent d'Arras. On ne connait les noms que de trois de leurs auteurs : Rutebeuf, Adam de la Halle et Jean Bodel6. Tous trois sont des jongleurs7. Si Jean Bodel, avec Le Jeu de saint Nicolas (1200 environ) et Rutebeuf avec Le Miracle de Théophile (1263-1264) inaugurent la vogue de l'adaptation pour la scène de la littérature hagiographique (genre dit des « Miracles »), Adam de

et jouaient souvent des farces parfois de natures grotesques qui attiraient uniquement un public commun. Plus tard apparaît un nouveau type de comédien remarquablement cultivés, avec l'arivée d'une nouvelle génération d'auteurs dramatiques tels que Rotrou, Boisrobert et Corneille. A la fin du siècle, leur situation matérielle s'améliore de même que leur image sociale. Les comédiens sont à la fois désirés et admirés. Ils réussissent à avoir le droit de se marier à l'église et également à faire baptiser

par calcul politique, le cardinal de Richelieu s’entoure d’une équipe de poètes à gages, tels François de Boisrobert et Jean Desmarets de Saint-Sorlin, qu’il pousse à écrire des pièces de théâtre. Pour stimuler la production littéraire, il imagine même un atelier d’écriture collective composé de cinq auteurs (Boisrobert, Guillaume Colletet, Claude de L’Estoille, Jean de Rotrou et Pierre Corneille) auquel il passe commande d’œuvres dramatiques, parfois composées à partir de canevas écrits de sa main

comique ses outrances et sa vulgarité, Corneille réussit à emprunter une voie qui refuse le grotesque pour privilégier la peinture des caractères et des mœurs En 1636, A cette époque Corneille fait partie avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou des auteurs protégés par le cardinal de Richelieu. Ce dernier fait appel à ces «cinq auteurs» pour rédiger tragédies et comédies sur des canevas imaginés par lui. Ainsi sont composées La Comédie des Tuileries et L'Aveugle de Smyrne. Corneille s’impose

Traître trahi », « La Galerie du Palais ou l'Amie rivale », « La Place Royale ou l'Amour extravagant ». En 1635, Corneille écrit une tragédie ; « Médée ». La même année, le cardinal de Richelieu fait appel à lui, avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou, pour rédiger tragédies et comédies imaginées par Richelieu. Ils composent : « La Comédie des Tuileries » et « L'Aveugle de Smyrne ». Au début de l’année 1637, Pierre Corneille écrit « Le cid », un grand succès. Il épouse, en 1640, Marie de Lempérière