Joseph Schumpeter

classiques, c'est de les considérer par rapport à ce que représente actuellement l'économie. Les préoccupations des Ricardo, Locke, Smith ou autres n'étaient absolument pas les mêmes que ce qu'elles peuvent être pour un néoclassique. D'ailleurs Schumpeter a fondamentalement raison lorsqu'il écrit que c'est tout aussi absurde de parler de la physique d'Einstein comme étant néo-newtonienne que de qualifier par exemple Samuelson, de néo-classique. 1 C'est volontairement, qu'à plusieurs reprises, nous

innovation is? Innovation Innovation is “The introduction of new goods (…), new methods of production (…), the opening of new markets (…), the conquest of new sources of supply (…) and the carrying out of a new organization of any industry” (Joseph Schumpeter) “Change that creates a new dimension of performance” (Peter Drucker) Economics of innovation Sept_Dec. 2010 Ludovic Dibiaggio Innovation? Economics of innovation Sept_Dec. 2010 Ludovic Dibiaggio Different ty pes of innovation

beaucoup à l’économiste Joseph Schumpeter[4] ainsi qu’à l’école autrichienne. SCHUMPETER met en avant l’innovation dans la notion de l’entrepreunariat. Il voit l’entrepreneur comme un agent de changement. Le terme d’entrepreneur au sens de l’école autrichienne s’oppose au concept d’ homo œconomicus développée par Adam Smith. Selon Smith, l’homme est un agent économique égoïste dans l’échange, recherchant en priorité à maximiser son profit. Dans la conception de Schumpeter, l’entrepreneur n’est pas

Synthèse savoirs 1e année 1     Logique entrepreneuriale         et logique managériale I. La logique entrepreneuriale : un état d’esprit et une démarche A. ENTREPRENEURIAT ET LOGIQUE ENTREPRENEURIALE 1. L’entrepreneur selon Joseph Schumpeter Pour Joseph Schumpeter, un entrepreneur est un agent économique dont la fonction est d’exécuter de nouvelles combinaisons de production qui correspondent à de nouveaux objets de consommation, de nouvelles méthodes de production, de nouveaux marchés ou de

travaux de Joseph Schumpeter, le premier économiste à avoir fait valoir que le développement économique est mû par l’innovation, par le biais d’un processus dynamique dans lequel de nouvelles technologies remplacent les anciennes. Il a baptisé ce processus « destruction créatrice ». A ses yeux, les innovations « radicales » façonnent les grandes mutations du monde alors que les innovations « progressives » alimentent de manière continue le processus de changement. Dans la lignée de Schumpeter, les approches

semblent en bien résumer l‘esprit général en quelques pages. L’expérience de la ville moderne est celle de l’ambivalence. Vouée pour se développer à détruire sans cesse le passé dont elle hérite — dans un mouvement semblable à ce qu’en économie, Joseph Schumpeter désignait comme celui de la destruction créatrice —, elle nous laisse incertains, tiraillés entre la nostalgie de ce qui disparaît et la fascination pour l’histoire en mouvement. Didier Lapeyronnie exprime admirablement cette « ambiguïté profonde

dimension de l'incertitude et de risque calculée associée à ce type d'approche. Néanmoins, nous devrons néanmoins attendre jusqu'au 1947 pour évoluer notre compréhension de l'entrepreneuriat grâce à l'école Autrichienne et particulièrement Joseph Schumpeter . Pour lui, l'entrepreneur est un innovateur, un créateur, un agent du changement. Il insiste profondément sur l'aspect innovateur de l'esprit entrepreneurial et sur la participation active de l'entrepreneur au développement économique par ce

obstacles: décalage entre les qualifications demandées et offertes, répartition des gains de productivité défavorables à la croissance depuis les année 90... Les effets contrastés du progrès technique sur l'emploi ont été résumés dans la formule de Schumpeter : la "destruction créatrice" est une donnée fondamentale du fonctionnement du capitalisme. II. Complétez le texte suivant  (0,5 pt par bonne réponse, - 0, 25 pt pour réponse fausse, 0 pour non réponse) : Le progrès technique se caractérise

nécessitent des investissements des entreprises pour financer des nouvelles machines, de nouveaux équipements qui permettront la création de nouveaux produits et amélioreront la productivité. Ce phénomène est appelé « destruction créatice ». Au sens de Schumpeter, c’est la destruction des anciennes combinaisons productives pour en mettre en place de nouvelles plus efficaces, permettant d’augmenter la production et donc la croissance. La croissance économique, grâce aux innovations, peut également s’expliquer

caractéristiques communes. Ils se démarquent par leurs capacités d’innovation, de créativité et de prise de risque. · L’entrepreneur : innovateur ou organisateur ? Deux conceptions de l’entrepreneur s’affrontent : - La première développée par Schumpeter, qui considère que l’entrepreneur est un innovateur, qui est capable de créer et d’identifier de nouvelles opportunités. - La seconde par Jean-Baptiste Say, pour qui l’entrepreneur a un rôle, il coordonne les sources afin d’optimiser la production