Juste pour rire

de wikipédia concernant l’humour, celui-ci consisterait en un moyen d’expression jouant un rôle essentiel dans l’équilibre de la personne (libèrerait des tensions). Nietzsche affirme ainsi que « l’homme souffre si profondément qu’il a dû inventer le rire ». Mais l’humour peut être employé autre que dans un but ludique en effet il peut avoir un but militant. A noter également qu’il est subjectif, il diffère ainsi d’une culture à une autre, d’un point de vue à un autre etc. I La caricature poussée

deux pays, qui alimentaient «gravement» les histoires de familles immigrées jusqu’aux années quatre-vingt ne font plus école. Elles ont fait place a un traitement plus «léger», plus distancié, moins passionnel. Ce changement de ton — mieux vaut en rire qu’en pleurer ! — a de multiples raisons et implications que je vais tenter d’esquisser dans cet article. Besoin d’humour Plusieurs raisons participent à expliquer pourquoi l’humour s’est fait une place dans les regards sur l’immigration en France

également de la satisfaction car Orgon est puni pour son propre entêtement et vit la même situation que sa mère et que sa femme qui ont essayé de le convaincre plus tôt. Dans la scène entre Audubon et sa mère dans Le Goûter des généraux provoque le rire du spectateur car un général qui est normalement quelqu’un de mature et qui ne doit pas prendre des décisions à la légère se comporte comme un enfant. En parlant des autres généraux qu’il doit rencontrer pour préparer une guerre, il demande à sa mère

se fonde sur l’imitation des Anciens de l’Antiquité, sur la recherche d’un idéal esthétique et humain avec le désir de plaire, en opposition au mouvement baroque (du portugais « barroco »). La comédie est une pièce de théâtre destinée à provoquer le rire par le traitement de l’intrigue, la peinture satirique des mœurs, la représentation de travers et de ridicules. Le divertissement désigne le fait de se détourner d’une action ou d’une pensée de manière non sérieuse faisant passer le temps. En générale

but était de rire au nez des dictateurs via la dérision et des situations comiques. « J’ai fait Le Dictateur parce que je hais les dictateurs »[1]. Charlot est présent dès le début du film, durant le Grande Guerre, le barbier doit utiliser des grenades contre l’ennemi, il en dégoupille une, mais au moment de la lancer, elle glisse dans sa manche puis dans son pantalon, il gesticule dans tous les sens, de façon amusante, jusqu’à ce qu’il finisse par la retrouver et à la lancer juste à temps. Puis

le long du chemin. Pierrot, éclata de rire et se dit, cette fois je ne l'ai pas perdu de vue ce petit malin. Allons voir, ou niche notre petit lutin Malin. Tout en se frottant les mains de joie, Pierrot poursuit le même chemin que le sac rempli de farine et de pièces d'or et arrive au pied d'un arbre. Tout surpris, il se gratte la tête en se demandant, mais ou est-il passé ? Il aperçoit tout a coup, les petits sillons de farine qui s'arrêtent juste devant lui au pied de l'arbre. Pierrot se met

rideau est tiré. La aussi nous assistons à quelque chose que nous ne devrions pas voir : le débriefing après la représentation. Les masques des personnages tombent et le comédien refait surface. La pièce enchâssé n'est pas représentée mais elle est juste évoquer par madame Tschissik ( l 8-9-11). Elle évoque une scène finale d'une pièce dramatique. La didascalie finale de l'extrait indique que les comédiens sont sur scène et les spectateurs encore dans la salle. Joséphine redevient personnage, celui

mort Nazzareno? NAZZARENO : Oui j'en ai peur. GIORDANO : Et bien voilà tu es humain, comme le roi ! Sauf qu'ici il y a, en plus de la peur, la satire et la dimension subversive. C'est une pièce comique, les gens doivent rire de la réaction du roi, alors elle doit être exagérée ! Toutes les apartés sont comiques alors le comportement du roi doit l'être aussi c'est comme ça ! Il faut le mettre en

(193) et il expose par une tirade les nouveaux rapports et l'enjeu de la pièce de façon raisonnée, car la tirade est construite. Cet Arlequin n'est pas aliéné, il comprend très bien les nouvelles règles du jeu. - 2 attitudes opposées d'Arlequin (le rire et le sérieux) II - Les relations entre les personnages - Relations marquées par une grande tension entre les deux personnages (enchaînement des répliques, communication...). On passe de l'insulte (l.88 "esclave insolent") à la moquerie et l'insolence

appris que Hippolyte aimait Aricie se décompose devant le public qui de ce fait est pris a parti. Il en est de meme pour le célèbre monologue d'Harpagon (acte 5 scene 7) de L'Avare a travers lequel Molière interpelle. Si le spectateur réagit par le rire ou la pitié le pari de persuasion et gagné. Le théâtre, fondé sur le dialogque, permet surtout le débat, il sert a l'argumentation et à la confrontation d'idées. Dans les comédies de Marivaux, les scènes argumentatives sont nombreuses. Dans La Colonie