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L'intrigue[modifier]À Moscou, en 1905, un groupe de révolutionnaires socialistes projette d'assassiner le grand-duc Serge, qui règne en despote, afin de lutter contre la tyrannie exercée sur eux. Kaliayev, un jeune terroriste, lancera la bombe. Chacun a son rôle, Dora a celui de rester en arrière mais elle a tout de même pris des risques en élaborant les bombes servant à l'attentat. Kaliayev sera emprisonné, la grande-duchesse Élisabeth lui proposera d'être gracié, il refusera et sera pendu. Dora

LES JUSTES, de Albert Camus 1949, pièce de théâtre, XXème siècle Résumé : Dans un appartement, Annenkov, Stepan, Dora, Voinov et Kaliayev appartiennent à un groupe révolutionnaire et projettent de commettre un attentat sur le grand-duc Serge qui règne en despote. Kaliayev doit jeter la première bombe et Voinov doit jeter la seconde. Dora et Annenkov regardent l’événement d'un appartement. Après quelque temps, Kaliayev revient et il n'a pas pu jeter deux bombes car, dans la calèche, se trouvaient

{draw:frame} Journal de bord Introduction : Ce journal de bord est en relation avec le travail fait depuis 8 semaines sur 3 extraits joués de la pièce de théâtre « les Justes » écrite par Albert Camus. Albert Camus est né en 1913 et mort en 1960. Cet homme a eu plusieurs cycles dans sa vie : le cycle de l'absurde avec l'Étranger le cycle de la révolte avec La Peste le cycle de la chute 1er extrait joué : 2ème extrait joué 3émé extrait joué : {text:soft-page-break}

"Les Justes", écrit en 1949 par Albert Camus, est une pièce de théâtre. La première représentation a eu lieue le 15 décembre 1949 au Théâtre Hébertot à Paris. Cette oeuvre raconte l’histoire d’une organisation révolutionnaire, en 1905, à Moscou. Cette organisation est composée de 5 membres : Annenkov, Stepan, Dora, Voinov et Kaliayev. Leur objectif est de commettre un attentat contre le grand-duc Serge, symbole de la tyrannie en Russie. Chacun a un rôle précis : Dora doit rester en arrière et préparer

Les justes – Albert Camus L'intrigueÀ Moscou, en 1905, un groupe de révolutionnaires socialistes projette d'assassiner le grand-duc Serge, qui règne en despote, afin de lutter contre la tyrannie exercée sur eux. Kaliayev, un jeune terroriste, lancera la bombe. Chacun a son rôle, Dora a celui de rester en arrière mais elle a tout de même pris des risques en élaborant les bombes servant à l'attentat. Kaliayev sera emprisonné, la grande-duchesse Elisabeth lui proposera d'être gracié, il refusera

nécessaire de prendre autant de risques et de tuer le Grand-duc Serge par tous les moyens possibles affin d’éliminer définitivement l’autocratie russe? C’est la question que se posent les personnages de la pièce de théâtre d’Albert Camus intitulé « Les Justes » que nous avons lue. A plusieurs reprises, Kaliayev et Stepan se disputent à ce sujet, soit sur le fait qu’il faudrait que quelqu’un se sacrifie pour la révolution ou soit sut la question faut t-il mettre d’autres viens en danger comme les enfants

Boekverslag Scholieren.com Les justes door Albert Camus Michael 1. L’auteur : Albert Camus Le titre : Les Justes L’éditeur : Folio Le nombre de pages : 150 p. 2. Le genre : une pièce de théâtre 3. Un résumé: Le livre décrit une pièce de la vie des terroristes russes. Des terroristes qui font des actes terroristes, c’est à dire commettre des attentats à la bombe à des russes importants et riches avec l’objectif de créer la Russie libre et juste. C’était le jour quand le groupe avait

philosophie. Il reçoit le prix Nobel de la littérature en 1957. Son œuvre la peste, est un roman allégorique qui peut être interprété de multiples façons. La Peste appartient au cycle de la révolte qui succède à celui de l’absurde et qu’inclus Les justes et L’homme révolté publié en 1951. La Peste est publiée en 1947, quelques années après la seconde guerre mondiale, où camus s’engage dans la gauche, voire dans les mouvements révolutionnaires et écrit pour un journal clandestin appelé « combat

impuissance, Lorenzo répond par un pragmatisme sans illusions qui, de manière très moderne, substitue le faire à l'être. Cet « existentialisme » justifie qu'à propos de Lorenzaccio, on pense au théâtre de Sartre (Les Mains sales) ou de Camus (Les Justes). En ce sens le drame de Musset, ancré pour une part dans une certaine Histoire, la quitte néanmoins sur plus d'un aspect pour atteindre l'intemporel, ce qui explique la fortune de la pièce jusqu'à nos jours et la fertilité de ses diverses relectures

les genres (si l'on excepte la poésie) de l'expression écrite. Ses articles journalistiques, au début de sa carrière, ses romans (L'Etranger, la Peste, La Chute), ses nouvelles (L'Envers et l'Endroit, L'Exil et le Royaume), ses pièces (Caligula, Les Justes), ses adaptations (Requiem pour une nonne, Les Possédés) et ses essais (Le mythe de Sysiphe, L'Homme Révolté) lui ont assuré une célébrité que le temps ne dément pas. Le 17 octobre 1957, CAMUS reçoit, honneur suprême, le prix Nobel de littérature