Juron

pourtant J’étais triste comme un enfant Les rythmes du train La "moelle chemin-de-fer" des psychiatres américains Le bruit des portes des voix des essieux grinçant sur les rails congelés Le ferlin d’or de mon avenir Mon browning le piano et les jurons des joueurs de cartes dans le compartiment d’à côté L’épatante présence de Jeanne L’homme aux lunettes bleues qui se promenait nerveusement dans le couloir et me regardait en passant Froissis de femmes Et le sifflement de la vapeur Et le bruit

représentation, Molière joue Sganarelle : il semble faire une autocritique (= il critique lui-même son œuvre). C'est une mise en évidence de comique de genèse fictionnelle. Les comiques : le comique de mots : → « vertu de ma vie » : juron utilisé par le peuple Moment où Molière écrivait des farces dans les provinces → jeu sur la polysémie de « cœur », signifie l'amour puis la mémorisation qui insiste sur le fait de jouer un rôle → hyperbole : « dix mille » : rêve de Dom Juan

l’homosexualité et même les accouchements sont interdits. - Les producteurs ne doivent pas aussi montrer un film vulgaire. Les sujets doivent être de bon goût. - Les films ne peuvent pas être obscènes. On retrouve le problème du bon goût. - Les jurons sont même interdits. - La nudité n’est pas permise sauf ‘ dans le cas des enfants innocents de moins de quatre ans’. Le nombril est une partie interdite du corps. - Le domaine artistique de la danse ne doit pas suggérer des actions sexuelles

Moliere avec Dom Juan utilise avec adresse le comique de language et rend ainsi les personnages ridicules. Le spectateur rit face a la parodie du patois paysan (les mots sont deformes, des jurons etranges sont lances…) Mais aussi face au personnage comique de Sganarelle ( <<c'est un spectre, je le reconnais a sa facon de marcher>>) et tenant des repliques decalees ( a la fin de la piece<<mes gages , mes gages>> qui

qu'il me battait. Pourquoi me faisait-il cela ? Pourquoi ne m'aimait-il pas ? Je ne l'avais jamais compris. Et lorsqu'enfin il me lâcha, il m'ordonna de me lever et me tenu par les cheveux avant de me cracher en plein sur le visage. Il m'avait dis des jurons en espagnole et m'avait jeter à même le sol. J'avais tellement mal, je ne sentais plus mon corps. Quand je pus enfin me lever, je lui servit son verre et monta dans ma chambre en gambadant tant bien que mal et je m'avachit sur mon lit en pleurant

les personnages sont avant tout décrits par leurs actes et non par leur portrait physique. M. Roland, le père de famille est un homme âgé [« vieux pêcheur » (incipit)] assez familier et impolis de par ses paroles. Le premier mot rapporté est le juron « Zut ! », il fait ensuite preuve de grande maladresse avec les femmes qui les accompagnent en mer, il critique leur présence. Chez ce personnage, la crédulité est un thème récurrent tout au long du roman (adultère ignoré, il est le dernier a apprendre

indulgence :voler -Ma devise travailler pour manger plus Le questionnaire de Pivot Mon mot préféré:tableau Le mot que vous déteste:maths Le son,le bruit que vous aimer: le bruit des voitures Le son,le bruit que vous détestez:Le polystyrène Votre juron,gros mot ou blasphème favori:con Homme ou femme pour illustré un nouveau billet de banque:ma mère Le métier que vous n'auriez pas aimé faire:prof de français La plante,l'arbre ou l'animal dans lequel vous aimeriez être réincarné:Un lion Si Dieu

Mais elle écoute avec complaisance, elle ne refuse pas le baiser sur sa main et réagit même avec coquetterie: « si j’avais su ça tantôt, je n’aurais pas manqué de les laver avec du son. ». On sent qu’elle fait tout pour éviter les tournures et les jurons de son patois (contrairement à son dialogue avec Pierrot) et écoute avec intérêt ces alléchantes propositions. B) Dom Juan, le chasseur Plaisir de souiller l’union de Charlotte et de Pierrot, alors que ce dernier vient de lui sauver la vie. Non content

termes mélioratifs et de superlatifs : parodie d'éloge d'autant plus comique qu'elle ne  provoque pas  l'effet escompté chez Silvia (à relever ligne 1 à 6)  – assimilation de Dorante à un « mets » ou à un objet : « pardi, tout en sera bon dans cet  homme­là »  l14  – Juron comique : « Vertuchoux » l29  – Ironie : l7 « Délicieuse ! » / « Tant pis, tant pis » l20, « Oui­da, cela est pardonnable » l26  (litote  ironique)      c) Les traits d'esprit (dialogue plein de verve et de subtilité)      – souvent, renversement subtil et humoristique de l'argument opposé

neutre » où peuvent se croiser tous les personnages. Niveau de langue comédie Plusieurs niveaux de langue : soutenu, courant, familier. Le plus souvent, c’est le langage courant qui domine dans l’échange, sauf quand le dramaturge recourt à des jurons farcesques. Dans la comédie en vers, le langage est également soutenu. tragédie Langage soutenu. Pièces en alexandrins. But visé comédie Faire rire, divertir le public. Mais aussi, selon la formule « castigat ridendo mores», faire prendre