Joseph Schumpeter

biens de production. Des cycles à plus court terme sont dus également au mouvement des stocks (cycles Kitchin), tandis que les cycles d’innovation rythment selon Schumpeter les mouvements à long terme de l’économie (cycles Kondratiev).  B. Les contradictions du capitalisme  1. La croissance capitaliste : un état de crise permanent. Schumpeter définit la croissance comme « un processus de destruction créatrice, révolutionnant sans cesse de l’intérieur la structure économique, en détruisant continuellement

s’intéressent peu à cet agent économique. De fait, il peine à trouver sa place dans une économie statique et équilibrée, lui qui propulse la dynamique économique par son esprit d’entreprise et une « capacité de jugement » hors normes. Réhabilité par Schumpeter, ce « révolutionnaire de l’économie » possède plusieurs facettes : entrepreneur innovateur ou routinier, propriétaire ou simple manager d’entreprise, spéculateur hors pair, il semble multiplier les rôles. Cependant, on évoque depuis les années 1980

soient capables d’augmenter la richesse par habitant il a déjà fallu créer des conditions acceptables pour augmenter la population mondiale (nourriture, habitation, argent, travail) C- Aux origines de la croissance Progrès technique : « Schumpeter » > Questions sur l’innovation et progrès technique et relation progrès technique et croissance. Division du travail : « Smith » > la fabrique d’épingles : nous dit que la croissance vient aussi de changement d’organisation de la production

des risques calculé. Le profil de l'entrepreneur : Il a besoin d'autonomie, d'indépendance, il veut également ne pas dépendre d'une hiérarchie.Il souhaite prendre des initiatives. Il a le goût du risque. Le rôle de l'entrepreneur (selon Schumpeter) Pour cet économiste , l'entrepreneur permet le fonctionnement du système capitaliste : il innove, en créant de nouveaux pdts ou services et en conséquence certaines activités traditionnels vont être détruites pour être remplacer par de nouvelles

s’opposent dans la réponse à cette problématique. La première, l’ecole libérale, celle de Keynes, Schumpeter, Davis, Cameron, Sylla et bien d’autres, est positive quant à l’influence des marchés financiers dans la croissance. Bagehot et Hicks montrent que les marchés financiers facilitent la mobilisation du capital (nottament lors de l’essor de l’industrialisation de l’Angleterre).! Schumpeter remarque que lorsque les banques fonctionnes bien, cela encourage l’innovation technologique.!

comme du pire mais c'est dans le pire que je suis le meilleur Schumpeter met en avant le rôle majeur des innovations dans l'impulsion, la mise en mouvement de l'économie sous l'action de l'entrepreneur. C'est par la fabrication de produits nouveaux, l'adoption de procédés et de techniques inédits, l'utilisation de nouvelles matières premières ou l'ouverture de nouveaux débouchés que les structures finissent par changer. Schumpeter met en évidence le rôle déterminant de l'innovation dans l'impulsion

Profil de l’entrepreneur : Intuitif Volontaire Volonté d’autonomie Sens de l’initiative Goût du risque Capacités à détecter des opportunités Rôle de l’entrepreneur : Rôle économique : créer de l’innovation donc processus de destruction créative (Schumpeter) Rôle social : finalité absolue n’est pas de faire du profit mais de créer des emplois, insertion social… II- La logique managériale Profil du manageur : Communicateur Organisateur Mobilisateurs de compétences Stratège Rigoureux Coordonnateur

produite/facteurs de prod. 2. Le progrès technique Loi des rendements décroissants : apport du K au bout d’un certain temps n’a pas d’impact sur la production Croissance autoentretenue ou croiss. endogène : croissance du futur générée par celle du passé Schumpeter : dit que la croissance est un processus de destruction créatrice (destruction des éléments obsolètes pour en créer des nouveaux, ex : appareil photo anciens remplacés par les numériques, téléphones portables avec unique fonction d’appeler remplacés

Entrepreneuriale basé sur la créativité Managériale basé sur l’optimisation des ressource. I. La Logique entrepreneuriale A) L’entrepreneur selon Schumpeter (1928) Pour Schumpeter le moteur de l’économie c’est l’innovation. L’entrepreneur c’est celui qui prend des initiatives et qui crée. Il s’investit personnellement dans son projet. Pour Schumpeter, la notion d’innovation peut se traduire par : La production de nouveaux produits Le développement des nouvelles méthodes de productions L’introduction

Le progrès technique est un résidu une manne celeste tombé du ciel. Robert Kahn: Le multiplicateur keynesien Paul Romer: Recherche et développement Robert Lucas: Le capital humain. Robert Barro: Infrastructure et dépense publique. Schumpeter: Le progrès technique plus innovation et destruction créarice grappe d’innovation Smith: extension des marchés II/: Arthur c pigou: Internationalisation des externalités Ricardo: Théorie des avantages comparatifs H.O.S: Théorie des