Journée de l’enfant africain

transmettre la maladie que nous avons interrogées lient la drépanocytose à la fatalité ou à la sorcellerie. Par ailleurs, il n'existe aucune structure de dépistage, de prise en charge et de suivi médical régulier de l'enfant atteint comme c'est le cas dans les pays développés. L'enfant drépanocytaire est vécu comme un être condamné à mourir très précocement. Depuis mai 1993, a donc été mis en place à Cotonou un programme de dépistage précoce de la drépanocytose, de prise en charge médicale et de

Un Conte:Un étudiant africain aux États-UnisIl était une fois un enfant sénégalais, curieux et intelligent. Il s'appelait Modou. Modou avait toutes les qualités que sa société utilisait pour définir un enfant bien éduqué. Ses parents, qui ont forgé ce caractère, étaient fiers de leur fils exemplaire. En effet, ils l'ont éduqué dans des conditions spécifiques de punition et de récompense, qui ne dépendaient que des actes de l'enfant. Ils ont fait de l'enfant le maître de son destin dès son plus jeune

parallèles puis nous nous sommes concentrés sur un tout autre projet unique, par la suite. Le premier était une journée/soirée sur le thème africain contenant un spectacle de danse et un repas africain ouvert à tous pour découvrir la culture africaine. Avec cet évènement nous voulions récolter des fonds à l’aide d’une tombola, d’une buvette, d’un repas et de la vente d’objets Africains fournis par MAPRO Africa avec la participation et les conseils de Séverine Proust. Elle devait également nous aider

guerres civiles africaines. Il relate l’histoire de Birahima, orphelin ivoirien, qui part à la recherche de sa tante résidant en Sierra-Léone et se fait enrôler dans l’une des nombreuses milices du pays. A ses côtés, évolue Yacouba, Alias Tiécoura le grigriman, multiplicateur de billets. Pourchassé par la police ivoirienne pour association de malfaiteur, Yacouba s’est enfui en Sierra-Léone pour y refaire fortune en pleine guerre. Kourouma prend prétexte d’un enfant soldat africain, pour entraîner

tournant redoutable pour de nombreux couples ». L’enfant peut être exposé à la violence dès la période prénatale. En effet, la violence débute bien souvent lors de la grossesse. Ainsi, le fœtus peut être d’une part, affecté par l’état psychologique de la mère qui se dégrade à cause des violences vécues et, d’autre part, par la violence physique, par exemple si la mère est bousculée ou reçoit un coup dans le ventre. Dès son plus jeune âge, l’enfant peut être témoin oculaire de la violence exercée

bonne et jeune équipe d'animation et enfin, une activité dominante qui permettait d'échanger régulièrement avec les jeunes. Ce fut pour moi l’occasion de mettre en pratique les acquis du stage théorique. D’une part, tout ce qui a trait au rythme de l’enfant : le lever, la toilette, la santé, les repas, les veillée. D’autre part, faire attention au cadre législatif d’un camp itinérant : les déplacements, la mixité, l’hébergement, le tabac… Enfin, ce fut l’occasion de mesurer l’étendue de mes compétences

collègues, chers invités Le thème qui nous réunit aujourd’hui et sur lequel nous allons nous pencher est d’une importance capitale. Nous adressons en conséquences nos remerciements et nos vives félicitations aux initiateurs et organisateurs de cette journée d’action et de ce débat intellectuel pour non seulement l’intérêt qu’ils attachent aux problèmes de l’école et aux enseignements mais aussi pour la confiance placée sur ma modeste personne. Chers collègues, cette volonté de cerner la place et le

avec les acteurs institutionnels et associatifs du département. C'est pourquoi l'Ades a organisé avec Chronique Sociale une journée de réflexion "Favoriser l'estime de soi à l'école, au collège, au sein du quartier - Des fondements, des pratiques", le 24 mai 2007 au CH St-Jean-de-Dieu. Pour une meilleure appréhension de l'estime de soi, des professionnels* présents à cette journée nous ont livré des éclairages théoriques et ont évoqué les enjeux psychologiques, sociologiques et de santé publique des

islamique prend le contre-pied de ce mode de transmission, en posant que l'enfant d'une esclave est libre si le propriétaire est le père de l'enfant. La «mère d'enfant» – le titre est officiel – est libérée à la mort de son maître. La législation islamique se situe sur ce point dans la continuité des législations mésopotamiennes qui nous sont parvenues: un père libre et veuf qui épouse une esclave peut même faire de l'enfant qui naîtrait de cette union son héritier s'il l'a expressément adopté. La

normatif de l’assistance juridique …………………………………………... 28 1. Les textes internationaux …………………………………………………………….... 29 a. Les textes généraux ……………………………………………………………………. 29 b. Les textes spécifiques aux mineurs……………………………………………………. .30 2. Les textes africains …………………………………………………………………….. 30 a. Les textes à valeur juridique contraignante ……………………………………………. 31 b. Les textes indicatifs……………………………………………………………………..32 3. Les textes nationaux…………………………………………………………………….33 a. La Constitution du 11 décembre 1990…………………………………………………