John Locke La Loi

régissent tant les associations étudiants que les individus qui les composent. C’est, entre autres, la raison pour laquelle les associations étudiantes peuvent faire usage de la grève comme moyen de pression dans ce conflit les opposant au gouvernement. La Loi sur l’accréditation et le financement des associations d’élèves ou d’étudiants (LAFAEE) confère à toute association accréditée le monopole de représenter les étudiants et de promouvoir leurs intérêts. Elle reconnaît à tout étudiant le droit de participer

Désormais le paysan athénien ne pouvait plus devenir esclave. Donc ça met à l’abris les travailleurs. Sa deuxième réforme a consisté à faire Solon codifier un certain nombre de règles juridique pour faire naitre une certaine égalité de tous devant la loi. Il a été jusqu’à faire publier ces règles. Et dans la mémoire collective historique Solon reste celui qui a fourni l’image archétype du législateur. Solon est resté comme étant le grand législateur. Solon a fait créer une nouvelle juridiction. Il

leur essence divine. A partir du 16ème siècle se développe un autre état de pensé, il ne s’agit plus d’une origine divine mais d’un contrat signé entre les hommes : il s’agit du « contrat social » auquel se rattachent les noms de Thomas Hobbes, John Locke et Jean-Jacques Rousseau. Il s’agirait d’un contrat consensuel : l’Etat est ainsi considéré comme une institution fondée par un groupe d’hommes auxquels se sont ensuite liés les autres hommes. §1 les théories du contrat social Selon les théories

tentation de vouloir identifier quelque grands auteurs du XVIII et de leur imputer la responsabilité intellectuel direct de la révolution. Cependant ils sont morts avant la rév Exemple Montesquieu mort en 1755 ( père de la séparation des pouvoirs) John Locke 1704 , Rousseau voltaire en 1778, Diderot en1784 (père de l'encyclopédie) La révolution compose avec l'esprit du siècle : pas de programme tracé à l'avance mais avec les références intellectuels fourni par le XVIII. A) L'esprit du siècle

est-il constitutif de son ordre, de sa fondation et de sa permanence ? En ce sens, est-ce qu’une société peut pleinement garantir son ordre et sa fondation de façon autonome ? Peut-elle – au sens premier de l’autonomie – se donner à elle-même la loi et assumer cette liberté, ou doit-elle nécessairement conférer à ses lois une autorité et une origine transcendante ? C’est une telle exigence d’autonomie qui fonde les démocraties modernes. Et s’il s’agissait de définir la démocratie, on pourrait

 Sujet : La loi et la hiérarchie des normes depuis 1958. D’après la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen, la loi est l’expression de la volonté générale. La hiérarchie des normes est une théorie élaborée par Hans KELSEN, un juriste autrichien très connu par son œuvre Théorie pure du droit qui date du début du XXe siècle. Lorsqu’il parle de « normes juridiques », Kelsen fait allusion au principe suivant lequel les règles de droit sont hiérarchisées entre elles, sachant que la Constitution

notion de loi se rattache également l’idée d’individualité : l’individualité est pour Leibniz une série de changements, série qui se présente comme une formule : « La loi du changement fait l’individualité de chaque substance particulière. » La monade Toute substance se développe ainsi suivant des lois intérieures, en suivant sa propre tendance : chacune a donc sa loi propre. Ainsi, si nous connaissons la nature de l’individu, pouvons-nous en dériver tous les états changeants. Cette loi de l’individualité

ni une réelle obligation lois ne sont pas considérées comme des contraintes mais des obligations les droits // le droit  le droit : système juridique en vigueur dans une société (le droit positif : droit institué dans une société) ⇒ constitution (loi fondamentale et dont toutes les autres lois doivent être conformes)  + les lois + règlements + jurisprudence (ensemble des décisions de justice rendue par rapport à un type de cas donné)  un droit :    « La liberté est le droit de faire tout ce que

l'origine de la guerre d'indépendance ne sont unifiées que depuis 1775. Lorsque la première constitution américaine est rédigée, celle de Virginie, elle s'inspire, de la déclaration des droits de 1689, et des travaux des philosophes britanniques (John Locke, Henry Home, Thomas Hobbes) ainsi que des philosophes des lumières (Charles de Montesquieu), qu'ont lus les acteurs de la Révolution américaine, tels que Benjamin Franklin ou Thomas Jefferson[11]. La constitution fédérale américaine de 1787, qui

droit de propriété...) mais aussi de devoirs (devoir de payer des impôts, devoir de respects des droits d’autrui…). Ainsi, la légitimité de l’autorité de l’Etat doit être encadré et accordé par les citoyens eux même, auquel cas, comme le dirait John Locke