Jeu de mots

des fautes de français en répondant à ses maîtres dès que l’on sort des sentiers battus : «  Y a pas longtemps » l 56, « ah ben non ! non je les ai pas vues » l 54, « c’est pas moi » l 35 B°) Comique de mot (le comique réside dans les jeux de mots, les défauts de prononciation, mais aussi d'images amusantes, de double sens,...). « c’est vrai ça ! ». l.26. expression puérile de Follavoine. Follavoine est énervé mais sa réaction prête à rire. « Vous ne savez pas où c’est » l.31. Il fait

essentiellement fondée sur l'illusion (rien qu'à y voir le titre). Cependant, la première partie de l'affirmation est nuancée par la deuxième partie en définissant la fonction du théâtre comme destructrice d'illusions. On constate la présence d'un jeu de mot avec le terme illusion. En effet ce mot est employé dans deux cas de figure différents. Premièrement, le mot est utilisé au singulier et deuxièmement, le terme est au pluriel. Les illusions dans la deuxième partie, que le théâtre détruit, sont

mari entre chez sa maîtresse alors que sa femme est là... (le comique de situation repose toujours sur un « piège » dans lequel un personnage au moins doit tomber. Le rire naît du bonheur de cette catastrophe différée.) 2. Le comique de mots : Des jeux de mots, des plaisanteries, un langage déformé ou inventé suscitent le rire. Ex : Dans "Un mot pour un autre" de Tardieu quand il change un mot pour un autre, dans les "Fourberies de Scapin" de Molière, quand Scapin prend un accent... 3.La satire

synthétise les différents traits de caractère du français : râleur, toujours en train de se disputer et de se bagarrer. 2) La traduction d’Astérix se heurte à une autre difficulté : comment traduire par le nom des personnages de la BD qui sont des jeux mots ? Le site http://www.quizz.biz/quizz-51537.html montre les différentes inventions imaginées par les traducteurs. 3) On pourra souligner qu’Astérix est traduit dans les différentes langues régionales (Corse, Alsacien, Breton, etc.) Serait-ce parce que

de l’esclavage. Dans cette première partie, l’auteur nous donne une description de personnages aux traits marqués. Il s’agit tout d‘abord pour l’auteur de montrer la cruauté de l’esclavagiste de part le jeu de mot avec son nom : « Venderdendure » qui veut dire vendeur à la dent dure. Ce jeu de mot souligne le caractère cruel de ce négociant. Nous observons le mot « fameux » qui ne nous fait pas penser quelqu’un de gentil mais de quelqu’un connu pour sa sévérité. L’utilisation du champ lexical

phrases au contenu négatif (Il ne le mérite pas / il est indigne de vos soins) qui réfèrent à Argan et abondent dans le sens de la désapprobation. Précise le réel motif de l'action menée par le médecin : vengeance et montre qu'elle n'est pas dupe du jeu de celui-ci. ►intervention de Toinette permet un contre-point comique : elle se moque de la bêtise de son maître et montre qu'elle n'a pas peur de l'imposteur. Stratégiquement, par son action, elle cherche à faire sortir ce dernier en appuyant son

destinataire ; · benevolentiae captatio : formules visant à attirer la bienveillance du destinataire ; · narratio : discours informatif : ce que l'on a à dire ; · petitio : si l'on a une requête à formuler ; · conclusio : conclusion du message. Par le jeu d’oppositions des pronoms, c’est d’ailleurs le roi qui l’emporte dans les six premiers vers : deux « je » pour Marot, un »nous » inclusif, quatre occurrences de la deuxième personne du pluriel, deux « vous » et « rimassez », « avez ». Cependant les

l'enfance avec humanité, son talent naturel brilla tellement que ses compagnons, revenant de l'école, le ramenèrent chez lui, l'entourant presque comme un roi : bien au contraire, leurs parents, irrités par la réputation de cet enfant, s'agitaient dans le jeu littéraire pour chercher à le voir.  Cette chose, cependant, talent rustique et inculte provoquait le dépit de ceux qui réprimandaient gravement les autres enfants parce qu'ils attribuaient un tel honneur à leur condisciple.  Marcus Tullius Cicéron

quelque sorte. Puisque peu a peu il commence à perdre conscience Chapitre 7 : 1- Ils sont désespérés puisque la personne parle souvent de la même chose. 4- Elle insulte Vinca puisqu’elle est tanné et qu’elle a la mine basse. Écriture : 2- Le jeu de mot est comique parce qu’il a reparé la turbine mais il a mis des pattes pour qu’elle marche mieux. 4- C’est avantageux parce qu’il parle d’une certaine plaisanterie que Philippe a mentionné. Chapitre 8 Compréhension : 1- Il hésite d’apporter

sacré à un usage qui ne l’est pas du tout ( son bâton de la croix). Le comique n'est ici pas que dans les actions , mais ce trouve également dans le langage grâce à un jeu sur les sonorités: les allitérations en «l» ainsi l’amplification finale de 2 à 4 syllabes (de «ecrabouillait» à «froissait»). Il faut également relever le jeu de mot exemple dans le dialogue entre Frère Jean et le fuyard: «je me rends/ Tu vas aussi rendre ton ame» Le comique de ce chapitre empêche le lecteur de s’indigner des