Jules Vallès L Enfant Relation Mere Fils

……..…..130 - Émile Zola et Georges Feydeau………..……....138 - Les Rougon- Macquart et le théâtre de Georges Feydeau ………………………...…….………..149 III) La société bourgeoise: ………………………………...…...159 - L'importance de l'argent…………..……………162 - Les relations légitimes et illégitimes…………...174 7 - Le monde des hommes et de femmes dans le théâtre de Feydeau …………………………..…181 - Le monde des hommes et des femmes dans le roman de Nana……………………………...….186 IV) La prostitution est une institution sociale

trafics divers avec un certain nombre d'officines allemandes, dont son fils ne sut jamais la nature exacte. Ce personnage trouble, déambulant volontiers dans un monde interlope, vivant d'expédients, est au centre de l'œuvre : «Je n’ai jamais été un fils. J’ai toujours été troublé de constater que beaucoup d’écrivains, y compris Baudelaire et de nombreux poètes maudits, exprimaient dans leur œuvre la conscience très forte d’être un fils. Moi, c’est un sentiment que, à l’adolescence comme à l’âge adulte

(plus ostentatoires, pour les notables (riches)) Les villages se vident, les Hommes se rendent sur des terres lointaines. Les couples ont moins d'enfants, la fécondité baisse, mais la mortalité recule, en particulier la mortalité infantile  ; les enfants sont mieux éduqués (écoles, règles morales). La majorité de la population sait lire aujourd'hui. Il y avait jadis un fort écart entre hommes et femmes en termes d'éducation. L'ouvrier sait aussi mieux se défendre face à son patron. Loisirs plus

culture ne s'hérite pas elle se conquiert « Un florilège de l’esprit vif et de toute la sagesse d’une Teri Hatcher au sommet de sa verve. Entre ironie et auto-dénigrement, elle nous livre avec humour tous ses petits secrets de ménagère accomplie, de mère divorcée exemplaire, nous donne des conseils avisés sur tout un tas de sujets et tord le cou aux rumeurs... Un ton drolatique et enlevé. Lire le livre de Teri Hatcher, c’est comme passer un bon moment avec une copine, rigolote et enjouée, parfaitement

1. Identifier le type de texte L'extrait ci-dessus est-il narratif, descriptif ? Justifiez votre réponse. 2. Questions complémentaires Certains termes du texte ont été soulignés. Qu'ont-ils en commun ? Quel effet produisent-ils ? Quelle relation peut-on établir entre l'ensemble de ces termes et le mot abîme ? Récapitulez les instruments d'analyse qui vous ont permis de répondre aux questions précédentes (1. et 2.1). Narration et description en poésie et au théâtre Exercice 6. Émile

autre main « Je me lance dans l'écriture de ce journal pour essayer de comprendre ce qui m'arrive. Je ne sais plus où j'en suis et je n'ai personne à qui parler, personne à qui me confier depuis que ma femme n'est plus là. Je veux témoigner, pour mes enfants notamment. S'il devait m'arriver quelque chose, si tout cela devait connaître une issue tragique, je veux qu'ils sachent ce qui m'est arrivé. » Patrick Richard naît dans un milieu plutôt favorisé. Son père est un industriel de Franche-Comté à la tête

embrassées) et de deux tercets. Le sonnet se divise généralement en deux parties : les quatrains forment une unité ; les tercets en forment une autre. Le derniers vers est appelé la « chute », il forme la conclusion du poème. Ex : « Le dormeur du val » de Rimbaud. La chanson : poème d’inspiration populaire dont les vers sont répartis en strophes, ou couplets et qui comporte un refrain. Ex : « Chanson » de V. Hugo L’ode : poème lyrique hérité de l’Antiquité, composé de plusieurs groupes de

faire d’une fleur si on ne commence pas par prononcer correctement son nom. Ce manque d’attention est un manque de savoir-vivre. » (La Vraie Couleur de la vanille, p. 72)I. JUSTESSE ET JUSTIcE Sophie Chérer voulait être juge, pour prendre soin des enfants et faire émerger une vérité, combattre les injustices et les injures faites aux plus fragiles. C’est finalement par l’écriture qu’elle cherche à servir ses valeurs : dans ses récits comme dans son travail sur la langue, c’est toujours le même

n'est-elle pas au fond de la plupart des contes ? C'est plutôt une expérience, un fait de vie, une épreuve qu'une pensée ou le résultat d'une pensée ; une tunique de Nessus et non le flamboiement d'un discours. Dès le 24 septembre 1873, il écrivait à sa mère : « Je me trouve si perdu, si isolé, si démoralisé que je suis obligé de venir te demander quelques bonnes pages. J'ai peur de l'hiver qui vient, je me sens seul, et mes longues soirées de solitude sont quelquefois terribles. J'éprouve souvent, quand

. . . . . 7.1. Louis-Napoléon Bonaparte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.2. Adolphe Thiers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.3. Patrice de Mac-Mahon . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.4. Jules Grévy . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.5. Sadi Carnot . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.6. Jean-Casimir Périer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7.7. Félix