Julio Claudiens

de bas-reliefs et entouré de 6 mètres de hauteur avec une entrée principale et frontale et une entrée à l'arrière.L'enceinte extérieure présente 6 tableaux à thèmes choisis par Auguste évoquent les origines mythiques de Rome et de la famille Julio-Claudienne: - Tout d'abord la Rome casquée, Enée sacrifiant en présence de son fils une truie aux Penates, la terre Tellus comme source d'abondance, Romulus et Remus et deux processions religieuses évoquant la famille d'Auguste et les collèges de prêtres

puissance politique à part entière sous Auguste. Mais le régime mis en place n'est pas dynastique, les successions se faisant par filiation, adoption ou parenté. Ce système va permettre à quatre grandes familles d'empereurs de se succéder, les Julio-Claudiens, les Flaviens, les Antonins et les Sévères. Chez les Antonins, malgré le nom commun d'Antonins qu'on leur donne, ces empereurs appartiennent tous à des familles différentes, sauf les deux derniers: Marc Aurèle est le père de Commode; mais ils

Sextiae (Aix-en-Provence), Narbo | |Martius (Narbonne) ou Lugdunum Convenarum (Saint-Bertrand-de-Comminges), lorsque César entama la guerre des Gaules. On ne peut guère dresser | |de bilan de cette politique en profondeur avant le règne des Julio-Claudiens, mais on constate que, vers 50 de notre ère, la Gaule est dotée | |d’un tissu urbain dense et complexe, formé de villes aux statuts juridiques variés, des colonies romaines où l’on est citoyen romain aux | |cités pérégrines où l’on ne bénéficie

d'un homme de l'époque moderne. Il souligne l'ambiguïté fondamentale de la fiction historique, qui se creuse à mesure que l'on s'éloigne dans le temps et l'espace. Reprenant les intrigues classiques de la première famille impériale romaine, les Julio-Claudiens, (racontées dès l'Antiquité par Tacite et Suétone) Graves laisse le lecteur libre de s'évader dans un autre monde ou de transposer le passé dans le présent. L'Egyptien Naguib Mahfouz quant à lui a mis toute sa jeune poésie au service du conte

est imposé à tous les habitants de l’empire et constitue donc un ciment pour l’empire. La succession s’effectue de façon héréditaire mais l’armée joue un rôle important dans le choix de l’empereur. Quatre dynasties se sont ainsi succédées : les Julio-Claudiens (-14 à +68), les Flaviens (+68 à 96), les Antonins (+96 à 192) et les Sévères (+192 à 235). L’Empire est donc un compromis entre une monarchie et une oligarchie, il s’agit d’un pouvoir personnel agissant dans les cadres républicains : les anciennes

modes se succédèrent rapidement dans le temps, à un tel point qu'Ovide (43 av. J.-C. - 17 après JC) fit cette réflexion : « Je ne peux suivre l'évolution de la mode, chaque jour introduisant, semble-t-il, un style nouveau. » Sous les empereurs Julio-Claudiens (27 av. J.-C. – 96 après J.-C.), les coiffures restèrent relativement simples. Sous le règne des empereurs Flaviens (69 - 96 après J.-C.), les frisures constituèrent l'élément essentiel de la coiffure. On aimait les grosses boucles ramenées sur

(la conjuration de Pison). Il s’avérait que la mission des Julio-Claudiens avait pris fin, que leur charisme était épuisé. La divinité d’Auguste était désormais sans efficacité. La plupart des conjurés ne remettaient pas en cause le principe même du régime mais aspiraient à confier le pouvoir à un homme nouveau, plus authentiquement doué par les dieux de ce charisme mystérieux qui, seul, justifiait le principat.  La fin des Julio-Claudiens La conjuration de Pison fut violemment réprimée, mais

de l'Empire se serait fait entre -31 et -23. Il accapare tous les pouvoirs de manière très progressive. En 192, c'est la fin de la dynastie des Antonins avec la mort de l'empereur Commode. 3 dynasties : de -31 à +68, la dynastie des Julio-claudiens : Auguste (-27 ; +14) ; Tiber (+14 ; +37), son fils adoptif, général qui finira un peu fou ; Caligula (+37 ; +41), il méprise le Sénat et se fait assassiner ; Claude (41 ; 54) : il est très bien, un bon administrateur

amplifié par le sénat. Enfin on a un début, celui d’une dynastie, qui s’impose d’elle-même grace a l’action combinée d’Auguste et Tibère qui ont réussit habilement a enterrer tout risque serieux de contestations pour un moment avec une dynastie julio claudienne qui se maintient au pouvoir pendant 100 ans, temps remarqueblement long pour une dynastie romaine. On peut désormais se demander si les funerailles d’Auguste ne furent pas le ciment du maintien de l’empire, encore plus que le principat lui-même

réelle  stature d’hommes d’état. Or le regard le moins aveuglé par les a priori négatifs  ne  peut  porter  que  sur  une  impressionnante  galerie  des  monstres  quand  il  s’arrête  sur la redoutable famille  que  constitue  la  dynastie des  julio‐claudiens  issue  de  la  succession  du  premier  princeps,  Caius  Julius  Caesar  Octavianus  Augustus, Auguste.  Si le premier empereur, fondateur d’une organisation politique, administrative,  sociale, religieuse et militaire qui dura cinq siècles en homogénéisant une vaste