Juxtaposition

(1749-1848), la Bovary de Flaubert (1821-1880) en sont des exemples. Mais comment le romancier s’y prend-il ? Selon Bergson, il arrive à l’individualité en juxtaposant les détails, c’est-à-dire finalement en juxtaposant les mots. Cette idée de juxtaposition signifie donc que les mots restent extérieurs les uns aux autres et que par conséquent, elle laisse entendre que le romancier ne peut par cette méthode y arriver que par un travail infini. On pourrait même comprendre par là pourquoi finalement

qui témoignent de l'intensité de l'amour : succession de couleurs oxymoriques : " je rougis, je palis " egalement d'assonance en « i » La juxtaposition qui met en relief le passage d'une extrémité à l'autre, et la puissance du regard ; à la fois amour et signe de la honte (la rougeur du visage). A la vue d' hypollyte elle semble perde ses sens (juxtaposition de manifestations) 275 « je ne voyait plus, je ne pouvais parler ». puis le vers 276 est temoin d'une manifestation oxymorique cette à dire

à réfléchir sur la valeur morale du triomphe des Rougon en même temps qu’il prépare le destin des personnages de la saga à venir. Quelle est la portée symbolique de cet épilogue ? I. Un épilogue duel : Zola, par le biais d’une juxtaposition saisissante, construction en diptyque, révèle la dualité qui fonde le roman. Le triomphe des Rougon repose sur un crime. 1. L’exécution sordide de Silvère : A) Une exécution sommaire : L’exécution se fait sans aucune

revanche de sa volonté. • Structure du texte Les quatrains et les tercets, s’ils sont distincts, ne s’opposent pas. ‒ Les deux quatrains, ramassés sur un jeu de deux rimes embrassées (-oie et –dure), exposent, par juxtaposition et coordination, les effets de la passion. Juxtaposition et coordination sont soulignées à l’attaque des vers dans le second quatrain : « Tout à un coup » (v.5) et « Tout en un coup » (v.8). ‒ Les deux tercets condensent l’expérience amoureuse (« Ainsi Amour inconstamment

représente un portail vers un autre royaume de la réalité. Les auteurs surréalistes utilisent aussi souvent la juxtaposition, en mettant en contraste des choses que personne ne s'attendrait à voir l'une par rapport à l'autre. Par exemple, un auteur peut comparer un objet comme une chaussure ou une pastèque à un marteau ou un grattoir à glace. Ces œuvres mettent souvent l'accent sur la juxtaposition des rêves ou de la vie imaginaire d'une personne et de la réalité dans laquelle elle vit. Lorsqu'un livre

adjectifs qualificatifs mélioratifs, hyperboles Expressions : « quoi que dans un âge un peu avancé »l 2 Subordonnée conditionnel : L 11 « si quelqu’un… » c. Les caractéristiques d’une description. Énumération : « par » l 1, juxtaposition Adjectifs qualificatifs (citez des exemples) 2) Les hauts personnages de la cour a. Des personnages de haut rang : Duc de Nevers, prince de Clèves, le Vidame (responsable, administrateur d’un territoire soumis à la direction d’un

c’est pour suggérer une souffrance et une monstruosité qui ne peuvent se transmettre, que Robert Antelme use d’un style nu fait de raccourcis et de juxtapositions. « Leur fureur était leur lucidité ; notre horreur, notre stupeur étaient la nôtre. » La syntaxe est réduite à sa plus simple expression, dépouillée de subordonnées et axée sur la juxtaposition. L’alternance, du on, du nous et du je, sert à prouver que tous les détenus subissent le même sort. Plus qu’à la dépersonnalisation, le système concentrationnaire

impressionnistes. En utilisant les plus récentes recherches dans le domaine de l’optique et plus particulièrement les travaux menés par le chimiste Eugène Chevreul, les impressionnistes réussissent à faire ressortir l’intensité des teintes, par la juxtaposition de couleurs mises côte à côte. Cette profusion de couleurs choque d’ailleurs le public de l’époque qui accuse les artistes de peindre directement avec les tubes de peinture sans utiliser de pinceaux, ce qui est faux. L’impressionnisme est aussi

moins par provocation que par choix esthétique, essentiellement au nom du réalisme. III-Juxtaposition et contrepoint En convoquant le rire et les larmes, les dramaturges romantiques ont permis à leur théâtre d'être le lieu des émotions et des passions. Les sentiments s'y expriment dans leur complexité, leur violence et leur excès. Hugo, Dumas ou Musset tirent de ce mélange ou de cette juxtaposition du tragique et du comique des effets particulièrement saisissants qui renouvellent l'approche

: une cascade de mots déversés sans souci de la syntaxe. L'expression correcte en français est gestion des relations avec les clients4. En effet, le mot « client » n'étant pas un adjectif ne peut qualifier le substantif « relation » par simple juxtaposition. Quant à la suppression des mots de liaison « avec » et « les » (relations avec les clients) c'est une faute appelée parataxe. L'emploi du singulier au lieu du pluriel est également critiqué puisqu'il existe plus d'un client et plus d'une relation