Jerome Kerviel

: George Bush annonce un plan de relance de 150 milliards de dollars. 22 janvier : la Fed réduit l’objectif des Fed funds de 75 points de base. 24 janvier : Société Générale annonce une perte de 4,9 milliards d’euros en raison de la fraude de Jérome Kerviel. Elle est contrainte de lever 5,5 milliards. 17 février : nationalisation de Northern Rock. 2008 7 mars : la Fed offre 200 milliards de dollars de prêts à 28 jours aux banques et établissements financiers. 16 mars : JPMorgan rachète Bear

sophistication financière sans limite de nos petits génies des mathématiques financières a conduit à disséminer un peu partout les crédits suspects, en les mélangeant avec toute une série d’autres crédits. Le « trader » de la Société générale Jérôme Kerviel a ainsi misé près de 50 milliards d’€ sur l’évolution du DAX, l’indice de la bourse de Francfort. Autre exemple, une petite partie des crédits de la ville de Laval est assise sur l’évolution des taux d’intérêts en Afrique du Sud. Il s’agit des

d'un consortium de banques injectant 3,6 milliards de dollars en urgence pour éviter un effet domino de faillites bancaires (risque systémique) [réf. nécessaire] • 24 Janvier 2008 : La banque Société Générale porte plainte contre son trader Jérôme Kerviel suite à une perte de 4,9 milliards d'euros. Les pertes sont dues à des produits dérivés de type contrat à terme sur l'indice CAC 40. Le procès pour « faux, usage de faux, abus de confiance, introduction frauduleuse de données dans un système informatique

modèle d’allocation des fonds propres économiques. De ce fait, le système de rémunération des banques semble encourager la prise de risques inconsidérés de la part des opérateurs de marché. C’est ce qui expliquerait en partie les agissements de Jérôme Kerviel qui rappelons-le, était gagnant de près de 1,4 milliards d’euros sur ses positions à fin 2006 et a choisi de ne pas solder dans l’espoir de faire toujours plus. Il se rêvait le « meilleur trader de tous les temps » au sein du « desk Delta-One »

cas de la perte subie par la Société Générale en janvier 2008, la position prise par Jérôme Kerviel atteignait 50 milliards d’euros avant que les opérations de débouclage ne débutent, soit davantage que la capitalisation boursière de la banque à ce même moment. Les actes d’ un individu peuvent engendrer une perte colossale : 1,3 milliard de dollars pour Nick Leeson et 4,9 milliards d’euros pour Jérôme Kerviel. Les pertes sont dues à l’évolution des cours en trois jours, qui vont créer une perte

nourries par la distribution excessive de crédits, il faut que les banques ne les distribuent n’importe comment. Ce qui est apparu aussi lors des crises, c’est l’insuffisance du contrôle interne des risques pris par certains traders (l’affaire Jérôme Kerviel) ; ce qui est proposé sur ce point c’est de demander aux banques de disposer d’un système capable de fournir en peu de temps l’état des risques pris. Un troisième pilier de régulation est lié à l’existence des marchés, dont les conditions sont

spéculations. • Son évolution en France La France a subi au vingtième siècle un grand nombre de crises : l’affaire du sang contaminé, l’explosion de l’usine AZF, la crise de la vache folle, le boycott des produits Danone, l’affaire du trader Jérôme Kerviel à la Société Générale, la crise de confiance envers les hommes politiques… Les crises les plus récentes sont la tempête Klaus dans le Sud Ouest de la France en janvier 2009, le crash de l’Airbus AF447 en juin, la vague de suicides chez France

OCTOBRE : (finance) la Grèce a reçu un soutient financier important de la Chine qui en échange va étendre son empire sur les infrastructures du pays dont elle compte faire sa porte d’entrée en Europe du sud et dans les Balkans MARDI 5 OCTOBRE : Jérome Kerviel à été infligée de 5 ans de prison dont 3 ans ferme et des dommages et intérêt de 4.9 milliards d’euros correspondant a la perte subie par la banque française. Il a été inculpé pour abus de confiance, faux usage de faux, et introduction frauduleuse

française avec un Produit Net Bancaire (PNB) en 2013 de 22,8 Milliards d’euros et c’est aussi l’une des plus anciennes. En 2008, Société Générale connaît un coup dur, qui marquera les esprits du personnel mais aussi ses clients : l’affaire Jérôme KERVIEL. M KERVIEL, était alors opérateur de marché et salarié Société Générale, il aurait exposé la banque à un risque majeur alors que ce n’était pas dans ses attributions, faisant ainsi perdre près de 4,9 milliards d’euros au groupe. 880745320040La charte

quotidienne pendant plusieurs mois sa direction, concernant les volumes d’activité anormaux, inquiétants et dangereux des transactions de Jérôme Kerviel. Après la révélation de la fraude en janvier 2008, la Société Générale prétendra découvrir seulement à ce moment son exposition sur les marchés. Sylvain Passemar sera un des témoins-clés de « l’affaire Kerviel », et apportera des révélations majeures concernant les preuves détruites et les systèmes d’archivage légaux, ainsi que d’autres informations