Judaïsme orthodoxe

Il a existé également un judaïsme africain sur lequel nous sommes malheureusement peu renseignés. Les auteurs chrétiens comme Tertullien nous parlent des communautés juives d’Afrique, mais leur témoignage est souvent empreint d’hostilité. Quant à l’archéologie, elle a mis au jour des vestiges limités, comme la nécropole de Gammarth, fouillée par le Père Delattre, ou la synagogue d’Hammam Lif. Mais tout cela fait bien peu d’indices pour retracer l’histoire du judaïsme africain. On le voit, la diversité

discordantes. A) La religion peut transgresser la loi. En tant que « République laïque » la France n’autorise personne à ne pas respecter la loi française au nom de telle ou telle religion. En effet, certaines religions telles que, par exemple, le judaïsme ou l’Islam, possèdent, dans leurs dogmes, des règles qui se rapprochent d’un certain point de vue d’un code civil. Ces règles strictes doivent être respectées par le pratiquant, au quotidien, dans la vie de tous les jours. Il arrive donc, dans bien

de la péninsule Ibérique convertis au christianisme, mais ayant, pour la plupart, secrètement maintenu une certaine pratique du judaïsme. Confrontés à la méfiance des autorités, particulièrement de l'Inquisition et à un climat d'intolérance envers les convertis, un certain nombre d'entre eux se sont exilés et une fois loin de la Péninsule ibérique, sont revenus au judaïsme lorsque cela était possible, comme aux Provinces-Unies au xviie siècle. On peut noter que le grand-père de Baruch, Abraham de Espinosa

Lilith (1892), par John Collier. Étymologie et originesModifier On peut retracer trois grandes origines au nom de Lilith. La première origine est sumérienne : ki-sikil lil-là signifie « la jeune femme aérienne » (soit ki-sikil « la jeune femme » et lil-là « aérien ») parce qu'elle vivait dans un arbre. La seconde origine, l'akkadien lil-itu, est un emprunt du sumérien lil « vent »[1], et en particulier de NIN.LIL « Dame du vent », déesse du vent du Sud (et épouse d’Enlil), auquel est accolé

PROFANE ET LE SACRÉ DANS L’EXÉGÈSE DE PHILON D’ALEXANDRIE Philon d’Alexandrie est un exégète juif de la première moitié du Ier siècle après J.-C. qui nous a laissé une œuvre importante (plus de quarante traités), particulièrement représentative du judaïsme alexandrin et de son ouverture à l’hellénisme : Philon lit en effet la Bible, non en hébreu, mais en grec – la Septante –, il est imprégné de culture grecque, et il rappelle d’ailleurs, dans l’un de ses traités, qu’il a lui-même parcouru le cycle

Musée juif de Berlin Auteur : Daniel Libeskind Daniel Libeskind (né en 1946 à Łódź, Pologne) est un architecte américain (il a été naturalisé en 1965). Ses parents étaient des Juifs polonais, survivants de l'Holocauste. Daniel Libeskind a été retenu pour la reconstruction du World Trade Center à New York. Son projet veut à la fois rappeler la tragédie du 11 septembre mais aussi donner espoir. Date de construction du mémorial : construit entre 1993-1998, livré en 1999. Lieu : Berlin Sujet

citoyenneté) qui est littéralement l’ « endroit où l’on va ensemble » ; ce lieu se trouve être bien sûr Alexandrie. Comme les juifs sont hellénisés à Alexandrie, ils deviennent perméable à la théorie de Platon (le Beau, le Bien, le Bon, le Lumineux). Le judaïsme d’Alexandrie n’est donc plus celui de Jérusalem. Le christianisme est une religion de l’orthodoxie (δοχα= ce que l’on croit ; ορθο= ce qui est droit). Comment définir le Christ ? C’est là qu’à partir du 2e siècle, les chrétiens commencent à se déchirer ;

INTRODUCTION Dans cet extrait de vous frres humains, Albert Cohen raconte les consquences sur sa personnalit du traumatisme que fut, lanne de ses 10 ans, linsulte publique concernant ses origines juives, formule par un camelot. Ce court chapitre voque le dsarroi de lenfant que nous allons donc prsenter selon deux axes une errance symbolique, le tmoignage dune souffrance. Question possible comment lautobiographe met-il en scne son dsarroi PREMIER AXE UNE ERRANCE SYMBOLIQUE Linsulte, ressentie comme

beaucoup de voyage autour de la Méditerranée pour communiquer le message de dieux à l’empire romain. Il rédige même des épitres à ses communiqués et va se tournée vers le monde gréco-romain et fonder des communautés. Jusqu’aux années 60-70, le judaïsme et le christianisme ne se distingue pas. La rupture intervient en 70 avec la révolte des juifs contre les romains. L’empereur Titus vont détruire pierre par pierre le temple de Jérusalem. Et les chrétiens refusent de soutenir les juifs et ils vont

sainteté de Dieu, qui donc peut être sauvé? Oui, la pleine mesure de la justice divine était là dans cet homme incomparable. Mais la même personne qui était venue la faire connaître était aussi venue l’accomplir à notre place (verset 17). — L’ancien judaïsme ne se préoccupait pas de ce que Dieu pensait de la colère ni des regards impurs. Il n’en condamnait que les fruits extrêmes: le meurtre et l’adultère. Les commandements du Seigneur, par contre, remontent à la source de ces actes coupables. Car