Jonathan Swift

Christopher Marlowe, Le Docteur Faust (1592) *Shakespeare, Hamlet (vers 1600) ou Le Marchand de Venise (vers 1600) ou Macbeth (vers 1606), Beaucoup de bruit pour rien (1600) John Milton, Le Paradis perdu (1667) *Daniel Defoe, Robinson Crusoe (1719) Jonathan Swift, Les Voyages de Gulliver (1729) Samuel Richardson, Clarissa (1747/48) Henry Fielding, Histoire de Tom Jones, enfant trouvé (1749) *Laurence Sterne, La Vie et les opinions de Tristram Shandy, gentilhomme (1759-1767) William Blake, poèmes (1790-1820)

Rares sont ceux qui ont vu rire Staline », nous apprend le maréchal Joukov dans ses mémoires. « Quand c'était le cas, cela ressem¬blait davantage à un gloussement, comme s'il riait pour lui-même. » Parmi les autres agé-lastes célèbres, citons Jonathan Swift, William Gladstone et Margaret Thatcher. Comme l'amour, son unique rival en tant que source de plaisir de l'humanité, le rire jette un pont entre la sphère du mental et celle du physique, comme l'a observé l'incom¬parable Max Beerbohm

phrase « le chien a mordu le facteur ». Au lieu de simplement s’occuper de quelque chose (objet, ou personne, ou fantasme, etc.) et agir parmi les choses, on manipule des mots, et plus généralement des signes qui remplacent ces choses. Le romancier Jonathan Swift a imaginé un pays où les gens ne connaissent pas les mots ; ils se promènent avec un énorme sac à dos dans lequel ils ont un exemplaire de chaque chose ; si quelqu’un veut parler de chien et de facteur, il sort de son sac un chien et un facteur

vie, où l'infiniment grand croise l'infiniment petit. Ainsi, Voltaire n'hésite pas à créer le personnage de Micromégas, habitant de Sirius, et géant de quelque trente-deux kilomètres de hauteur ; dans Le Voyage de Gulliver, l'écrivain anglais Jonathan Swift imagine au contraire la rencontre du héros avec le peuple des Lilliputiens, êtres aussi grands que le pouce. Transportés dans ces contrées improbables, dans lesquelles les repères référentiels sont totalement bousculés, le lecteur est implacablement

livres, romans et autres …. Ou encore des cas où le niveau de langue y serait tellement élevé ou complexe qu’une minorité de personnes, seulement, pourraient y accéder, comme La veillée des Finnegan, de James Joyce (1939) ; Le conte du tonneau, de Jonathan Swift (1704) ou encore Être et Temps, de Martin Heidegger (1927). La littérature comme chaque chose a ses limites ; elle n'est ainsi pas forcément utile en ce sens qu'elle ne transforme par le mode de vie des gens et n'invite pas au progrès matériel

religion de sincérité et d’amour du prochain. VI / réception de l’œuvre Tristram Schandy est plein d’allusions et de références aux plus grands penseurs et écrivains de XVII et XVIII siècle. Parmi eux se trouvent Alexander Pope, Johne Locke et Jonathan Swift qui forment le cadre intellectuel de l’œuvre. Nous avons de fréquentes mentions faîtes à Rossinante et à Don Quichotte. Le roman utilise les théories de Johne Locke sur l’empirisme, c’est-à-dire sur la manière dont nous nous servons de ce que

connaissent la mort. On ne la souffre pas ordinairement par résolution, mais par stupidité et par coutume; et la plupart des hommes meurent parce qu'on ne peut s'empêcher de mourir.   "Des struldbruggs ou immortels.", conte philosophique de Jonathan Swift, extrait de " Les voyages de Gulliver», Voyage à Laputa, aux Balnibarbes, à Luggnagg, à Gloubbdoubdrie et au Japon, Chapitre IX, en 1721. Les Luggnaggiens sont un peuple très poli et très brave, et, quoiqu’ils aient un peu de cet orgueil

courage, générosité, ténacité… Doté d’un solide sens moral, il tient la première place dans la narration, qui se construit autour de son parcours et de ses exploits. Ainsi dans le roman d’aventures, des personnages tels que Gulliver dans le roman de Jonathan Swift, se caractérisent par leur courage, leur volonté, leur humanisme et leur générosité. Mais certain héros plus médiocre peuvent aussi nous apprendre des choses sur nous-même est sur le monde qui nous entoure. A l’instar de Sophie, dans les malheurs

qui a donné à la fin du XIXe siècle un statut scientifique au mot sadisme, comme antonyme de masochisme pour désigner une perversion sexuelle dans laquelle la satisfaction est liée à la souffrance ou à l’humiliation infligée à autrui. SWIFT (Jonathan) : (1667 – 1745) Écrivain satirique irlandais d'origine anglaise connu pour ses satires et ses pamphlets humoristiques ou plutôt ironiques, voire sarcastiques. Il fut membre du Scriblerus Club. Il publie en 1726, Les Voyages de Gulliver, satire

concepts essentiels auxquels nous tenons le plus à transmettre aux autres. Le véritable secret, n’est pas de parler beaucoup, mais de dire, en manière toujours différente, peu de choses. II EVALUER SES PROPRES CAPACITES DE COMMUNICATION Jonathan Swift, le célèbre auteur des Voyages de Gulliver, se plaisait à répéter que l’art le plus important de la communication publique est justement de savoir cacher son art. L’assurance que nous envions tant aux présentateurs de la télévision, la capacité