Jeune Peinture belge

insatisfait par les reproductions industrielles qu’on lui présente il se lance dans la photographie pour répondre à ses propres critères d’exigence. En 1912, il s’installe dans une colonie d’artistes ds le New Jersey et il épouse Donna Lecoeur, poétesse belge qui lui apprend le français et lui fait connaître des poètes comme Baudelaire, Lautréamont, Rimbaud, Mallarmé ou Apollinaire. En 1913, il découvre la toile qui fait le plus scandale et déchaine les passions : le nu descendant l’escalier de Marcel

d’or. » « Malgré son réalisme catégorique, mon œuvre comprendra des scènes réellement prodigieuses et je ne puis m’empêcher d’en communiquer quelques-unes d’avances à mes lecteurs à seule fin de les faire saliver ». « Philips est un jeune peintre canadien, fanatique Dalinien » « Je me répète une fois de plus – mais si ce n’était pas moi qui le répétais, je ne vois pas qui s’en chargerai gratuitement – je me répète que, dès mon adolescence, j’ai pris le vice de considérer que

maux se trouve dans la maison. Ce n’est point d’ellemême qu’elle tirera ce remède, à la suite d’une cruelle, d’une sanglante querelle. Et voilà l’hymne que veulent les dieux souterrains. ESCHYLE, Les Choéphores Oui, il s’agit bien de peinture, mais de peinture d’âme. Les romans de Jacqueline Harpman ne puisent pas tant leurs forces dans les intrigues que dans les relations entre individus. Le trouble d’une passion – haine ou amour– justifie bien une double approche littéraire et psychanalytique

son père, le descendant d'une lignée d'artisans, protestants émigrés du Sud-Ouest de la France, et par sa mère, de famille d'industriels essentiellement horlogers de Suisse, du Nord de la France et de la Belgique. Parmi ces derniers, le patronyme belge "Corbésier"[réf. nécessaire] influencera un des divers noms de plume dès 1920 utilisés dans la rédaction de L'Esprit nouveau, l'unique revue du courant puriste qu'il anime avec Ozenfant. Il semble que ce soit le totem indien du corbeau ou Corbu qui

pragmatique de l'objet de la photographie. L'ouvrage se présente par ailleurs sous la forme de petites réflexions qui se succèdent (sans forcément de lien entre chacune), traitant aussi bien de la question du cadrage, que celle de l'instant, du rapport peinture-photographie, du détournement, de l'expression, de la beauté, du punctum, … etc. De grands noms de photographes y sont cités, tels que ceux d'Atget, Friedlander, Wall... et aussi de théoriciens : Danto, Barthes, etc. A travers la grande diversité

définir le fantastique de manière rigoureuse. C’est en littérature que les analyses les plus pointues ont été réalisées, sans doute parce qu’elle a une histoire plus longue et davantage de productions sur lesquelles travailler. Trop de films ou de peintures sont qualifiés de fantastiques, alors qu’en y regardant de plus près, ce n’est pas le cas. L’analyse rigoureuse du genre littéraire a permis de mettre en évidence les éléments qui "font" une oeuvre fantastique, une oeuvre merveilleuse ou encore

épiscopal présente quelques sites importants de l'Oise dont le campement des chasseurs magdaléniens de Verberie et une maquette d'allée couverte de Trie-Château. L'ANTIQUITE Le nom de la ville vient des "Bellovaques", peuple de la Gaule Belge, dernier noyau de résistance à la conquête romaine. Une ville gallo-romaine, Caesaromagus (marché de César), s'installe au confluent des deux rivières, le Thérain et l'Avelon. A la périphérie, on a retrouvé des sépultures gallo-romaines et une stèle

L'ENFANT BLEU, d'Henry BAUCHAU Fiche auteur Henry Bauc hau est un écrivain, poète, dramaturge psychanalyste belge de langue française né en 1913. Très marqué par la guerre, et l'incendie de sa maison maternelle, dans sa plus tendre enfance, il parle alors de «déchirure originelle», blessure qu'il gardera à vie. En 1947, il entreprend une première longue psychanalyse qui le transforme, le détermine et irrigue son œuvre. Il publie son premier roman «La déchirure» à l'âge de 45 ans; viennent

‘homme-femme» sexualité et violence. «La foret» «l’homme qui chavire» «diego» «portrait de sophie bataille» «chariot 1950». Il évoque l’intranquilité de l’homme. Début du XXe siecle. Riechier : oeuvre kafkaiennes, inachèvement, mort. Dadaigne, artiste belge. Représentation antopomorphe, mégalitique, inachevé. Magdalena Abakanowicz (1985) personages démultipli, être non prensant, sans tête. (métal) sans communication possible»figure dos». Kienholz, artiste hollandais. Domaine de l’environemen, scenette

être vraiment changé par l'art. Quoi qu'il en soit du caractère provocateur de la phrase de Wilde concernant l'influence de la peinture de Turner sur la brume Londonienne, la mention du complément de temps « depuis » renforcé par l'adverbe « seulement » indique l'idée d'un début, d'une transformation radicale du réel après cet artiste. Il est indéniable que la peinture, et plus généralement l'art, puisse être considéré comme une force agissante sur le réel matériel, à plusieurs titres. La capacité