Juron

comme de la paille" (l. 45) apparaît comme quelque chose de très léger et qui n'est qu'un fait un anodin alors que l'on tue un homme. On réagit à ceci. Il joue sur le double sens des mots : "Diable", sur l'ambiguïté du nom : "jurés" qui peut signifier juron ou jurer. Il emploie parfois des termes inadéquats. Dans l'avant dernier paragraphe, il utilise plutôt une apparence de logique. 2) Fausse logique Les termes : "mais d'un autre côté" qui sont de liaison, "si que" de conséquence, "car" de cause, montrent

l’attaque grâce à l’instance de régulation « ego » (MOI) qui vieille à rééquilibrer l’état d’homéostasie. Lorsque le stress est mineur (vie quotidienne) nous cherchons à retrouver le comportement «mère-nourrisson », à extérioriser sous forme de rire, jurons, prières ou bien nous agissons de manière inconsciente quotidiennement. Si le stress perdure, le MOI est plus sollicité et par conséquent de nouvelles solutions sont trouvées. Le stress majeur s’établit sur 5 niveaux, allant du 1er, frustration intense

commencé sans nous scène de pêche => changement entre une situation passée et une situation présente du silence à la parole, de l’immobilité à l’action CL paisible “immobile” l.2; “assoupie” l.6 changement d’état marqué par “se réveilla” l.8 => un juron échappe au père Roland -> discours direct, inhabituel pour commencer un roman marque d’agacement 1er personnage dont on nous parle alors que le titre du roman est Pierre et Jean => scène vivante : marques du discours direct, dialogue gentille réprimande

nature morte. La magie de l'instant était telle qu'il lui fallut plusieurs secondes pour remarquer le léger flocon cotonneux qui avait discrètement atterri sur son nez. Elle loucha. ___ – Merde, lâcha-t-elle en grinçant des dents. ___Son premier juron de la journée, prononcé instinctivement par des lèvres bleutées initiées à cet art par son voisin de chambre. Et Gaëlle avait l'impression que ce ne serait pas le dernier. ___Elle n'avait jamais aimé la neige. Voir ces visages extasiés observer avec

pièce écrite : Les quiproquos, les situations incongrue (le père qui prévoit d’épouser la femme dont son fils est amoureux, l’avarice caricaturale d’Harpagon, l’hystérie de Frosine…) - Le comique de mots Il est identique à la pièce écrite (jurons, insulte, répétitions, stichomythie).Le metteur en scène à ajouter des références à notre époque et à ses personnalités. J’ai trouvé aussi très drôle de faire monter sur scène et de marier des personnes du public ; mais je ne sais pas dans quel comique

aucune nuance d'affectivité. Il y a aussi « nous pouvons bien taper aux carreaux » : cela montre que Giomo est celui qui agit, et qu'il n'y a pas de réflexion morale dans ses actes. Le Duc : c'est aussi un grossier personnage, cf. la présence de jurons : ligne 12 « entrailles du Pape », ligne 36 « Sacrebleu » avec un côté blasphème. C'est un personnage impatient, guidé par des pulsions, cf. ligne 5 « qu'elle se fasse attendre encore un quart d'heure, et je m'en vais », ligne 8-9 « il est minuit

la moustache que rejoint presque une grosse mèche en accroche cœur sur un front bas. Moulé dans un maillot qui fait deux plis sur l'aine il porte aussi, comme son Y, la queue à gauche. Tous les cœurs il dévaste mais se doit d'être chaste et son juron est BASTE ! Plus rose que nature est moins adroit qu'un singe il bondit aux agrès saisi d'un zèle pur. Puis du chef de son corps pris dans la corde à nœuds il interroge l'air comme un ver de sa motte. Pour finir il choit parfois des cintres comme

n’aurons plus à subir des traumatismes. ces maladies sans médicaments. Un jour, nous n’aurons plus à craindre pour notre santé affective; chaque famille sera complète, unie et disponible pour chacun de ses membres. Un jour, nous n’utiliserons plus de jurons ou ne crierons des paroles blessantes. Un jour, chaque être humain de cette Terre pourra être libre des pressions extérieures, sociales ou gouvernementales. Un jour, nous saurons comment pouvoir enrayer toutes les maladies et empêcher d’en développer

tirer une leçon sur sa relation, exprime un mal de vivre. Ce dernier, à la manière d'un Jacques Brel, conchie la société à travers le regard désabusé d'un personnage ivre. Ces vérités crûment dites à une passante, un passant, puis un enfant ; ces jurons omniscientes au texte et ces exclamations (souvent sous forme d'interpellation) sont euphémisés par un ton presque désinvolte de l'artiste. Dans le clip on peut voir le Belge sur un quai, ces images avaient fait le buzz bien avant la sortie du

avec un verre d’eau dans les mains et n’a pas le temps de pousser un cri qu’il est déjà neutralisé. Alors qu’ils vont l’emmener, le lecteur entre avec un couteau et aussitôt il repart, claque la porte derrière lui avec précipitation et lance plein de jurons. Une course poursuite endiablée commence. Le pauvre jean est là tout seul, il ne peut rien faire à part se débattre sans but. Pendant ce temps les moines poursuivent le lecteur qui continue à jurer dans le vide. Il regarde derrière lui et manque