Jerome Kerviel

partie (écrite par Jérôme Bondu) traite des réseaux sociaux d’un point de vue utilisateur. La seconde (écrite par Alain Garnier) se pose plus dans une perspective entreprise. Nous espérons que ce livre blanc vous sera utile dans un cadre professionnel et aussi personnel, les deux étant – comme nous le démontrons au fil des pages – de plus en plus interconnectés grâce (ou à cause) de ces mêmes réseaux sociaux. Jérôme Bondu Alain Garnier Présentation des auteurs Jérôme Bondu est fondateur

est révélé et ce qu'attend l'opinion publique. La conjoncture n'est pas la seule raison qui mène à s'interroger sur la réputation. Certains scandales récents n'auront échappé à personne : le scandale de Quick, la chaîne de fast food, l’affaire Kerviel à la Société Générale, ou encore l'affaire Madoff. Ou d'autres moins récents : l'affaire Enron qui mènera au démantèlement d'Arthur Anderson, le scandale Crédit Lyonnais suite à l'affaire Executive Life...Dans ce type d'affaire, la réputation des

des répercussions indéniables sur Airbus Industries (filiale du groupe EADS) en 2006 et sur la Société Générale en 2008. Airbus : le retard de 2 années dans la production de l’A380 n’a pas été détecté. Société Générale : pendant 1 an, le trader Jérôme Kerviel a investi des dizaines de milliards d’euros à l’insu des auditeurs internes et externes. Ces deux cas montrent bien la nécessité pour une organisation de gérer et de maîtriser de façon beaucoup plus efficace son contrôle interne et ses systèmes

remarquer par la DSI Exemple célèbre : Le cas de David Hirchmann dont la carrière a été (provisoirement) “ grillée ” suite à l’envoi d’un mail alors qu’il était encore à l’école et qui a fait le tour du monde. Ou plus récemment, le fameux Jérôme Kerviel qui a vu ses amis de Facebook disparaître comme neige au soleil le jour même où était annoncée l’affaire du même nom. Les réseaux peuvent être des révélateurs ou des amplificateurs de problèmes. Ou enfin, le cas récent arrivé à un employé

l'équilibre de ses métiers, la Société Générale entre dans la tourmente de la première grave crise financière du XXIe siècle, après avoir été victime d'une fraude exceptionnelle de 4,9 milliards d'euros suite aux prises de position masquées de Jérôme Kerviel. Ouverture sur le monde… III-Analyse de l’agence Le groupe Société Générale est la 6e entreprise française par sa capitalisation boursière en France (59,3 Md EUR au 29.12.2006) et l'un des tout premiers

nous parlons ici de certaines affaires qui ont heurtées l’opinion en temps de crise, et contribué à la mise en place d’une barrière entre les banques et les personnes. Nous retiendrons dans notre cas deux scandales : l’affaire KERVIEL et l’affaire MADOFF. Jérôme KERVIEL était un jeune trader au sein de la Société Générale. Il entra en 2000 au middle office avant d’intégrer le front office en 2005. Il fut connu pour avoir perdu 4,82 milliards d’euros en vendant à perte. L’affaire sera révélée le

Daniel Bouton, le directeur général, Frédéric Oudéa, et ses deux adjoints. Or, la Société Générale, comme plusieurs banques françaises, a bénéficié de fonds publics lors de la crise financière qui sévit en France. Ébranlée en 2008 par l'affaire Jérôme Kerviel, l'un des plus grands scandales de trading de l'histoire où elle avait perdu 4,9 milliards d'euros, la banque a reçu 1,7 milliard d'euros de l'État en décembre. Suite aux menaces de Christine Lagarde de légiférer sur le sujet, les hauts dirigeants

nous parlons ici de certaines affaires qui ont heurtées l'opinion en temps de crise, et contribué à la mise en place d'une barrière entre les banques et les personnes. Nous retiendrons dans notre cas deux scandales : l'affaire KERVIEL et l'affaire MADOFF. Jérôme KERVIEL était un jeune trader au sein de la Société Générale. Il entra en 2000 au middle office avant d'intégrer le front office en 2005 ce qui lui q permis de connaitre les rouages du système . Il fut connu pour avoir perdu 4,82 milliards

possible : reporter la responsabilité d’un dysfonctionnement, d’un incident sur un tiers (fournisseurs, pouvoirs publics, collaborateur isolé…). C’est en quelque sorte la stratégie adoptée par la Société Générale en janvier 2008 avec son trader Jérôme Kerviel. La crise n’est pas notre faute nous sommes victimes d’une fraude. C’est une technique assez risquée mais qui a permis à la Société Générale d’amortir quelque peu le choc de la crise. Magazine de la communication de crise et sensible © 2009

Conseil. En effet les banques, en raison de réductions importantes des bénéfices, voire même de pertes, réduisent les crédits accordés pour des missions de Conseil. En revanche, l’affaire « Kerviel » a créé une situation de panique, premièrement pour la Société Générale (banque où le trader Jerôme Kerviel exerçait), mais également pour les autres banques, qui ont peur qu’un événement du même type se produise au sein de leurs salles de marché. Ceci a donc engendré l’opportunité de nouvelles missions