Juron

et pourtant c'est Gargantua, décidément bien institué, qui ne trouve rien sur la question dans Aristote ou Plutarque. Frère Jean débite juron sur juron pour « orner son langage ». Le langage particulièrement fleuri de frère Jean ne relève pas d'une quelconque volonté blasphématoire ou provocatrice. Frère Jean est un bon religieux, malgré les apparences. Ses jurons sont seulement, d'après lui, couleurs de rhétorique cicéronienne… Gargantua déteste les moines, les traite de mange-merde et les compare

égal nous verrions si ». Si pathétique est l'expression d'une possibilité envisager et il montre que Lisette n'est pas satisfaite de son statue et de son appartenance sociale. Le langage de Lisette : Elle emploie beaucoup de juron qui montre qu'elle ne craint pas sa maitresse et elle prend ses libertés (cela rajoute au comique). Elle est également très impertinente puisqu'elle juge Silvia « C'est une pensée hétéroclite » Elle tient tète à sa maitresse par exemple quand elle

coupe la toile avec son dard acéré, puis la défait. Luna est libérée juste avant que l'araignée ne fonde sur elle. Les deux abeilles s'échappent sans plus attendre. [D] Fort mécontente de la tournure des événements, l'araignée lance des jurons et s'emporte contre les deux abeilles... [A] Définition du contexte. [B] Déroulement de l'intrigue : enchaînement de causes et de conséquences. [C] Rebondissement (ou coup de théâtre) - l'histoire ne se termine pas là. [D] Dénouement (ou

comprendre... ! » des questions oratoires « crois-tu, alors, qu'on a le temps... ? ». Il interpelle violemment Antigone à un moment et « la secoue soudain, hors de lui. » ici, le jeu de scène vient renforcer la violence de ses mots. Il utilise même des jurons et des injures : « bon Dieu», « petite idiote » Toute la scène qu'il décrit, avec sa métaphore filée, constitue une sorte de fable pour illustrer son argumentation, et il veut en tirer une morale, pour persuader Antigone : il s'agit donc d'une sorte

et d'énergie. Il a un regard neuf et critique sur la société. 5 - Ecrite du réalisme - Les effets du réel : détails vrais, évocation de lieux réels, citation d'hommes existants) - la langue parlée : fautes courantes, vocabulaire familier, jurons, argot, expressions populaires.

langagières sont très typées et permettent de souligner l'appartenance des personnages aux différentes classes sociales. Dans  le Médecin malgré lui, les personnes du peuple emploient un langage assez grossier et comprenant de nombreuses exclamations et jurons, comme par exemples : tudieu, peste, fi, diantre, par ma figué, morbleu, parguenne, peste de fou fieffé, peste de la carogne.... Quant aux bourgeois, ils parlent d'une façon plus soignée. Le but de Molière étant de se moquer de la médecine, le langage

il présente la réalité de manière à en dégager les aspects plaisants, insolites et non sérieux comme l’apparence les présente). Ou comique qui naît du langage utilisé (bégaiement, répétitions, interjections). Exemple : le langage de Sganarelle, les jurons populaires, Dom Juan qui imite le langage des dévots, le patois des paysans. - Comique de caractère : vise à démontrer le caractère d’un personnage dont l’attitude est exagérée : Exemple : lâcheté de Sganarelle. - Comique de mœurs : relève

leurs gestes et leur langage: - gestes : " était venu s'accouder ", " rire de poulie mal graissée " (métaphore), " hochant la tête ", " les yeux attendris ", "les camarades ricanaient. La scène semble avoir été observée sur le terrain - langage: juron (" Tonnerre de Dieu ! "), termes d'argot : " le vitriol " (= l'eau-de-vie), " les dés à coudre " (= les petits verres), " ce roussin de père Colombe " (= cet indicateur de police), " un fichu grelot " (= un fameux bavard). Les gestes et le langage

du diable (La Nuit avant Noël). Le philosophe ne se pose pas de question concernant l’existence de la sorcière (Vij). Quand à Ivan Ivanovitch (La brouille des deux Yvan), il reprend sans cesse Ivan Nikiforovitch lorsqu’il évoque le diable dans ses jurons, persuadé que Dieu lui en tiendra rigueur et qu’il lui arrivera malheur s’il continue. Les diables et démons semblent peupler le monde aussi légitimement que les êtres humains et tous s’en accommodent. Le fantastique côtoie le rationnel et l’influence

arrivez à le faire sourire (ça n’est pas gagné pour autant). Faites-vous entendre … et comprendre Parlez suffisamment fort et relativement lentement. Utilisez un langage courant, mais correct (pas d’argot, d’expressions familières, encore moins de jurons, même si la télécommande vous lâche au pire moment) et précis : n’hésitez pas à employer du vocabulaire scientifique si vous êtes sûr(e) du sens (vérifiez quand même que votre auditoire vous suit). Privilégiez les phrases courtes. Votre prestation