Jurisconsulte

institutions juridiques de l'Etat Selon la théorie constitutionnelle, la constitution est la règle suprême. Mais pourquoi est-elle la règle suprême ? Il y a deux théories apportant une réponse. Une théorie héritière de Jean BODIN (1529-1596), jurisconsulte, philosophe et théoricien politique français, qui dit qu’il faut obéir à la constitution car elle exprime la volonté du souverain en énonçant les valeurs fondamentales de l’Etat. Une théorie imaginée par Hans KELSEN (1881-1973), auteur autrichien

importantes : 1. La conquête de la Grèce (IIème siècle av.J-C) 2. la conqupete de la gaule (Ier siècle av.J-C) 1. Bénéfice juridique car la conquête de la Grèce est bénéfique pour fonder un système juridique efficace. Un certain nombre de jurisconsultes (équivalent d'avocat, un bon juriste consulté pour le droit) ? Les principaux juristes sont : Ulpion ; Cicéron ; Gaüs. Les romains propose un nouveau droit et développent l'enseignement juridique et la doctrine. Doctrine : La position/la

subjective, il s’agit de traduire l’idée de clémence, de bienveillance. Les jurisconsultes romains n’ont pas choisi. Digeste : le droit « jus es ars boni et equi » : le droit est l’art du bon (Stoïcien) et de l’équitable (Aristotélicien). Le prêteur avait pour mission de seconder la loi, l’équité peut suppléer la loi, possibilité de corriger la loi. La référence à l’équité était naturelle chez les jurisconsultes romains, se trouve dans le visage du préteur. L’Ancien droit n’a pas méconnu

(Al-Baqara, 275)3 Voilà un passage du Coran relativement éloquent qui témoigne de l'interdiction, d'une part, du riba et, d'autre part, de manœuvres purement financières non liées à des activités économiques. Afin de respecter ces saintes paroles, les jurisconsultes musulmans ont édicté un certain nombre de principes propres à la finance islamique dont les particularités principales sont les suivantes :  Le gharar, qui interdit l'incertitude et donc la spéculation. D'où l'obligation pour toute transaction

caractéristique de ces droits du proche orient est d’être des droits donnés par la divinité ils sont donc immuables. Se pose alors la question de l’adaptation de ces droits aux transformations de la société . Progressivement des hommes ,juges ou jurisconsulte, vont revendiquer le droit d’interpréter la norme ils vont montrer que la règle de droit est devenue incohérente . Au travers de cette interprétation de la règle de droit ce pose donc la question de la légitimité de cette règle . Cette règle a

connaissance du droit (juris/prudentia) Une connaissance avisée, réfléchie, sage: ttes es nuances st contenues ds le mot prudentia. Développée à la fin de la République par des “sages en droit” que l'on désigne à la fois comme jurisprudents ou jurisconsultes: car tout en menant une réflexion prudente sur le droit, ce st aussi des spéialistes que les particuliers peuvent venir consulter sur des questions pratiques. Rome Nous jurisprudence = doctrine (la reflexion fondamentale sur le

représentants interviennent directement. On parle alors de procédure extraordinaire. On perd alors la bipartition de l'instance avec le phase du magistrat et du juge. Les édits vont donc se fixer définitivement dans un édit perpétuel rédigé en 135 par le jurisconsulte Julien, sur l'ordre de l'empereur Hadrien. La rédaction de l'édit ne signifie pas cependant la fin des transformations du droit romain. En effet, Hadrien par cet édit perpétuel entend faciliter la tâche des magistrats mais entend également solliciter

car l'islam exige le respect des savants et leur travail est un "Ijtihâd" louable et méritoire.  Au demeurant, si une fatwa est sujette à interprétation ou discussion, il appartiendra à la communauté des savants de s'adresser directement aux jurisconsultes qui l'ont entérinée. Avec respect  et sagesse, un débat scientifique pourra alors s'engager, que l'on espère fructueux pour toutes les parties prenantes intéressées par l'avènement d'une finance islamique intelligente, ouverte et universalisable

porte la forme entiere, de l'humaine condition. Les autheurs se communiquent au peuple par quelque marque speciale et estrangere : moy le premier, par mon estre universel : comme, Michel de Montaigne : non comme Grammairien ou Poëte, ou Jurisconsulte. Si le monde se plaint dequoy je parle trop de moy, je me plains dequoy il ne pense seulement pas à soy. Montaigne, Les Essais III, 2 (chapitre Du repentir) Montaigne Du repentir (III, 2) 1. Un individu universel : Dans tout le texte

marier sa fille en dehors du fief de son seigneur à donner au dit seigneur trois sous en échange de son autorisation symbolique du mariage[1]. Ce droit de cuissage, avec le sens qu'on lui donne aujourd'hui, fut évoqué pour la première fois chez le jurisconsulte Jean Papon, qui aurait conféré aux seigneurs du Moyen Âge, soit le droit de passer une jambe nue dans le lit de la mariée, soit celui de consommer le mariage. Aux XVIIIe et XIXe siècles, des écrivains et historiens comme Voltaire dans son Essai