Joseph Schumpeter

des entrepreneurs ausens de Schumpeter mais également des managers. Pour l’économiste autrichien Schumpeter (8 février 1833-8 janvier 1950) un entrepreneur doit être un élément actif de l’entreprise. Il doit fairepreuve de créativité et c’est le cas de Michel et Augustin, ils veulent créer une nouvelle gamme de produits artisanaux alors que de grandes multinationales « occupent » déjà le terrain. Cette envie dese démarquer rejoint également l’un des points de Schumpeter qui est de « vouloir lutter

: la centaine de salariés et ses actionnaires * Externe : les clients de GENFIT et des grands laboratoires pharmaceutiques (SANOFI AVENTIS et SERVIER) et des entreprises industrielles. * 2) Les innovations développées par GENFIT sont au sens de Schumpeter des innovations produits que ce soit les candidats médicaments ou les candidats médicaments propriétaires. Ce sont des innovations majeures car elles peuvent modifiées les habitudes des consommateurs. Elles reposent également sur la capacité technique

L'agriculture devient le fleuron du capitalisme 2) La révolution industrielle : une révolution technique et scientifique -Rôle clef du progrès technique dans 3 domaines 1) Le textile -Des innovations en cascades 1733 Kay « navette volante » Cf Schumpeter et la théorie des « grappes d'innovations » -1/4 des emplois industriels jusqu'au milieu de XIXeme siecle -Le coton et la Laine sont au cœur de la révolution. 2) Le fer -Une succession de découvertes 1732 « le Coke » de Darby

Hausse de la productivité -> baisse du tmps de L Pr Schumpeter, le PT joue un rôle essentiel ds l’activité éco (la croissance). Selon lui, innovations apparaissent en grappes car 1X qu’1 entrepreneur a ouvert la voie de l’innovation, les autres hésitent moins à suivre. Or, comme innovations apparaissent par grappes -> effets importants sur l’activité éco. Ces grappes d’innovation entraînent des cycles dans l’activité économique. Pr Schumpeter, ces cycles sont donc dus au PT. En effet, selon lui

- Adopter une structure juridique (EI, SARL, SA, SAS…) - Organiser les activités L’entreprise dispose de compétence lui permettant d’anticiper, de se projeter, d’innover mais surtout c’est sa capacité à prendre des risques. Pour l’économiste SCHUMPETER, l’entrepreneur incarne « le pari de l’innovation » : il est capable de « transformer une idée ou une invention réussi ».  C’est « la destruction créatrice » qui conduit au progrès. II. La mise en œuvre d’un projet entrepreneuriale Le plan d’affaire

l’entrepreneur « il n’y a pas un caractère d’entrepreneur mais il en faut pour l’être ». Un entrepreneur a un besoin d’indépendance d’autonomie. Il est capable de prendre des initiatives, il a le goût du risque. Il a des capacités de travail illimité. SCHUMPETER : il a insisté sur le rôle de l’entrepreneur, il fait parti du processus de destruction créatrice. En innovant et en créant des entreprises nouvelles, les entrepreneurs créent des emplois. La reprise d’entreprises permet de sauvegarder chaque année

L’entrepreneur chez Schumpeter Pb : En quoi l’entrepreneur est-il un facteur d’évolution économique selon Schumpeter ? (J’ai fait des recherches, en fait Schumpeter ne fait jamais de lien entre croissance et innovation/entrepreneur, au contraire, il fait le lien entre récession et expansion : soit l’évolution éco) I) Les entrepreneurs à la source de l’innovation a) Les caractéristiques schumpeterien L'intérêt de cette théorie est clairement de mettre en valeur le rôle de l'humain dans

d’investir. - liquidation : c’est le moment où chacun essaie de limiter les dégâts au maximum, on veut récupérer les investissements qu’on a fait en se débarrassant de tout tant que les prix ne sont pas encore au plus bas 2°Schumpeter Léon Schumpeter n’ayant pas été convaincu par les recherches de Juglar vint compléter les recherches sur les cycles d’affaires, pour lui l’investissement est la cause principale des cycles et il les expliqua selon 4 phases : - Prosperity : euphorie

il posa lui aussi des problèmes de définition et suscita une grande controverse dans l’’entre deux guerre. Cette controverse dite « des boîtes vides4 » contribua surtout à entretenir une certaine confusion autour du sens véritable de ce concept - Schumpeter dira d’’elle notamment qu’’elle fournit « un exemple criant de la lenteur et des circonvolutions du progrès analytique »5. C’’est avec la contribution de Viner (1931) que se dissipent enfin certains malentendus. Il introduit une distinction déterminante

appel à des employés déjà qualifiés. Les salariés n’ayant pas encore acquis les compétences nécessaires ; c’est-à-dire les non qualifiés, se retrouveront alors au chômage. Nous pouvons également parler du concept de destruction créatrice qui, selon Schumpeter, peut être douloureuse. Les ouvriers ayant des compétences rendues obsolètes par les nouvelles technologies perdent leur emploi. Bien qu’elle permette à de plus nombreux travailleurs d’avoir une activité plus créative et plus productive, elle peut