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insuline et les personnes obèses développent une résistance à son action. Le taux de glycémie ou de sucre dans le sang est alors constamment élevé, ce qui provoque le diabète. L'obésité peut également aggraver le diabète insulino-dépendant (diabète de type 1). On estime qu'une personne obèse a deux fois plus de risques de souffrir de diabète que les personnes dont le poids est normal Maladies cardiovasculaires Certaines études ont démontré que les maladies cardiovasculaires étaient plus nombreuses chez

caractérise les diabètes de type 1 ; les diabètes de type 2 sont liés à des désordres du fonctionnement de l'insuline. Les diabètes de type 2 sont les plus fréquents : plus de 80 % des diabètes, et ceux dont l'augmentation de l'incidence est la plus rapide. Cette augmentation est variable en fonction des pays et en relation avec l'évolution du mode et du niveau de vie. En France métropolitaine, la prévalence qui était de 2,1 % dans la population adulte, soit 1, 5 millions de personnes en 1995, est

Chapitre 2 :Les phénotypes diabétiques Comment expliquer le dysfonctionnement de la régulation de la glycémie chez les individus diabétiques ? I)Deux grands types de diabète(activié1 : différentes formes de diabètes) 1)Le diabète insulino-dépendant (DID) Ce diabète moins fréquent affecte les sujets jeunes et se manifeste par hyperglycémie, une glycosurie, une maigreur malgré un apport alimentaire suffisant…L’observation de coupe pancréatique révèle chez eux l’absence des cellules béta

type 1. Dans le diabète de type 2, l’insuline n’est pas produite en quantité suffisante pour satisfaire aux besoins. De plus, ce peu d’insuline fonctionne moins bien : les cellules résistent à son bon fonctionnement. Cette forme de diabète se développe progressivement et les inconvénients ne se font pas sentir immédiatement. De ce fait, le diagnostic intervient souvent très tard, au moment où apparaissent déjà des complications. Risque très élevé: 5 % de la population en général, soit 1 personne

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Le diabète type 1 Le diabète est une maladie chronique auto-immune, qui se caractérise par un excès de sucre dans le sang. Le taux de sucre, appelé aussi glycémie doit être inférieur à 1,26 g/L et est inférieur à cette moyenne chez les personnes souffrant de diabète. Il en existe deux sortes ; dans le cadre de notre étude, nous allons donc nous pencher sur l'étude du diabète type 1. Ce diabète, appelé aussi « insulinodépendant » résulte d'une inaptitude du pancréas, qui ne secrète plus

La spectacularisation du sport constitue-t-elle une menace ? Je pense que la spectacularisation du sport n’est pas une menace mais bien au contraire une évolution positive pour le sport. Il évolue avec le temps et se calque sur la demande du spectateur, et le spectateur ne demande pas de voir seulement une rencontre sportive mais un spectacle. Le spectateur ou le supporter souhaite voir de plus en plus de but, des combinaisons de plus en plus spectaculaires, au finale il souhaite se divertir

hygiène Lors de mon stage dans un collège, j’ai pu observer une glycémie capillaire d’un élève e par l’infirmière diplômé d’état scolaire. L’élève est âgé de onze ans, actuellement en 6 ème, il est diabétique depuis peu, c’est un diabète de type 1(insulino-dépendant).Son diabète a été descellé pendant les vacances scolaires. L’enfant ne se sentant pas prêt à faire ses contrôles seul, les parents ont demandé à l’infirmière de lui faire. Il est 10h10, c’est la récréation, l’enfant arrive à l’infirmerie

presque plus, d'insuline, il s'agit d'un diabète qui doit être traité par de l'insuline dès son apparition, car dans ce cas les comprimés ne parviennent pas à obliger le pancréas à fabriquer davantage d'insuline. Ce diabète est appelé diabète de type 1 ou diabète insulinodépendant car la vie du diabétique dépend d'injections d'insuline. Comme malheureusement l'insuline est digérée lorsqu'on l'avale, il faut utiliser des injections sous la peau de manière à éviter le passage par l'estomac. Le nom de

patient atteint de diabète de type 1 sévère en 2004, l’unité Inserm 859 "Biothérapies du diabète" dirigée par François Pattou (Université de Lille-Nord de France, CHRU de Lille) vient d'annoncer deux nouvelles avancées. Pour la première fois, l’équipe lilloise démontre la survie et la fonction des cellules pancréatiques greffées par simple injection dans le muscle, explique l'Inserm. Peut-être bientôt une alternative aux injonctions d'insuline Le diabète de type 1 est lié à la destruction des cellules