Juge Unique Juge Inique

continua-t-il, vous dites que ce sont les gardes de l’Éminentissime qui ont été chercher querelle à vos mousquetaires ? – Oui, Sire, comme toujours. – Et comment la chose est-elle venue, voyons ? car, vous le savez, mon cher capitaine, il faut qu’un juge écoute les deux parties. – Ah ! mon Dieu ! de la façon la plus simple et la plus naturelle. Trois de mes meilleurs soldats, que Votre Majesté connaît de nom et dont elle a plus d’une fois apprécié le dévouement, et – 79 – qui ont, je puis l’affirmer

continua-t-il, vous dites que ce sont les gardes de l’Éminentissime qui ont été chercher querelle à vos mousquetaires ? – Oui, Sire, comme toujours. – Et comment la chose est-elle venue, voyons ? car, vous le savez, mon cher capitaine, il faut qu’un juge écoute les deux parties. – Ah ! mon Dieu ! de la façon la plus simple et la plus naturelle. Trois de mes meilleurs soldats, que Votre Majesté connaît de nom et dont elle a plus d’une fois apprécié le dévouement, et – 79 – qui ont, je puis l’affirmer

discussions relatives aux politiques de change en Europe jusqu'à l'avènement de l'euro en 1999, même si elles ne sont pas examinées, et pour cause, dans le livre? S'il est resté longtemps sceptique sur les chances de la mise en place d'une monnaie unique, et sur les chances de succès de l'euro une fois celui-ci mis en place, Milton Friedman n'y était pas foncièrement opposé, à la condition de l'accompagner par une union politique renforcée. Mais en général, comme il en développe les arguments

famille aisée « de fonctionnaires très cultivés » (20), Nakobomayo se rend vite compte à travers leurs établissements scolaires respectifs des disparités qui existent entre l’enfant de ce couple d’accueil et lui-même : « Cette famille avait un enfant unique de trois années de plus que moi et qui ne fréquentait pas l’école du peuple, mais une école privée avec les enfants des coopérants européens » (23). Sélective et discriminatoire par sa politique de recrutement, par ses objectifs et ses méthodes

ne vivons que dans l’angoisse du manque ? Ne jouissons-nous de nos biens ou de nos sens que lorsque nous sommes assurés d’en jouir plus encore ? Peut-être les Japonais savent-ils qu’on ne goûte un 139 plaisir que parce qu’on le sait éphémère et unique et, au-delà de ce savoir, sont-ils capables d’en tisser leur vie. Las. Morne et éternelle répétition m’arrachant une fois de plus à ma réflexion – l’ennui naquit un jour de l’uniformité –, on sonne à ma loge. 140 6 Wabi C’est un coursier qui

continua-t-il, vous dites que ce sont les gardes de l’Éminentissime qui ont été chercher querelle à vos mousquetaires ? – Oui, Sire, comme toujours. – Et comment la chose est-elle venue, voyons ? car, vous le savez, mon cher capitaine, il faut qu’un juge écoute les deux parties. – Ah ! mon Dieu ! de la façon la plus simple et la plus naturelle. Trois de mes meilleurs soldats, que Votre Majesté connaît de nom et dont elle a plus d’une fois apprécié le dévouement, et – 79 – qui ont, je puis l’affirmer

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