John Locke Démocratie

superiorité mathematique de l'economie de marché. I) les precurseurs du liberalisme economique. A) la theorisation du droit de propriété. John Locke revisite la theorie de Hobbes sur le contrat social dans son essai sur le gouvernement civil publié en 1690. il s'inscrit en rupture par rapport a Hobbes. Pour Locke, a l'etat de nature, l'homme n'est ni bon ni mauvais, il est doué de raison. L'etat de nature est ainsi un etat de relative liberté où la raison l'emporte sur la

Constitutionnel (DC) A. Les influences/sources historiques du DC Il y a 3 périodes historiques importantes qui ont permis la construction de ce DC : La période de l’Antiquité grec et romaine : On peut dater la démocratie de cette période. Demos (veut dire peuple) donc la démocratie c’est le pouvoir au peuple. A partir de là, puisque le peuple a le pouvoir, il faut organiser l’exercice de ce pouvoir. Il ne s’agit pas que de désigner le titulaire du pouvoir mais il faut aussi réfléchir à l’organisation

affaires publiques, les corps des Magistrats et le corps judiciaire » Politique, IV, 8 - Marsile de Padoue Il stigmatise la concentration des fonctions principales de l’Etat dans les mêmes mains ( Défensor Pacis 1377) 2° Le véritable précurseur : John LOCKE (1632-1704) Le philosophe anglais développera sa conception dans son «Traité du gouvernement civil »(1690 ). Elle est proche de celle de Montesquieu puisque : - il distingue trois fonctions : - législative : élaborer les lois 9 - exécutive :

dans son Dictionnaire de pédagogie et d'instruction primaire comme la sécularisation de l'Etat et la séparation des pouvoirs administratifs et religieux. La laïcité fait l'objet de travaux de la part de nombreux penseurs des Lumières, tels que John Locke, Voltaire et Diderot mais dans une acception libérale et d'un point de vue plus philosophique, plus limitée en termes de transposition dans les institutions politiques. On peut trouver un aboutissement précoce de ce mouvements dans la constitution

fondement de l'ordre juridique de l'ancien régime. Cette critique s'articule autour de 3 idées principales : → La référence aux libertés fondamentales que ce mouvement reconnaît aux individus. Il reconnaît ces libertés à la suite de trois auteurs, John Locke, Voltaire et Rousseau. → Modèle politique anglais, il sert de contre-point à la critique de la monarchie française. Les lettres anglaises de Voltaire. → Question de la résistance au pouvoir royal. Résistance analysée comme une volonté de refuser

tenu par un seul ou par plusieurs par un petit nombre, et ce petit nombre qui détient le pouvoir est l’aristocratie. Et si le pouvoir est détenu par le plus grd nombre, l’autorité souveraine appartient au plus grand nombre, donc on peut parler de Démocratie. Le peuple se prononce juridiquement de manière souveraine. Aristote rajoute un élément de complexité au critère quantitatif et à ce critère quantitatif, il rajoute un critère qualitatif. Selon s’il respecte l’intérêt commun ou qu’ils ont une ambition

affaires publiques, les corps des Magistrats et le corps judiciaire » Politique, IV, 8 - Marsile de Padoue Il stigmatise la concentration des fonctions principales de l’Etat dans les mêmes mains (Défensor Pacis 1377) 2° Le véritable précurseur : John LOCKE (1632-1704) Le philosophe anglais développera sa conception dans son «Traité du gouvernement civil » (1690). Elle est proche de celle de MONTESQUIEU puisque : Il distingue trois fonctions : législative : élaborer les lois exécutive : « parce que

nomme « la guerre ouverte ». L’un des meneurs de ce mouvement cristallise à lui seul trois aspirations allant à l’encontre des fondements du pouvoir du souverain absolu. Nous voulons parler de Montesquieu qui, influencé par des thèmes étudiés par John Locke (traité sur le gouvernement civil, 1690) développe les idéaux de liberté, de séparation des pouvoirs et de la primauté du droit de nature. En effet, ce dernier dérive de la négation de la monarchie de droit divin exposée plus haut. Diderot affirme

du pouvoir dans les systèmes politiques contemporains La répartition du pouvoir, c'est-à-dire l’organisation et la compétence de chacun des pouvoirs, s’inscrit dans la logique de la théorie de la séparation des pouvoirs, exprimée dès le XVIIème (Locke en Angleterre) mais qui s’est imposée surtout au XVIIIème sous la houlette de Montesquieu. Chapitre 1 : Le pouvoir aménagé et limité La limitation du pouvoir a été conceptualisée dans une volonté politique affirmée de mettre fin à l’arbitraire

propriété à été conceptualiser comme une pilier fondamentale du marché. C’est-à-dire le droit de propriété à été pensé comme le socle de l’organisation sociale. C’est John Locke qui peut être regardé comme le premier grand penseur libéral a théoriser le droit de propriété en effet dans son essai « le gouvernement civil » 1690 Locke explique en quoi la volonté, le besoin de protéger le droit de propriété a conduit au contrat social. A l’état de nature l’homme est ni bon ni mauvais, il est doué de