Jouissance

celle de quelqu’un d’autre, mais il ne s’agit pas de véritable justice. Je fais « payer quelqu’un » mais dans une monnaie trop suspecte, la souffrance, comme le disait Nietzsche « faire souffrir fait plaisir cela apporte à la partie lésée une contre jouissance extraordinaire ». En un sens la jstice est une forme de vengeance, en faisant appel a la justice on condamne le coupable à vivre avec des regrets. C’est pour cette raison que l’on nomme un juge, qui sera impartial, qui rendra la justice, en

maitre de tout » Cela démontre la notion d’appartenance. Il a une façon épicurienne de décrire dorimène « vos lèvres apetissantes » « et de vos petits tétons rondelet » dans ses conditions il parait heureux de se marier, il nous fait part de sa jouissance et veut savoir si il en est de meme pour la jeune fille. Ex : « n’etes vous pas bien aise de se mariage, mon aimable pouponne ? » Sganarelle s’attend a une reponse brève de la part de dorimène alors qu’il n’en est rien, puisque dorimène

sommes asservis à la pulsion du désir, aux espérances et aux craintes continuelles qu'il fait naître, tant que nous sommes sujets du vouloir, il n'y a pour nous ni bonheur durable, ni repos. Poursuivre ou fuir, craindre le malheur ou chercher la jouissance, c'est en réalité tout un ; l'inquiétude d'une volonté toujours exigeante, sous quelque forme qu'elle se manifeste, emplit et trouble sans cesse la conscience ; or sans repos le véritable bonheur est impossible. INTRODUCTION Dans le texte

être une source de motivation donc de plaisir un plaisir qu’il peut susciter par l’imagination. Le fait de se projeter dans le futur avec pour vision d’avoir pu matérialiser une espérance (dans le sens de désir) procure une sensation de joie, une jouissance attendue est donc quelque chose de très positive pour l’être humain. De plus certains désirs assouvis sont sources de plaisir comme le dit Platon qui utilise dans le Banquet un autre mythe, raconté cette fois par la prêtresse Diotime (Banquet,

plaisir n'a pas sa place dans l'éducation -L'homme est un "animal politique", il doit pouvoir s'intégrer dans une société et pour ce faire, doit se "former", s'éduquer => Il doit renoncer à certains plaisirs, car l'homme qui ne vit que dans la jouissance est comparable à une "bête", il ne vit qu'en suivant son instinct et ne cherche pas à acquérir les normes et les valeurs sociales que l'éducation lui procurerait. -L'éducation devrait donc se faire par la contrainte => Une éducation par le plaisir

entrainement ou le prochain match à jouer même s’il faut se lever à 6h un dimanche matin. Le désir était vu comme une malédiction du temps des grecs. En premier lieu, il était vu comme un manque et en second comme un plaisir ou en rapport avec la jouissance voire même, pour certains, avec l’orgasme et donc, il faut liquider ce désir car c’est un cercle vicieux où une fois, le désir atteint, il y a décharge, le plaisir et puis, c’est le retour du désir et ainsi de suite. Si le désir est lié au plaisir

Bergson | | | | |(l.47-52) | |Bonheur |“Le bonheur est par définition |“Le bonheur est repos, et l'homme, |Le bonheur est “la jouissance infinie | | |total et parfait.” (l.53) et |ici-bas au moins, ne peut se |de l'être” selon Spinoza | | |donc, impossible à l'homme et |reposer dans l'Eternel.” (l.60-61) |

à venir, l'assurance de pouvoir obtenir cette satisfaction. continuelle: sans arrêt, selon une poussée continue en avant, vers l'avenir. d'un objet à un autre: à condition d'avoir le pouvoir, c'est dire l'assurance de se le procurer. saisie: jouissance de la possession. Ainsi chaque objet est sur une route, une orientation vers un autre objet. désir futur: de ce qu'il désirera dans le futur. aussi: en conséquence. action volontaire: ce qui est réalisé selon un plan, dans une continuité, sans

Comme le disait Henri Laborit dans l’Eloge de la fuite, « On ne peut être heureux si l’on ne désire rien ». Etre conscient du plaisir que peut apporter l’objet de notre désir, et d’avoir conscience d’en manquer, c’est désirer. Le bonheur est cette jouissance et ce plaisir qui nous donne une impression de satisfaction et qui nous rend heureux. Alors, que faut-il désirer pour être heureux ? Autrement dit, de quoi est-il nécessaire d’avoir conscience de manquer, d’en être frustré et souffrant, pour se

conclusion de son argumentation dans les lignes 16 à 21 : l’homme, s’il veut rester vivant et humain, ne peut se priver de désirer sans devenir misérable. Mais y-a-t-il réellement plus de bonheur dans les illusions du désir que dans la jouissance que procure son accomplissement ? Les illusions valent-elles donc mieux que la réalité ou même la vérité ? Le désir, expression d’un manque, peut-il rendre l’homme heureux ? Dans les lignes 1 à 3, le philosophe expose sa thèse