Jean XIII

pourtant il désigne seulement la personne du roi. On trouve cet emploi dans les discours officiels de personnes détenant une autorité civile ou religieuse; il s’agit alors du « nous de majesté ». Depuis 1624, Richelieu est le principal Ministre de Louis XIII et il occupe une place très importante dans la politique de l’Etat. Trois grands objectifs résument la politique du Cardinal : la destruction de la puissance politique du protestantisme, l’affirmation du pouvoir royal contre la noblesse et l’abaissement

Molière et son temps Le contexte politique et social : Louis XIV est né à Saint-Germain-en-Laye en 1638. Son père Louis XIII décède cinq ans plus tard, et laisse sa femme, Anne d’Autriche prendre la régence du pays aidée de Mazarin. Son éducation fut donc prise en charge par Mazarin, mais Louis XIV préférant des activités plus concrètes, il s’intéressât à la danse, l’art ou la stratégie militaire. Suite aux événements politiques de son enfance tels que la Fronde, les différentes manifestations

l'un des principaux maîtres de la philosophie scolastique et de la théologie catholique, il a été canonisé le 18 juillet 13231, puis proclamé docteur de l'Église par Pie V, en 1567 et patron des universités, écoles et académies catholiques, par Léon XIII en 1880. Il est également un des patrons des libraires. Il est aussi qualifié du titre de « Docteur angélique ». Son corps est conservé sous le maître-autel de l'église de l'anciencouvent des dominicains de Toulouse. De son nom dérivent les termes :

dont les campagnes sont densément peuplées. Le royaume est puissant, et possède la paysannerie la plus nombreuse des temps modernes. Le développement étatique au début de ce siècle y est marqué par une pression fiscale accrue sous le règne de Louis XIII et le ministère du cardinal de Richelieu. La taille, impôt de guerre instauré au XVe rapidement devenu permanent, a doublé durant la période de la guerre de Trente Ans. Cette guerre de Trente Ans est une suite de conflits armés qui ont déchiré l’Europe

anticléricale En raison du positionnement souvent conservateur des catholiques français, également proches des milieux nationalistes, royalistes et militaires (même si cela tend à se démentir peu à peu avec la politique de « ralliement » initiée par Léon XIII, qui les divise, et même si l’Eglise elle-même s’exprime peu sur le sujet du fait qu’elle est liée à l’Etat jusqu’en 1905), ceux-ci sont nombreux à rejoindre le camp antidreyfusard, réveillant un anticléricalisme que la République avait laissé de

stabilité et un équilibre politique. La république devient laïque en 1905 : on est français avant d’être croyant C’est la fin du Concordat. Avant, par tradition, les catholiques étaient royalistes, mais leur opinion a ensuite changé grâce au pape Léon XIII et à son encyclique (rerum novarum), ils deviennent républicains. Une encyclique est un texte du pape. A partir de 1901, on a le droit de créer une association : création et développement des partis politiques. Le régime surmonte les crises politiques

Garutti ; lumières Julia Grand ; costumes Thibaut Welchlin ; coiffures, maquillage Nathalie Charbaut ; assistante perruques Daniele Mailfert ; directeur des combats Didier Laval ; assistante Laure Charvin-Gautherot avec Laurence Besson Olivier Borle Jeanne Brouaye Damien Gouy Xavier Legrand David Mambouch Clément Morinière Jérôme Quintard Julien Tiphaine Clémentine Verdier Sganarelle, ou le Cocu imaginaire La femme de Sganarelle Parent Célie Gorgibus* Sganarelle Parent Gros-René Villebrequin* Lélie

république. Les catholiques et l'église étaient méfiants envers la république et les républicains. Entre ces deux groupes, fleuves de sang depuis la révolution. Ils ont tenté de se rapprocher du personnel républicain modéré, surtout après 1892 (le pape Léon XIII invite les catholiques français à accepter le régime républicain qui est possible). Les catholiques se divisent, seule une partie d'entre eux, sous la houlette d’Albert de Mun, accepte le ralliement et la majorité républicaine de la chambre (modérés)

La cour de Louis XIV, 1715 Introduction « Un monarque sans Cour est un grand arbre déraciné que le moindre coup de vent renverse » (Jean-François SOLNON, la Cour de France). Au Moyen Age les rois de France ne tenaient pas de Cour à proprement parlé. Assistés par grands vassaux et autres conseillers, loin des raffinements et des fastes, la simplicité régnait en leurs hôtels. Émergeant lentement de la féodalité, la royauté française des XIIe et des XIIIe siècles a progressivement sécrété un embryon

[pic] Introduction En 1614, sous Louis XIII, les états généraux furent pour la dernière fois réunis avant la crise qui allait provoquer en 1789 la disparition de l’ancien régime. Ces états généraux de 1614, à la différence de ceux qui avaient précédés, se sont déroulés dans la plus grande confusion. Les ordres ne purent pas s’entendre. De plus, c’est aussi le problème de la Paulette : vénalité et pénalité des offices. On parle aussi de l’autonomie de l’Eglise française par rapport à Rome qui