Judas

temples. Mais le jaune lunaire, couleur de l’or terni est du soufre symbolise l’inconstance, la | |jalousie, les passions dépravés, l’adultère, la culpabilité, la trahison (dans l’iconographie, Judas est vêtu de jaune ; dans plusieurs| |pays, les juifs devaient porter des vêtements jaunes parce que Judas avait trahi le Christ , ou une étoile jaune... ; en France, on | |barbouillait de jaune la porte des traîtres, les "briseurs de grève" étaient appelés des "jaunes"...)

l'Ascension de David (1 Samuel XVI- 2 Samuel V). À défaut de temple, Deut. VI:9 se trouve à l'origine du culte synagogal. Les prophètes du VIIIe siècle avant l'ère commune avaient dénoncé les injustices sociales et les dérèglements en Israël et en Judas. Après la catastrophe de l'Exil, ils deviennent crédibles. On considère que leurs oracles sont confirmés. Les mêmes deutéronomistes éditent donc Amos, Osée et Jérémie et étayent leur clef de lecture. À partir de 540 avant J.-C., se développe un prophétisme

« Dire qu'un livre est moral ou immoral n'a pas de sens, un livre est bien ou mal écrit c'est tout. » « La conversation doit tout aborder mais ne rien approfondir. » « De nos jours tous les grands hommes ont leurs disciples et c'est toujours Judas qui rédige la biographie. »

animaux qui fait qu'il y a tant d'espèces différentes. Si Dieu était mécaniste il n' y aurait qu'une espèce de félin. Paragraphe 24 à 28: théorie de la connaissance. Explique ce que sont nos idées. Paragraphe 30: revient sur la notion de piété avec Judas. Il revient à la question de l'âme et du corps, ainsi que du moi via les perceptions confuses → construit tout son système en s'opposant à tous les points du cartésianisme. Dans les trois derniers paragraphes Dieu est présenté comme monarque. Modification

plus parfaite égalité…aucun d’eux ne pouvait se vanter d’être mieux placer que son égal ». La Table ronde possède un siège inoccupé, c'est qu'elle est faite à l'image de la Table de la Cène où le Christ mangea avec ses apôtres le Jeudi Saint et que Judas quitta après sa trahison. Dès lors, le chevalier qui se qualifiera pour être admis à la Table ronde et y occuper ce siège vide devra être élu par Dieu. C'est Galahad, fils de Lancelot du Lac, qui ramènera le Graal et sera capable de s'asseoir sur le

"Judas aurait-il pu ne pas livrer Jésus et Pierre ne pas le renier ?". C'est une question à laquelle l'Eglise a répondu en affirmant que les deux apôtres auraient pu faire un autre choix et qu'ils étaient donc responsables de leurs actes. C'est cette responsabilité que montre Kant dans son texte "La morale suppose le libre arbitre", extrait de son ouvrage Critique de la Raison Pure publié en 1781. D'après sa définition, le libre arbitre est la capacité que

de la vérité. Ils sont appelés les Dreyfusards. A l’inverse, il y a des anti-dreyfusards, pour défendre l’honneur de l’armée, la nation et la raison d’état. Cette crise divise les familles et les classes politique. Dreyfus est vu comme un nouveau Judas par certain. En 1899, c’est le deuxième procès de Dreyfus. Il est condamné à 10 ans avec circonstances atténuantes. En septembre 1899, le président lui accorde la Grâce présidentielle. En 1906, il est reconnu innocent et réhabilite. Cette crise politique

contrebandier du XVIIIe siècle, on retrouve donc la même idée de vol, et de tromperie. Pour dénoncer le non-respect de l’honneur religieux, Hugo introduit dans son poème beaucoup d’éléments touchant au domaine de la religion –« Dieu » (v.8-9-29), « Judas » (v.8), « pape béni » (v.14), «autel » (v.36), « culte » (v.37), « béni » (v.40) et enfin, « je serai sous le sac de cendres qui me couvre » (v.41), pour le proscrit, qui symbolise le retour à la poussière de l’être. La révolte d’Hugo se ressent aux

17). On pourrait les projeter dans le jardin d'Eden où Zidore aurait le rôle du traître « s'amusait à lui jeter des pierres »(l.17) ,  « il fit mine de le changer de place,mais il renfonça le piquet dans le même trou et il s'en alla » (l.5),tel que Judas et où Maître Lucas représenterait Dieu veillant sur tout et pensant à tout. Dans cette deuxième partie, Maupassant instaure dès le début une stratégie fondée sur le conte, il identifie Coco à une victime, on s'attache à lui car il souffre : on s'attend

pourrait faire penser au pardon. On pourrait dire qu'on avance en pardonnant. Comme Jésus qui a pardonné à ses apôtres. Le fait qu'il ait été trahi ne l'empêche pas de continuer sa ''mission''. Même s'il savait qu'il allait être trahi par ses disciples (Judas, St-Pierre), il ne leur en a pas voulu. Au contraire; il a rejoint sereinement la droite de son père le Seigneur. Tout oublier pour repartir d'un nouveau pied; quelle belle idée semble-t-il! Pourtant ce n'est pas toujours le cas... L'Histoire