Jeu de mots

première strophe (le quatrain) ne suffit pas à contenir l’étendue de cette tristesse puisqu’elle déborde par une apposition, en enjambement, sur le premier vers du tercet.             Ce vers 5 répète le propos du vers précédent, en utilisant des mots identiques (ma/ma), de même racine (doleureuse/dolente) ou synonymes (aventure/vie). Effet de redondance, exacerbé par le mot final « obscure », qui est une nouvelle et ultime variation sur le même thème.   - Omniprésence de la négation :   o   

langage : a) Le jeu de mot initial se répand dans tout le sonnet dont il semble l’origine : L’habilité séduisante de l’anagramme semble diffuser le thème de l’amour dans le poème, qui n’est qu’une variation sur un mot : aimer. Il est répété plusieurs fois : « aimer » (v.2), « aimez » (v.2), aux vers 6, 8, 9, 10, « aime » (v.14), « amour » (v.4). La majuscule du premier « aimer » donne une dimension sacrée de l’amour. « Aimez moi » est répété plusieurs fois. b) Ce jeu de mots est savamment mis

cela, les poètes emploient les procédés rhétoriques tels que les jeux de mots, ainsi que les jeux de sonorités. Le poète manie également le jeu de l’espace, en apportant une vision concrète. La poésie humoristique est en quelques sortes un jeu. Dans le poème extrait du recueil Innocentines de René de Obaldia, « Le plus beau vers de la langue française », le poète utilise le néologisme, c’est-à-dire qu’il invente ses propres mots. Il utilise également la répétition des vers, ainsi que des assonances

mélioratif comme « belle procession » qui est en opposition avec la gravité de la situation, témoigne de cette ironie et résonne comme une moquerie, c'est une réaction inadéquate des moines. De plus, Rabelais les tourne en ridicule à travers un jeu de mots associant deux termes opposés, les diables et les saints : « Les pauvres diables de moines ne savaient à quel saint se vouer. » Mais également à travers l’emploi du néologisme à consonances amusantes formés à partir du terme moine « … s’il y en

surréalisme, de féerique et de merveilleux ( représentations de fées, de lutins, etc. ), il y a à la plupart du temps une moral à la fin, il est transmis par la tradition orale et à une structure narrative. B/ Le jeu de mots contenu dans le titre de ce questionnaires et l’inversion de deux mots homonymes (« conte » et « compte ») dans deux expressions différentes. D/ 1/ En me penchant plus attentivement sur la définition du conte contenue dans le cours article de l’Encyclopédie, je peux dire que la

papiloon. Ponge utilise la métamorphose de l'être pour créer un objet littéraire : un poème en prose. I. La métamorphose des mots. a) Métaphore à la première proposition : la corole de la fleur se transforme en tasse installant la thématique de l'humain. Transformation du sens propre au snes figuré, métamorphose de la chenille par proximité sonore des mots en guenille : jeu de mot phonétique, personnification de l'insecte, c'est l'homme en guenille. b) Multiples métaphores et comparaisons : le

pour l’amoureux en question mais aussi de comparer lors de ce poème l’eau et l’amour . P.Ce sonnet est-il un poème d’amour ? Nous montrerons comment ce sonnet baroque met en scène la passion amoureuse, de manière savante en faisant prévaloir le jeu poétique sur la sincérité du sentiment I-Un poème élégiaque (triste, pathétique) A-Une vision pessimiste de l’amour Marboeuf ajoute néanmoins une conception baroque à ce sentiment qui se retrouve de fait être source de problèmes , comme précédemment

matins le renard » 121-125 3. Lire la page 70 : quels sont les mots créés par Rabelais d’après les notes ? Comment sont-ils construits ? 4. Page 222, « pour tout dire…de breviaire » : sur quel jeu sonore est construit ce passage ? 5. Page 164 : « Ca…Ergo gluc » : quelles sont les différentes langues présentes dans ce passage ? Pourquoi ? Quel jeu sonore est mis en place ? Quel effet est-ce que cela crée ? 6. Calembour : relevez deux jeux de mots dans l’œuvre (chapitres 27 et 21) 7. Trouvez deux exemples

L’Âge d’homme. Moins nombreux sont ceux qui connaissent et pratiquent les autres aspects de cette recherche : les jeux de mots de Glossaire j’y serre mes gloses, les récits de rêve de Nuits sans nuit, le journal de L’Afrique fantôme, et surtout les trois volumes de sa seconde autobiographie, Biffures, Fourbis et Fibrilles, publiés sous le titre d’ensemble de La Règle du jeu. Ces textes sont sans doute plus représentatifs de la mutation dont j’ai parlé que L’Âge d’homme ; j’ai pourtant choisi de

avec effet de surprise quand on les découvre émergeant des poubelles - accoutrement et pantomimes clownesques (comique de geste et de caractère) - traitement burlesque du rapport amoureux (comique de geste, de caractère et de mots) - comportement infantile de Nagg - Nagg raconte éternellement la même « blague » qui génère chez lui un rire exagéré, peu naturel (p. 36) - Nagg « glousse » aux propos de Hamm, alors que Nell dit « Rien n’est plus