Kant Autrui Insupportable

la vie avec sa cargaison de gènes... 441 ...un vieux miroir magique que son arrière-grand-mère avait acheté à une gitane... 24. Le siècle des Lumières ...delà manière de fabriquer une aiguille jusqu'à la manière de fondre des canons... 338 25. Kant ... le ciel étoile au-dessus de ma tête et la loi morale en moi... 358 26. Le romantisme 377 ... c'est vers l'intérieur que va le chemin mystérieux... 14 LE MONDE DE SOPHIE 3î. Freud ... ce désir inavouable et égoïste qui avait surgi en elle

Art. 3 : Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément. Art. 4 : La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de borne que celles qui assurent aux autres Membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la Loi. Art. 5 : La Loi n’a le droit

p. 13). Sans entrer dans le détail de ces analyses, on peut en résumer le propos en disant que la tentative de fonder l’éthique sur la rationalité, supposant la reconnaissance de maximes universelles par une rationalité elle-même universelle chez Kant, aussi bien que l’exigence empiriste de ramener toute proposition au monde sensible et à déclarer impossible la déduction du prescriptif à partir du descriptif chez Hume, c’est-àdire de la morale à partir du monde sensible, ont oblitéré la référence

côté de la barricade existentielle – versant idéal ascétique. Le commerce d’arrière-mondes sécurise celui qui les promeut, car il trouve pour lui-même matière à renforcer son besoin de secours mental. Comme bien souvent le psychanalyste soigne autrui pour mieux éviter d’avoir à s’interroger trop longuement sur ses propres fragilités, le vicaire des Dieux 39/518 monothéistes impose son monde pour se convertir plus sûrement jour après jour. Méthode Coué... Cacher sa propre misère spirituelle

physiques : retournées contre soi-même (mutilation, suicide), retournées contre le ou les auteur(s) des violences symboliques. Ex : tutoiement des forces de l’ordre à l’égard de jeunes issus de l’immigration, problème du contrôle au facies. C’est refuser à autrui les égards auxquels il aurait normalement droit. Cela peut aussi valoir dans le monde du travail (cf. Orange, Renault). De plus, la cause apparente de la violence physique n’est pas forcément la cause réelle, cela peut être lié justement à la violence

d’autorisations et de devoirs. (Mais par ailleurs, ils n’hésitent pas à supprimer sans état d’âme ce « droit de respirer » lorsqu’il s’agit de punir quelqu’un ou un pays.) Les légalistes et autres supporters des Droits de l’Homme se réclament volontiers de Kant : grâce à sa raison, l’homme qui se plie volontairement à 6 la loi morale y gagne en liberté intérieure ; il n’a plus de souci à se faire puisqu’on a pensé pour lui (c’est la grande liberté du soldat de deuxième classe rampant sur un champ de

une guérison assurée. 25On peut aussi dire la vérité, et dans toutes les circonstances parce qu’on croit en un Dieu, quel qu’il soit, et que l’on obéit à son commandement interdisant tout mensonge. En matière de morale, certains philosophes – dont Kant – pensent de même et supposent que ne pas dire la vérité une seule fois, c’est rendre impossible la confiance tout le temps. Pour qu’une croyance en l’autre soit possible, il faut qu’il ne mente jamais. Cette position ne souffre aucune exception.

et son fondement métaphorico-métonymique .....................81 L’actualisation de l’essence des choses dans un moment de lecture ...................................................84 Développement du concept de phénomène sous la plume d’Emmanuel Kant......................................86 Schopenhauer et le pouvoir de séparer le phénomène de l’idée ..........................................................87 LECTEUR DE SOI ......................................................................

de la nature. Il fonde une cosmo-théologie qui englobe l'homme et lui ménage sa place dans l'univers. La portée de cette polémique est la suivante : Pascal dénonce l'auto-fondation du sujet moderne dans la pensée, c'est pour lui intolérable, insupportable, car c'est une position métaphysique intenable : elle instaure un gouffre ontologique, une déchirure entre, d'un côté une pensée, et de l'autre la matière, le monde. Ce qui est flagrant est que Dieu est inopérant. Pascal appelle à un retour

qu’une anxiété persistante est mauvaise pour la santé : il faudrait, paraît-il, que ses émotions correspondent à son « vécu immédiat » ; une anxiété persistante serait un « sentiment parasite » qui « grignote son capital émotionnel », un « coût insupportable pour son organisme ». En résumé, si le monde et la société laissent Élodie indifférente, c’est une mauvaise citoyenne, et, si elle se fait du souci, c’est pathologique ! Le naturalisme à notre secours Être inquiet pour le monde est à la fois