Jeanne Endormie

Les auteurs mystiques du XVIème siècle Nous allons parler de Saint Jean de la Croix (ou bien Juan de la Cruz) et de Teresa Dávila (ou bien Teresa de Jesús) Juan de la Cruz fut l'infatigable soutien et le confesseur de Teresa de Jesús. Ces deux individus étaient tout deux des saints, plus précisemment des saints mystiques espagnols. Ils faisaient parti du Carmel. Teresa de Jesús était réformatrice de l'ordre du Carmel et Juan de la Cruz était carme. Teresa de Jesús demandit à Juan de la Cruz de

meme s’il n’y a pas de dialogue. L’auteur insiste sur la localisation, avec les antithèses répétées de la présence, de la proximié, face à l’abscence et la distance. La présence est physique, puisqu’elle se trouve dans ces bras. Cependant, elle est endormie, donc absente mentalement. De plus, cette femme reste une mystère pour lui, il y a donc une distance due à l’incompréhension. Dans ce poème l’auteur reste très pudique : il ne donne que très peu de détails sur sa femme, il n’en fait pas le portrait

quel moissonneur de l’éternel étéAvait, en s’en allant, négligemment jetéCette faucille d’or dans le champ des étoiles » — Victor Hugo, La Légende des siècles, Booz endormi | l’hypallage | épithète impertinente constituant une métaphore par le décalage de la relation logique entre les éléments d'une phrase | « le mélancolique animal » — Jean de La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles « Automne malade » — Guillaume Apollinaire, Alcools, Automne malade « Qu'au son des guitares nomadesLa gitane

moissonneur de l’éternel été Avait, en s’en allant, négligemment jeté Cette faucille d’or dans le champ des étoiles » — Victor Hugo, La Légende des siècles, Booz endormi l’hypallage épithète impertinente constituant une métaphore par le décalage de la relation logique entre les éléments d'une phrase « le mélancolique animal » — Jean de La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles « Automne malade » — Guillaume Apollinaire, Alcools, Automne malade « Qu'au son des guitares nomades La gitane mime

fr Objet d’étude : Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883) Texte B : Emile Zola (1840-1902), Germinal, septième partie, chapitre VI (1885). Texte C : Jean Giono (1895-1970), Regain, deuxième partie (1930). Texte D : André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, septième partie (1933). Texte E : Albert Camus (1913-1960), La Peste, cinquième partie, chapitre 5 (1947). Bac 2009 – Série ES – Français

d'étude: Le roman et ses personnages: visions de l'homme et du monde. Texte Texte Texte Texte Texte A : Guy de Maupassant (1850-1893), Une Vie, chapitre XIV (1883). B : Emile Zola (1840-1902), Germinal, septième partie, chapitre VI (1885). C : Jean Giono (1895-1970), Regain, deuxième partie (1930). D: André Malraux (1901-1976), La Condition humaine, septième partie (1933). E : Albert Camus (1913 - 1960), La Peste, cinquième partie, chapitre 5 (1947). 9FRGEIN1 2/8 Texte A - Guy

|— Victor Hugo, La Légende des siècles, Booz endormi | | |l’hypallage |épithète impertinente constituant une métaphore par le décalage de |« le mélancolique animal » | | | |la relation logique entre les éléments d'une phrase |— Jean de La Fontaine, Le Lièvre et les Grenouilles

d'Embrun, Antoine de Mesgrigny, capucin, évêque de Grasse, Philippe de Vendôme, grand prieur de France, abbé de Saint-Honoré de Lérins, François de Berton de Grillon, évêque-baron de Vence, César de Sabran de Forcalquier, évêqueseigneur de Glandève, et Jean Soanen, prêtre de l'oratoire, prédicateur ordinaire du roi, évêque-seigneur de Senez. Les portraits de ces sept révérends personnages décoraient cette salle, et cette date mémorable, 29 juillet 1714, y était gravée en lettres d'or sur une table de

pensées mortelles » (Lady Macbeth, puissance féminine veut être comme un homme) * « Va-t-en damnée tache ! » (Hantée) * « Pourquoi ces mains ne sont-elles jamais propres ? » (Lady Macbeth possédée ? vengeance du mal qu’elle a commis) JEAN GIONO, Les Âmes fortes Un dialogue auprès des morts : * « Le pauvre Albert est à peine étendu raide sur son lit, et tout de suite vous lui mangez ses caillettes » « Quand on veut faire le mal, ce n’est pas une culotte ou une robe qui vous

du langage comme dans Une profonde rupture est faites avec le drame bourgeois et romantique dit ''classique'', avec le théâtre de la cruauté en 1935, selon A.Arnault, ce théâtre doit ''réveiller le spectateur en exposant devant lui des forces endormies, ses conflits les plus profonds, ses rêves et ses obsessions. Le choc nécessaire sera obtenu non par le dialogue, relégué au second plan: un jeu convulsif, une nouvelle implication physique de l'acteur, l'instauration d'une certaine violence sur