Kant Croyance Et Raison

de former son propre jugement sans se contenter de suivre l’opinion commune. Penser par soi-même revient donc à rompre avec les croyances et les certitudes de l’opinion pour faire usage de sa raison, ce qui n’est pas sans danger, comme nous le rappelle la vie de Socrate. Mais, à moins d’inconscience, si quelqu’un juge bon d’adopter une attitude c’est qu’il a des raisons de le faire, qu’il est conscient des enjeux qu’elle comporte. Quels sont alors les dangers liés au fait de penser par soi-même

L’expression de la croyance républicaine française chez Durkheim Durkheim fin 19ème et début 20ème. 2.1. L’éducation comme transmission de la conscience collective de la société. « Que doit être l’école, que doit être la classe ? (…) La société est, avant tout, une conscience : c’est la conscience de la collectivité. C’est (…) cette conscience collective qu’il faut faire passer dans l’âme de l’enfant » ; « l’éducation a, avant tout, une fonction collective (…), elle a pour objet d’adapter

La croyance religieuse est-elle nécessairement en conflit avec la raison? "Dieu est mort". Ces mots de Nietzsche signifie que désormais la civilisation humaine ne repose plus que sur des croyances religieuses. "croire" se définit par opposition à "savoir". Tout ce qui échappe au savoir rationnel peut être objet de croyance. Quand à la raison, elle est définit comme une faculté de l'Homme dont la mise en oeuvre lui permet de fixer des critères de vérité et d'erreur, de discerner le bien du mal

Par la raison, il faut entendre la raison scientifique. Autrement dit, la science limite t-elle la croyance, c'est à dire la religion ou est-ce le contraire ? Ou alors ces deux domaines sont-ils indépedants l'un de l'autre ? ** Plan : I - Un savoir suppose que les connaissances soient démontrées. C'est le contraire de l'illusion, du préjugé, de la croyance. Le fait doit pouvoir être confirmé par l'expérience. Il semble donc que la savoir, la connaissance scientifique exclue la croyance, les superstitions

il faudrait adopter un pdv universel. (DDH) qui est la RAISON = forme de d’idéal de nature humaine sur lequel les DDH sont fondés (Kant : distingue la culture, la civilisation et la morale. Cultivé c’est être instruit et chaque culture développe des savoirs spécifiques) Civilisé c’est respecter les règles communautaires et chaque culture a ses règles et ses valeurs. Etre moralisé, c’est agir en appliquant les règles universelles de la raison qui font l’unité des humains. Est-ce qu’à l’intérieur

vie en société est rendue possible selon une organisation rationnelle qui vise la paix civile et surtout la justice. Morale : Référence au Bien, volonté de combattre la Mal. « Exigence inconditionnelle de la raison de traiter autrui tjrs comme une fin et jms simplement comme un moyen » (Kant). Justice : (2 sens) sens moral : reciprocité (pas faire aux autres ce que l’on ne veut pas que l’on nous fasse). Sens polit : bonheur doit revenir à tout le monde et non à une classe>>empêcher toute

l’individu) Modernité = émancipation cad que le sujet n’est plus ds un rapport docile avec l’autorité mais cherche des justifications. Pour Kant aussi le concept clef des Lumières c l’émancipation. « Les Lumières c la sortir de l’homme de l’état de tutelle dont il est lui-même responsable ». Sapere audere = Ose te servir de ton entendement (devise des Lumières selon Kant). Ce texte est un texte de défiance vis-à-vis de la religion. En arrière plan de ce texte, il y a l’écho de la Réforme luthérienne. L’individualisme

CM1 Théorie sociologique : Emile Durkheim et l’école française de sociologie I) Cadre historique et biographique - 1858/1917 Durkheim - Son œuvre et son émanation sur le plan philosophique et sociologique est  promu par la IIIrépublique , au travers des lois de l’enseignement - Période historique marqué par l’instauration de la IIIrépublique , il faut comprendre

1. PRÉSENTATION Critique de la raison pratique [Kant], ouvrage de Kant, paru en 1788. Après la Critique de la raison pure qui a mesuré les pouvoirs et circonscrit le domaine propre à l’exercice de la raison théorique, la seconde Critique présente la philosophie pratique de Kant, et s’attache à démontrer que si l’usage théorique de la raison est limité par les objets de l’expérience, son usage pratique lui ouvre en revanche un champ d’application illimité : celui de l’action morale comme pratique

extérieure. Cette conviction intérieure est donc profondément ancrée en chacun de nous. Cependant, la liberté ne serait-elle pas une illusion ? Ou pour le dire autrement, le fait de se sentir libre n’est-il pas susceptible de ne renvoyer qu’à une croyance illusoire ? Le sentiment immédiat de notre liberté est-il vrai, c’est-à-dire renvoie-t-il à une véritable connaissance de soi-même ? Nous tenterons, tout d’abord, d’évaluer la pertinence et les limites du sentiment spontané de liberté, commun à tous