Julien Sorel Un Personnage Romanesque

social lui-même et ses effets destructeurs sur l'individu, dans une société dominée par le conformisme, c'est-à-dire le mimétisme.      La caractéristique du jeu des relations sociales dans les Liaisons est précisément de ne laisser aucun jeu aux personnages, aucun espace de liberté. Les libertins, malgré les apparences et l'étymologie, n'y sont pas plus libres dans leur rôle que les jeunes filles entre les murs des couvents. L'intelligence souveraine de Mme de Merteuil et de Valmont fait illusion sur

Roland est le héros des épopées primitives. Il témoigne d'une certaine déraison / folie guerrière. En effet, il refuse de sonner du cor et donc d'appeler au secours parce que ce serait déshonorer. C'est en quelque sorte une question d'honneur. Le personnage d'Olivier s'oppose d'ailleurs à Roland au vers 1093. AOI, une référence qui revient régulièrement : Information sur la musicalité ? Structure formelle de la chanson de geste : Forme particulière des strophes, appelée « laisses » et assonancées

aux périodes de présence à Clochegourde de Félix et à celles d'absence (Paris, Gand, la Vendée). Dans la réalité, les séjours à Clochegourde ne durent que quelques semaines alors que ses absences se prolongent sur plusieurs années. Mais le temps romanesque est inversé par rapport au temps réel. Qu'en déduire? Que, bien que la carrière politique et mondaine de Félix se déroule à Paris d'août 1814 à octobre 1820, sa vie n'a de sens que par rapport à Henriette : le reste est du domaine de l'éphémère

Seul ce qui peut être pensé est juste. Mais la tâche est malaisée puisque « l’imagination est d’autant plus fourbe qu’elle ne l’est pas toujours » (Pascal, Pensées, fragment 72). Nous devons apprendre à nous en défier. Imagination et illusions romanesques Du théâtre au roman, la littérature a souvent dévoilé les illusions de l’imagination. Des moralistes antiques sceptiques ou stoïciens comme Epictète aux hommes de théâtre comme Molière, de nombreux textes ont montré les hommes victimes de leurs

Le fantasme pictural p. 4 2. Peinture/écriture p. 5 II. L’Histoire de la peinture en Italie p. 8 1. Genèse de l’œuvre p. 8 2. Le refus de l’ekphrasis p. 9 3. Entre critique d’art et œuvre romanesque p. 11 III. Approche de l’œuvre d’art p. 12 1. Les théories stendhaliennes p. 12 2. Quelques œuvres vues par Stendhal p. 13 Conclusion p. 17 Bibliographie p. 18 Introduction Dès ses

..................................................37 1) Des personnages vivants..................................................................................................37 a) Modèles réels...............................................................................................................38 b) L’homme Maupassant dans l’oeuvre...........................................................................39 c) Personnages pour eux-mêmes...............................................

spatio-temporel plus vaste, imaginaire, celui du roman, la lecture est un voyage immobile. Dans ce "roman d'apprentissage" qu'est L'Education sentimentale, les indications de temps et de lieu apparaissent comme autant de jalons dans le destin du personnage principal, "anti-héros", ironiquement présenté comme un Ulysse des temps modernes, séduit par le chant des sirènes : "un jeune homme de 18 ans (...) restait auprès du gouvernail, immobile." Analyse linéaire L’effervescence du départ (« Le 15

estrade dos au tableau noir, où nous ânonnions piteusement « À peine nous sortions des portes de Trézène ». L’incandescent auteur de Phèdre vaut mieux que ça. L’heure est venue de retrouver avec le fringant Racine le frisson d’Hippolyte. Ou celui de Julien, celui de Frédéric. De passer l’éponge sur les pénibles vers de La Légende des siècles (« Il n’est pas de brouillards comme il n’est point d’algèbres ») pour réentendre la voix gouailleuse de Gavroche. D’avoir sur le monde les yeux de Candide ou,

inspiratrice, ne nous laissent rien ignorer d’eux-mêmes dans leurs révoltantes confidences, et sont habiles à nous révéler aussi, en les perçant à jour, les pensées de ceux dont ils se jouent. Quant au style, il s’adapte avec souplesse à chaque personnage : les lettres de l’ingénue Cécile Volanges sont rédigées avec une gaucherie voulue; celles des deux protagonistes ont cette sécheresse précise qui permet à l’analyse de dénombrer sans pitié les mobiles secrets de l’âme.XVIIIe SIÈCLE, élève p. 281TEXTE

et féodale de la société : la souffrance et la mort sont nobles lorsqu'elles sont subies pour Dieu et le suzerain . Ainsi le public, qu'il soit chevaleresque ou populaire, est appelé aux grandes émotions collectives et religieuses. Les autres personnages ont des rôles définis : ami confident, traître, ennemi, lâche, etc. Ils sont dans le récit pour souligner davantage l'héroïsme et les vertus du héros principal. Trois cycles restant Il reste moins de cent chansons de geste. Les trouvères des XIIIe