Joseph Schumpeter

Schumpeter (1ere moitié XX) Un inclassable Contemporain de Keynes. Enseignement NC. Mais principales préoccupations : la croissance, la dynamique du capitalisme. Critique la pensée de son époque centrée sur la recherche de l’allocation optimale des ressources, vision d’un PT continu. Annonce victoire du socialisme (tout en le regrettant) due à une bureaucratisation du capitalisme. Il est inclassable, hétérodoxe. Approche à la fois économiste, historienne, sociologue… Aujourd’hui : à nouveau

panne : d’une pénibilité physique au travail à un stress, une angoisse de la panne Illustration récente avec les suicides au travail chez Renault ou France Télécom. Intro : Phrase à partir du doc.2 en guise d’accroche La destruction créatrice (Schumpeter) en guise de mise en perspective I) Les effets sur le volume des emplois A) les effets directs à CT 1) gains de productivité  réduction mécanique d’emplois (doc.4) 2) mais effets des innovations sur la demande (doc.1) B) les effets

D’où vient le progrès technique ? Jusqu’à Schumpeter, une grande partie des économistes considéraient le progrès technique comme un fait économique imprévisible et indépendant. Au mieux, certains le considéraient comme un fruit de la croissance. Pour eux, plus il y a de capital accumulé, plus on peut faire de recherches et donc plus on a de chances de parvenir à innover. Pour l’économiste autrichien, le progrès technique n’est pas une manne qui tombe du ciel. Il s’explique par la volonté d’innover

Introduction : Bien souvent, le Progrès technique apparaît comme l'ennemi du salarié. Définit par Schumpeter comme "destruction créatrice", il aboutit souvent à des suppressions d'emplois en mécanisant le processus de production et en laissant de côté des emplois peu qualifiés ne pouvant pas faire face aux besoins de savoir-faire technique. Nous devons, donc dès lors, analyser pourquoi ce phénomène dont les effets positifs sont réels pour les salariés en termes de qualité de l'emploi comme en élargissement

réduisent la richesse - crise frumentaire de l’ancien régime (récolte bonne : prix baisse et inversement), tout ceci accompagner de chômage B. Quelles sont de surcroît répétitive (récurent) - fluctuations des cycles d’étau de Juglar, innovation de Schumpeter - ex : faillite bancaire au XIX et les krach - imperfection du marché, asymétrie d’information (Akerloff), Phelps, C&A : l’accélerateur. C. d’où la nécessité de politiques anti ou contracycliques. - keynésienne (stop and go) qui font référence

moral, social Déclin de la noblesse chez Balzac II- Permet de nous surpasser Déclin démographique. Dans la défaite, le plus important n’est pas de perdre mais de se relever. Déclin entraine grandeur avant. Crise permet parfois de se relever Schumpeter : « destruction créatrice » Déclin d’un secteur pour en favoriser un autre Déclin du soleil, cyclique et naturel III- Donc de mieux nous connaître. Mais là encore, il ne s'agit que d'une étape dans la pensée de Saint Paul. Car pour Paul

concentration des firmes est une loi d’évolution du système. Course au profit. Sélection darwinienne du M la concurrence tue la concurrence. Coase : la firme se substitue au M en internalisant les facteurs et en supprimant les couts de transaction. * Schumpeter : tendance naturelle de ce secteur au monopole. Concurrence pousse à innover, ce qui confère tjrs une position monopolistique. Position temporaire à condition que les M restent « contestables » (concurrence potentielle garantie les prix concurrentiels)

dans la société et dans l’économie, il permet de rétablir l’équilibre tant le marché est instable comme peuvent le montrer les crises successives qu’il connaît, ce à quoi les libéraux rétorquent que le marché s’autorégule, en prenant l’exemple de Schumpeter et de son concept de « destruction-créatrice », on voit qu’une crise permet en réalité « d’éliminer » les agents les moins performantes pour ne garder que les meilleurs. De plus, l’Etat intervient constamment lors des crises, ne laissant jamais

Chapitre 1 La logique entrepreneuriale & managériale La logique entrepreneuriale doc 1 1.1 Définition de l’entrepreneur selon J. Schumpeter Pour Schumpeter un entrepreneur est un agent économique dont la fonction est d’exécuter de nouvelle combinaison. Ce qui correspond à : de nouveaux objets de consommation, de nouvelles méthodes de production, de nouveaux marché, de nouveaux types d’organisation Pour réaliser ces combinaisons, il doit percevoir les opportunités

de la croissance. En ce qui concerne, l’effet d’échelle de la théorie de la croissance Jones fait valoir que certaines données factuelles réfutent «  l’effet d’échelle » de la théorie Schumpetérienne. En effet, pour cela il explique que selon Schumpeter, un accroissement de la population aurait pour première conséquence un agrandissement du marché de l’innovation et pour deuxième conséquence un agrandissement du nombre d’innovateurs potentiels. Cependant, appliqué à certains pays cette théorie