Jeu de hasard raisonné

Au Québec, 5% des joueurs de jeu de hasard sont compulsifs. Leur principal problème est qu’ils se ruinent et emporte les membres de leur famille dans leur chute. Une telle passion dévorante est souvent dramatique. C’est la raison pour laquelle des auteurs en font le sujet de leurs œuvres. Alexandre Dumas présente ce phénomène envoutant dans le comportement de son personnage Hoffman dans le roman La femme au collier de velours. Cette passion pour le jeu le consumera complètement. En effet, il sera

dessus de) et du nom « réalisme », issu du bas latin « realis » découlant du mot « res » signifiant la chose matérielle. Le surréalisme serait donc un mouvement qui se veut être « au dessus » du réalisme, donc à s’affranchir des lois du réel, de la raison. C’est donc un mouvement qui vise à libérer la création, l’imagination, de toutes contraintes et de toutes considérations logiques, esthétiques ou morales. b) Origine Le mot surréalisme a d’abord été inventé par Freud, découvreur

Combinaison des causes et degrés de détermination ............... 28 4. Confusions des prédécesseurs d’Aristote .............................. 30 La fortune (chance) et le hasard ............................................... 30 5. La prétendue explication par la fortune ................................ 34 6. Qu’est-ce que le hasard ? ....................................................... 37 7. L’unification des causes et leur fondement immobile ........... 41 8. Critique du mécanisme ..........

"Le Jeu de l'Amour et du hasard", Acte I, scène I, Marivaux, 1730 (Objet d'étude : Théâtre) Introduction : Marivaux est un écrivain français du XVIIIème siècle, siècle des Lumières qui voit l'émergence de revendications de la liberté ainsi que de l'égalité des hommes entre eux. Celles-ci poussent Marivaux à traiter des thèmes tels que la liberté d'aimer ou la redéfinition des relations maîtres/valets. Il écrit pour les comédiens italiens dont il apprécie le jeu plein de fantaisie, explore et renouvelle

politique et culturel français. Cet extrait est une satire sociale du jeu et de la femme, de leur importance et de la dépendance dans laquelle le jeu maintient la femme et les femmes maintiennent les hommes. la conclusion prend la forme d’une comparaison avec l’Orient. Annonce du plan : découpage en 3 parties (analyse selon un découpage linéaire): -1- le jeu : un titre de noblesse (paragraphe I) -2- les femmes dépendantes du jeu : une passion dévorante et déraisonnable (paragraphes II, III, IV) -3-

12/10/09 Français : Commentaire de texte : Le triomphe de Silvia : Acte III Scène 8 En 1730 Marivaux écrit une pièce appelée Le Jeu de l’amour et du hasard. C’est une comédie qui respecte les règles de la bienséance de cette époque ; néanmoins c’est une pièce subversive. Dans cette pièce Marivaux inverse les relations entre les maitres et leur valets, dérangeant les préjugés de cette période. Les personnages ayant inversé leur statut, des complications sont engendrées. En fin de compte, le protagoniste

qu’un beau visage me le demande, si j’en avais dix mille, je les donnerais tous. » Il ne reste alors pour Dom Juan et les êtres de son espèce qu’une seule option : l’arbitraire. En agissant arbitrairement, en remettant toutes ses décisions au hasard, comme Lafcadio, le triste héros des Caves du Vatican d’André Gide, l’individu se prouve à tout instant qu’il est absolument libre, c’est-à-dire libre de toute attache, totalement indéterminé et indifférent, au sens où les actions qu’il accomplit

qu’il saura profiter de la situation en refusant désormais d’obéir a son maître Scène 2 : Trivelin, chef des anciens esclaves révoltés, ordonne aux maîtres et aux serviteurs d’échanger leurs noms et leurs statuts et leurs habits. En bon meneur du jeu, il explique la vocation thérapeutique et non punitive de cette épreuve, appelée a durer trois ans : il s’agit d’un destiné a > pour que les maîtres placés en situation d’esclavage deviennent >. Scène 3 : Trivelin demande à Cléantis de faire le portrait

c'est-à-dire la connaissance du passé. Paradoxalement, une histoire étudie l’autre dans l’espoir de lui trouver un sens. En effet les historiens et philosophes de l’histoire se posent depuis longtemps la question du sens de l’Histoire : peut-on donner une raison d’être aux événements historiques? N’oublions pas non plus que “sens” a deux significations. Il signifie une direction ou un but, de sorte que nous devons nous demander si l'histoire est orientée dans une direction précise, vers une fin ou un but

Texte : Si les hommes avaient le pouvoir d’organiser les circonstances de leur vie au gré de leurs intentions, ou si le hasard leur était toujours favorable, ils ne seraient pas en proie à la superstition. Mais on les voit souvent acculés à une situation si difficile, qu’ils ne savent plus quelle résolution prendre ; en outre, comme leur désir immodéré des faveurs capricieuses du sort les ballote misérablement entre l’espoir et la crainte, ils sont en général très enclins à la crédulité