Juron

outrecuidant* (= ce qui désarme le Comte) avec toute la scène du God-Dam. Figaro est très sur de lui et le Comte est désarmé, la hardiesse verbale va atteindre son sommet dans la tirade du God-dam. 2) L’ironie de Figaro a) On voit que God-dam est un juron. God-dam (= bon dieu) est une grossièreté présenté comme un sésame (= formule magique). b) Voir les exemples un bon vin  une bière un poulet gras  un pied de bœuf un baisée de

antiphrase : les trois personnages sont tentés de rire, maintenant qu’ils ont compris qu’il n’y aura pas de fin. C’est un rire jaune, un rire nerveux, non pas un rire de joie. Ils ont compris qu’il est inutile de vouloir s’échapper. L’utilisation du juron « mon Dieu » est d’autant plus ironique qu’ils se trouvent en Enfer. Conclusion : Nous avons pu voir que cette scène met en situation la communication impossible dans un trio de morts. En effet, Garcin est contenu par la peur, la mauvaise foi ainsi

utilise souvent des expressions familières, des tournures de phrases relâchées, des abréviations ou des mots argotiques. 4. Le registre vulgaire ou grossier : c'est le registre qui est utilisé pour choquer ou offenser. Il utilise des insultes, des jurons, des termes crus ou des références sexuelles. De la langue parlée à la langue écrite : équivalents complexes DE LA LANGUE PARLÉE À LA LANGUE ÉCRITE : ÉQUIVALENTS COMPLEXES 3 Consigne Les termes soulignés appartiennent à la langue parlée familière

bassesse du style et la dignité des personnages. Mais Ubu est avant tout un personnage grotesque (ridicule, caricatural). Cela se traduit dans son langage et dans ses actes. Il emploie un niveau de langue familier avec des mots déformés et des jurons fantaisistes. Ce personnage grossier, brutal, stupide et ridicule est une vraie caricature de la dictature. a) Les personnages. • Le théâtre classique imite les actions humaines. Mais cela ne signifie pas qu’il reflète la réalité sociale

gestes et leur langage: - gestes : " était venu s'accouder ", " rire de poulie mal graissée " (métaphore), " hochant la tête ", " les yeux attendris ", "les camarades ricanaient " : la scène semble avoir été observée sur le terrain - langage: juron (" Tonnerre de Dieu ! "), termes d'argot : " le vitriol " (= l'eau-de-vie), " les dés à coudre " (= les petits verres), " ce roussin de père Colombe " (= cet indicateur de police), " un fichu grelot " (= un fameux bavard). Bref, nous avons là de véritables

le pouvoir de cette machine dans l'univers ouvrier 2. la transformation progressive que le narrateur lui fait subir. DEVELOPPEMENT : 1.a) Un milieu populaire : le narrateur reproduit la langue et le comportement du monde ouvrier (surnom,juron,exclamations,ricanements et plaisanteries...métaphore triviale pour parler de ses personnages rire de poulie mal graissée). Place et valeur du discours rapporté et du style indirect libre qui reproduit des formules familières 1.b) La présence menaçante

Elle appartient à la noblesse : particule « de ». Elle a de l’argent puisqu’elle dispose d’une servante. Elle emploie un niveau de langue familier malgré son statut social et son éducation : « sac à papier ; les mioches ; Bon dieu ; diantre », des jurons. => Un personnage seul qui ne côtoie pas la noblesse mais plutôt les gens du peuple. => Ce personnage peut symboliser le déclin de la noblesse au XIXe siècle. b) Son opinion sur les hommes et le mariage : - D’après elle il faut de méfier

ses contemporains une grande portée polémique - On a accusé Molière de s’être inspiré de l’histoire réelle du chevalier de Roquelaure, un célèbre libertin qui avait donné de l’argent à un pauvre qui blasphémait dans la rue. Or, au 17ème siècle, le juron est sévèrement puni (c’est un blasphème et au 7ème, la langue est coupée sur ordonnance royale.).Théophile de Viau = emprisonné deux ans sur requête des Jésuites. C’est un « péché mortel » au sens propre

des autres personnes dans la salle et gardez un petit sourire narquois affiché sur votre bouche de petite pute sournoise jusqu’à ce qu’on vienne vous séparer. Quoi qu’il arrive, vous avez gagné, et en plus vous êtes badass. Il lâche un flot de juron assez fort pour que tout le monde l’entende puis part. Le sourire narquois est encore de mise, jetez un léger coup d’œil autour de vous, montrez que vous êtes fier de ce que vous venez de provoquer, les gens intéressants viendront vers vous pour vous

l'accumulation, notamment dans cette phrase : « Apportez moi la caisse à Nobles et le crochet à Nobles et le couteau à Nobles et le bouquin à Nobles ! ». Le Père Ubu empreinte un langage familier, riche en injures ("Bouffre", "Stupide Bougre", "Bouffresque"), jurons ("Merdre") et trivialités ("Tu as une sale tête"), qui sont en décalage avec la réctitude et la préstance propre à la royauté. Ces Trivialités s'opposent au "ma douce enfant" final qui vient casser l'atmosphère grossière du reste de la scène. Pour