Journal Intime De Mme Bovary

scientifique et impersonnelle ‘’ IMPARTIAL : Objectif/ Neutre C’est pour cela qu’il lui faut plusieurs années pour écrire  Observation pure et objective. Il dit ‘’Il faut se transporter dans les personnages et non les attirés à soit. ‘’ D’où le ‘’Mme Bovary, c’est moi. ‘’ Esthétisme : Travail énormément sur la sonorité. Il met d’ailleurs au point ‘’L’épreuve du gueuloir’’  Consiste à hurler ces textes dans sa propriété après les avoir écrit. Cela l’aide à entendre si ça sonne. B. Flaubert et la

| | |Parole subjective[xviii] : l’autobiographie et le | | | | |journal intime | |3. Genre romanesque |Récit d’événements imaginaires |Adhésion à une histoire et à des |Le conte, la nouvelle, le roman | | |

trouver une forme d’auteur, Léo Spitzer va étudier une œuvre isolée, un poème, une tragédie, un roman, qu’il traitera comme un organisme complet, un tout qui se suffit à lui-même. De même, J. Rousset dans Forme et signification affirme : « Madame Bovary constitue un organisme indépendant, un absolu qui se suffit à lui même, un ensemble qui se comprend et s’éclaire par lui-même ». Vision romantique et relation immédiate du sujet littéraire au monde et à la nature. III- Comment repenser la bibliothèque

Gustave Flaubert ( 1821-1880) "Le tempo de Flaubert dans Madame Bovary comme dans l'Education sentimentale est tout entier celui d'un cheminement rétrospectif, celui d'un homme qui regarde par dessus son épaule, beaucoup plus proche par-là de Proust que de Balzac." Julien Gracq, En lisant, en écrivant, 1981 Gustave Flaubert naît à l'hôtel Dieu de Rouen le 12 décembre 1821. Son père Achille Cléophas Flaubert en est le chirurgien en chef. C'est le second enfant de la famille. Son frère aîné,

L’INVENTION DES NOMS PROPRES DANS MADAME BOVARY Essai d’onomastique flaubertienne L’examen approfondi du nom des personnages est souvent une aide précieuse pour qui veut comprendre l’élaboration d’une œuvre romanesque. Dans cette optique, une étude de l’onomastique dans le roman de Flaubert Madame Bovary a été publiée autrefois par Jean Pommier, dans un numéro de la revue Mercure de France, le 1er juin 1949. Cette étude, « Noms et prénoms dans Madame Bovary »1, intéressante quoique très incomplète

concernant des milieux sociaux, des professions, Zola : la vie campagnarde pour l'historien. 20 romans qu'il échelonne dans le temps de génération en générations avec un arbre généalogique. Roman feuilleton (au moment des développements des journaux, fin XIXe siècle), comme le comte de Monte-Cristo. Attention que la longueur ne décourage pas le lecteur. I) La sociologie du roman Bibliographie : M. Raymond, Histoire du roman de la révolution à nos jours -(1960) P. Amon, Le personnel

...................... 23 3.3 L’âge et la vérité .............................................................................................. 26 4 LA BARRIÈRE ENTRE LA FOLIE ET LA SAGESSE .................................... 29 4.1 La limite intime ............................................................................................... 29 4.2 La limite sociale ............................................................................................... 32 4.3 La limite invisible

d'introspection et de franchise totale. On peut aussi parler de rapport direct avec le vécu de l'auteur dans des oeuvres comme Les Essais de Montaigne, les Mémoires (Saint-Simon, cardinal de Retz, S. de Beauvoir, etc.), les Journaux intimes (Stendhal, Gide, etc.), les Lettres (Mme de Sévigné), les autobiographies (Gorki, J. Vallès). La poésie, d'autre part, est un domaine privilégié pour l'expression des sentiments personnels souvent en relation avec des événements précis de la vie de l'écrivain : ainsi

assiste à une simple succession chronologique d'événements — comme dans la chronique ou le journal intime, qui ne sont pas des récits, au sens strict : au-delà de la succession temporelle, il existe une logique de l'histoire, une "causalité narrative". 6. Tout récit comporte une sorte de "morale", que celle-ci soit exprimée ou sous-entendue. On ne raconte pas "pour rien": même les faits divers de journaux ont certaines finalités — inciter à la prudence, exploiter le goût des lecteurs pour le sensationnel

Gustave Flaubert. Le personnage principal, Frédéric Moreau, jeune homme de 18 ans au début de l'œuvre, part pour Paris dans le but d'avoir une vie noble et propice aux amours et à la gloire. Il nourrit des rêves d'artiste, et tombe très amoureux de Mme Arnoux, femme d'un homme influent dans Paris. Cependant celui-ci échoue dans son entreprise amoureuse et sociale. Nous sommes en présence d'un échec du roman d'apprentissage, en partie dû au caractère velléitaire du personnage. Il est présenté comme