Jurisconsulte

obligatoirement être un jurisconsulte religieux (Mijtahed) : « Il est formellement prescrit qu’à toute époque un comité comprenant au moins 5 personnes choisies parmi les Olamâs ». En l’absence de cette condition de base, on ne pouvait pas parler de la deuxième. 2- Pour pouvoir se présenter comme candidat, il ne suffisait pas d’être un jurisconsulte religieux (Faghih), il fallait aussi être un bon connaisseur des « exigences de l’époque ». Le Comité des Cinq Jurisconsultes religieux devait

été écrites, et les exceptions du défendeur s'il y en a. Sous Hadrien le caractère de permanence (édits écrits par les prêteurs sous leur mandat, le plus souvent repris de leurs prédécesseurs) devient officiel : entre 125 et 138, il charge un jurisconsult, Salvius Julianus de remettre en ordre l'édit et de le fixer de manière définitive. L’édit perpétuel va devenir une source du droit privé car à partir de ce moment-là, la procédure repose sur ce texte. La postérité du droit prétorien : C'est

raisons qui les ont poussé à ne pas vouloir par la rédaction d’un code, prévoir et régler toutes les situations juridiques possibles, mais plutôt exposer les « maximes générales du droit ». D’où la place importante qu’il donne aux magistrats et jurisconsultes dans la production d’un droit par la jurisprudence qui tient lieu de loi. La jurisprudence est donc par là nécessaire à la loi pour eux. Ce texte nous pousse donc à nous poser la question suivante : comment Portalis envisage t-il la création d’un

étaient étudiées, commenter dans des universités où on formait des futurs jurisconsulte, des futurs commentateurs de source de droit après la révolution ces universités vont être supprimées par la convention donc l'assemblée. On efface la pluralité de source de droit pour privilégier la loi et on efface le droit savant. En 1795 sous le directoire on va créer de nouvelles universités qui ne vont pas servir à former des jurisconsultes savants comme les universités de l'ancien régime le faisait mais ils

le code théodosien. Un premier code sera publié en 529. Un second code sera publié en 534. Le digeste a été rédigé sur ordre de Justinien et publié dans sa version définitive en 534. Il regroupe les extraits de plus de 1500 livres écrits par jurisconsultes de l'époque classique. Le digeste est la principale source du droit romain et est aussi très utile pour son enseignement. Les institutes forment un manuel qui est destiné à l'enseignement du droit. Cette œuvre fut rédigé par deux professeurs

Pendant très longtemps le plan du Code Civil montrait que la personne était centrale. Au VIe siècle, le droit romain est devenu trop touffu et complexe. Justinien voulait y voir plus clair et demanda la synthèse du droit à ses jurisconsultes. Le Code Justinien était divisé en trois parties : les personnes, les biens et les actions. Le Code civil a la même structure et pour but de répartir les biens entre les personnes entre les sujets. Cambacérès : « C’est parce que l’Homme est au centre du

sources du droit sous l’empire romain » Suum cuique tribuere. Cette définition du droit « attribuer à chacun ce qui est dû » est nouvelle. Elle apparait après la crise qu’à connu larépublique romaine, et à l’arrivé de l’empire. Ce fut Ulpien, un des jurisconsultes de cette période qui proposa cette définition. L’empire romain se créa en 27avJC après l’assassinat de Jules Césaret la proclamation de son fils adoptif comme empereur en guise de remerciement. De ce fait avec l’arrivé de l’empire les institutions

(Pandectes) : Le Digeste est publié en 533 par la C° de Tanta. Ceux sont des extraits de la doctrine de l'époque classique, c'est-à-dire que c'est une sélection d’œuvre de la doctrine classique, parmi 1 600 ouvrages qui sont dû en totalité à 36 jurisconsultes. On va procéder à des coupes et des modifications, des ajouts et des changements de mots car la langue latine, en 13 siècles, a évoluée. Justinien à donner au Digeste la même force obligatoire qu'une loi, alors même que les gens qui la mobilisait

lacunes juridiques générées par des coutumes imparfaites! Originairement orales et territoriales, les coutumes ont longtemps été une source d’insécurité juridique (A), ce qui fût l’objet d’une volonté d’amélioration de la part de nombreux jurisconsultes et dirigeants du royaume de France à travers certaines dispositions (B).! A) Des coutumes lacunaires sources d’insécurité juridique Les coutumes ont eu à l’origine et pendant longtemps pour caractéristiques d’être non-écrites et

dernière étape le parlement de la province va intervenir et procéder à la formulation définitive de la coutume qui sera acceptée par tous les membres de la province. Au milieu du 16e siècle, il y a un nombre important de coutumes rédigées. Les jurisconsultes vont étudier ces coutumes et remarquer qu’il y a des coutumes similaires dans différentes circonscriptions  droit commun dans toute la France. Grâce à cette rédaction officielle, on a sauvegardé les coutumes de la France, les tribunaux les ont