Juvénal Satire

Ce chapitre relate l'entretien de la jeune fille avec le jésuite; c'est l'occasion, pour Voltaire, de dénoncer par le portrait du père Tout-à-Tous l'hypocrisie des jésuites, les créatures de "l'Infâme". Axes d’étude : Le portrait du jésuite, la satire de leur méthode (la casuistique), le malheur de Melle de Saint-Yves. - l'ingénu n'apparaît pas il y a une grande critique du jésuite. - registre satirique puis pathétique Ce texte constitue la dénonciation par le portrait du père tout atout

Le PROCÈS in L'Étranger de Camus: Cha 4 « L'avocat général a dit… aux sommeils innocents. » En quoi ce procès est-il absurde? 1 . UNE SATIRE DE LA JUSTICE: Le combat est inégal, les dés sont pipés: en face d'une machine judiciaire lourde, les témoignages sont inutiles, ils apparaissent dérisoires, faits par de petites gens peu enclins aux subtilités de la conversation, aux usages du monde - Marie, une petite dactylo "sans morale", Masson et Salamano,"un souteneur" § 1et2

l'insistance d'Oronte), mais sur la prétention des mauvais versificateurs. Il espère ainsi décourager le poète de réclamer une sincérité qui ne peut que le blesser. La satire cependant dépasse le cadre de l'anecdote; Alceste finit par donner une leçon de conduite, un modèle à suivre si l'on veut être et rester honnête homme. a) La satire des mauvais poètes vise les gens qui ne composent que pour leur plaisir comme le laissent entendre les vers 365-366 : « Ce n’est qu’aux malheureux qui

môme néant , Jean Tardieu Quoi qu'a dit ? - A dit rin. Quoi qu'a fait ? - A fait rin. A quoi qu'a pense ? - A pense à rin. Pourquoi qu'a dit rin ? Pourquoi qu'a fait rin ? Pourquoi qu'a pense à rin ? - A' xiste pas. Ce texte est une satire de la poésie, il n’a aucune métrique logique même si tous ses vers sont impairs se qui est rares, et le vocabulaire utilisé ne correspond pas aux idées que l’on se fait sur un poème. Pique au Lyrique, Jordan Le Roux & Charles Frion Ouech, yo

parodie de procès (Cf. le loup et l'agneau) LF montre que la force insuffisante des raisons trouvées aisément : compensée dans la raison de la force. Il n'y a pouvoir des mots que parce que les mots sont les mots du pouvoir. conclusion : Satire ironique de la cour= image négative: force prime sur le droit + intérêt des dominants prévaut sur droits des dominés. lieu d'apparences et de mensonges, d'hypocrisie et de flatteries, parole pestiférée et viciée. La peste pas seulement maladie

| | |Je vous jure, encor est-ce à mon corps deffendant. (=défendant) | | |Mathurin Régnier, Satire XV, 1614. | | (Saint-Amant (1594-1661) Lisez le poème suivant et trouvez son titre parmi ceux proposés. (Un indice : Le titre pourrait être aussi

etc... A cela s’ajoute une satire, la satire des classes privilégiées, déjà on a les courtisans, la noblesse puis la bourgeoisie des affaires et les gens d’église. On a les procédés de la satire: la critique n’est pas automatiquement satirique; elle est lorsque sa formulation tend à discréditer ou ridiculiser ce qui est attaqué. La satire est inhérente aux procédés qu’elles utilise: _ ’apostrophe moral, la formule frappante et l’humanisation des animaux. La satire sociale des thèmes satiriques

rien à l’action, rien de nouveau pour la compréhension du spectateur. Il marque juste une pause et permet au célèbre valet de nous donner ses sentiments, croyant sa femme Suzon infidèle. Il permet à l’auteur d’appuyer sa critique de la société, sa satire de la société en dénonçant l’attitude des nobles. S’il est vrai que cette pensée verbalisée peut suspendre un moment l’action, la résumer, la commenter, elle est parfois le cœur même de l’action. C’est le cas du monologue de Cléopâtre, qui laisse

Puis il fait allusion à Napoléon III V 26 : « vive l’empereur ! et vive le salaire !… » Antiphrase Le poète s’oppose clairement au régime de Napoléon III et utilise l’ironie pour le faire comprendre aux lecteurs . III . Une violente satire 1) Une satire générale Chaque catégorie sociale a le droit à des reproches Il organise sa pensée par strophe § 1 : Les courtisans , charges assez précises, le fait de les appeler courtisans connote le reproche. V 4 : terme religieux « apostats »

"s'accommodent très bien du faux" comme l'a montré l'histoire de la dent d'or. Rien ne vaut mieux qu'un petit miracle pour renforcer la croyance des foules dans la bonté et la puissance de Dieu. Ainsi, on trouve déjà chez Fontenelle cette satire de l'exploitation religieuse de la superstition populaire par les théologiens que l'on retrouvera fréquemment au XVIII° siècle, notamment chez Voltaire (on pense par exemple au chapitre de Candide sur le tremblement de terre de Lisbonne).