Juron

leçons qu’il avait suivies avec assiduité ,ces dernières années prenaient tout leur sens .. Jussac agacé par ce jeuneot insaisisable s’essoufflait et commençait à commettre des fautes ,des erreurs tactiques ,il faillit predre sa rapière ,et lança un juron -” Mortdieu “ Tandis que d’Artagnan sentait la chance tourner en sa faveur ,il’interpella : -Mon bon Jussac,finissons en ,on m’attend ailleurs ..il sentait Athos faiblir dans son combat avec Cahusac ,et voulait lui pêter secours. Cela eut pour

et de superlatifs : parodie d'éloge d'autant plus comique qu'elle ne provoque pas l'effet escompté chez Silvia (à relever ligne 1 à 6) – assimilation de Dorante à un « mets » ou à un objet : « pardi, tout en sera bon dans cet homme-là » l14 – Juron comique : « Vertuchoux » l29 – Ironie : l7 « Délicieuse ! » / « Tant pis, tant pis » l20, « Oui-da, cela est pardonnable » l26 (litote ironique) c) Les traits d'esprit (dialogue plein de verve et de subtilité) – souvent, renversement subtil et

Bruxelles - Parlement de la Région de Bruxelles-Capitale - Parlement Européen - Place des Martyrs - Rue des Bouchers HYMNE : LA BRABANCONNE. Ô Belgique! Ô Mère chérie! A toi nos coeurs, à toi nos bras, A toi notre sang, ô Patrie Nous le jurons, tous, tu vivras, Tu vivras, toujours grande et belle, Et ton invincible unité, Aura pour devise immortelle Le Roi, la Loi, la Liberté RENE MAGRITTE

interprétation de l’aliénation dans leur personnage par les émotions qu’ils ressentent. Pour ce qui est de Léopold, il démontre une grande colère envers son emploi et sa famille, les causes de son aliénation. Le fait qu’il utilise un nombre imposant de jurons alors qu’il parle de son travail prouve facilement sa haine et dédain. Il emploie aussi l’ironie dans son monologue pour exprimer sa colère envers sa famille avec qui il est prit et qui lui prend tout son argent. «Ta famille à toé. Une autre belle

scène plus authentique. Cela correspond à l'habitude de Maupassant de placer des dialogues pour faire découvrir ses personnages. 2 – Familiarité des personnages Ensuite, cette vivacité est suggérée par la familiarité des personnages : tutoiement, jurons, interjections, ou encore réflexion sur les femmes : « les femmes vous font embarquer toujours trop tard », « j’invite des dames parce que j’aime me trouver avec elles » Le lecteur a donc l’impression d’assister à une scène qui se déroule de façon

pour finir par la métamorphose de l’alambic. Tout d’abord, le roman s’avère être un récit se déroulant dans un milieu populaire. En effet, le lieu où se passe l’action est un lieu réel, un café permet de mieux s’implanter dans le décor. De plus, les jurons présents au fil du texte, tels que « Tonnerre de Dieu » (l.13), « roussin » (l.17) et « gosier » (l.14), contribuent à rendre l’histoire plus vraisemblable. Ensuite, en nommant la population fréquentant le café, Zola nous donne une impression de camaraderie

anaphore et un comique de repetition met en evidence le mauvais caractere d’argan qui imite en criant le bruit de la cloche afin d’amener un effet comique · « toinette… chienne, coquine ! », « carogne » represente un champs lexical des insultes et jurons qui met en avant la colere d’argan qui est de plus en plus offensante et qui a un effet comique· « il sonne une sonnette pour faire venir ses gens », « il ne sonne plus mais il crie » montre une didascalie et comique de geste qui met avant le renfocement

s’exprimer de manière adaptée à leur catégorie sociale. Pourtant, le tutoiement revient souvent lorsqu’ils se parlent tous les deux et leur appellation, « Père Ubu et Mère Ubu » tient plus du langage populaire que du langage royal. De plus, Ubu parodie des jurons. Par exemple, « de par ma chandelle verte » et « Ventrebleu », présents plusieurs fois dans l’œuvre, font référence au langage du XVIe siècle. Ce décalage de langage est cocasse. On peut noter que l’univers mythologique revient souvent dans des

chez les petits bourgeois : C’est une scène de comique conventionnelle car les fils se moquent gentiment de leur père, on le voit avec l’emploi de l’imparfait. On observe une satire de la petite bourgeoisie à travers Monsieur Roland qui lance un juron « Zut ! ». Maupassant cherche à placer dans cette barque, dès le début, les personnages importants d’une manière extrêmement habile. II – Présentation des personnages : a) Description (morale + métier) de Monsieur Roland : Monsieur Roland

aucune nuance d'affectivité. Il y a aussi « nous pouvons bien taper aux carreaux » : cela montre que Giomo est celui qui agit, et qu'il n'y a pas de réflexion morale dans ses actes. Le Duc : c'est aussi un grossier personnage, cf. la présence de jurons : ligne 12 « entrailles du Pape », ligne 36 « Sacrebleu » avec un côté blasphème. C'est un personnage impatient, guidé par des pulsions, cf. ligne 5 « qu'elle se fasse attendre encore un quart d'heure, et je m'en vais », ligne 8-9 « il est minuit