Justice Etranger Camus

histoire ? SUJET 3 : L’État est-il un mal nécessaire ? SUJET 4 : Le pouvoir d’État est-il nécessairement violent ? SUJET 5 : « L’enfer c’est l’absence des autres ». Qu’en pensez-vous ? SUJET 6 : Suffit-il d'appliquer le droit pour que règne la justice ? SUJET 7: « La liberté consiste à ne dépendre que des lois. » Qu’en pensez-vous ? SUJET 8: La nation relève-t-elle de l’utopie ? SUJET 9 : L’athéisme est-il une illusion ? SUJET 10: Le regain de la foi religieuse dans un monde gagné par la

| |Besoin |-Qui a besoin de feu le prend avec la main. | |Bêtise |-La bêtise insiste toujours. Albert CAMUS | |Bien |-Voulez-vous qu’on croie du bien de vous ? N’en dites pas. PASCAL, Pensées.

ont pour sujet un seul épisode de la vie de héros. Les scènes qu’il illustre sont des quêtes mal fondées qui aboutissent à un désastre inévitable. Souvent, les personnages agissent selon leur raison, au nom des principes éternels qui règlent la justice du monde, notamment le respect des morts et les liens du sang. Quant aux dieux, ils interviennent uniquement par l’intermédiaire des oracles. L’idée de destin, qui est très présente chez les Grecs, forme l’ironie tragique, soit l’écart entre le

ayant été reconnue coupable, c'est l'une des premières peine capitale de L'histoire. La sentence est prononcée par l'institution judiciaire à l'issue d'un procès, en l'absence de ce dernier on parle d'exécution sommaire, d'acte de vengeance ou de justice privée. Selon les époques et les régions géographiques, la peine de mort fut et est considérée différemment. A l'origine peine très fortement développée à travers le monde, elle a été discréditée à l'époque des Lumières. Elle est fortement en recul

dit, Mont ne va pas exploiter cette lib en vue de révolutionner la dramaturgie (l’art théâtral). VS Artaud, Vitrac etc… => transition vers ce que vs connaissez mieux : le th du 2e tiers du XX, avec grands noms qu’on a cités tt à l heure : Sartre, Camus… 2) 1930-1949 : théâtre d’idées, théâtre d’engagement De façon gle, th des 30s et de l’Occupation n’est pas avant-gardiste. On a eu les audaces de Jarry, la radicalité d’Artaud, et dans les 30s on revient, pas aux fondam, ms en tt cas à

Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan et à en endosser un à l’européenne, pour voir s’il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d’admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement : libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J’eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m’avait fait perdre en un instant l’attention et l’estime publique : car j’entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie

commune présentée dans les trois extraits ? Que dévoile-t-elle des relations entre les hommes ? 2) Par quels moyens propres au théâtre ces situations et relations sont-elles montrées aux spectateurs ? Commentaire comparé : Jarry, Ubu roi, III,2 et Camus, Caligula, I,8 Dissertation : Le théâtre doit-il dénoncer la noirceur des hommes et du monde ou simplement divertir le spectateur ? Invention : « Parle, nous t’écoutons », ordonne Izquierdo à la dernière réplique de l’extrait. Après un moment de silence

et 6 - Molière, Les Fourberies de Scapin, II,6 - Musset, On ne badine pas avec l’amour, III,3 (extrait) HATIER Annabac 2008 NATHAN Annales 2009 Dénoncer la noirceur des hommes et du monde / La dictature (STG – sept 2006) - Jarry, Ubu roi, III,2 - Camus, Caligula, I,8 - Roblès, Montserrat, III,1 HATIER Annabac STG 2008 NATHAN Annales STG 2010 NATHAN Annales STG 2009 Interprétation ? Création ? (inédit L/S/ES) + (STG nov 2006) - Molière, Dom Juan, II,4 - Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, V,7 - Rostand

d’autres œuvres de Nietzsche, ainsi que dans ce fragment pris de Considérations inactuelles, dans lequel l’auteur oppose la passion 222 221 Montinari, (M.), « La volonté de puissance » N’EXISTE PAS, Paris, Editions de l’Eclat, 1996, p. 107. 222 Camus, (A.), L’homme révolté, Paris, Gallimard, 1951, p. 91. 188 au stoïcisme et à l’hypocrisie, la vraie honnêteté à la moralité ; on ne peut devenir libre que par soi-même, note Nietzsche : « Ou bien, de quelle manière notre oreille est-elle frappée

termes « esprit de décision » et « esprit d’initiative », le ton, et les pauses dans les propos du général dénotent tout de même combien un chef militaire est réticent à admettre qu’un ordre puisse être remis en question. L’article 397 du Code de Justice Militaire punit d’ailleurs l’insoumission. Où donc s’arrête l’obéissance et où commence la liberté décisionnelle du militaire ? Mais comme le rappelle le Chef d’état-major des armées : « in fine, on reste un homme responsable »8. D’ailleurs, il dit