Kant Et La Tutelle

multi-continental (Alaska en Amérique, veulent une partie de la Chine en Asie, veulent une partie de l’empire ottoman en Europe, … ) Niveau idéologique : Les penseurs, du siècle des lumières, influencent profondément les révolutions (J-J Rousseau, Kant, …) Thomas Jefferson : - Inventeur, parle plusieurs langues - À une grande ouverture d’esprit pour son époque - À l’idée de la séparation des pouvoirs (judiciaire, législatif et exécutif) - Il met en place les BREVETS - Utilise sa raison, sa rationalité

droit, est totalement indifférent. Le droit ne prend pas compte des intentions. Exemple : Le mariage naturalisant. -Les sources du droit serait distinctes des sources de la morale. Le droit est un commandement de l’Etat. Et on transcrit souvent que Kant disait que la morale est autonome c’est-à-dire que chacun se donne sa propre morale, alors que le droit est hétéronome. Il y a des morales extérieures, par exemple la morale de nos parents. Il y a des textes qui imposent des textes de morales : « 

que la paix soit durable il faut instaurer une institution, un tribunal international qui réglera les conflits. -Emmanuel Kant élabore projet de « paix perpétuelle », réalisation d’un système de construction générale des nations qui va se fonder sur le citoyen. Il prévoit une fédération républicaine d’Etats librement unis, alliance horizontale et non verticale. La paix de Kant est définie, c’est un état juridique et pas absence d’hostilité. - GEORGES veut former une république des peuples. -GENTZ

peintre sont deux choses bien distinctes : il suffit de contempler Napoléon sur le champ de Bataille d’Eylau d’Antoine-Jean Gros (exposé au Louvre), ou Guernica de Picasso, pour s’en convaincre. Hegel fait donc écho, sur ce point, aux analyses de Kant, qui notait déjà, dans sa Critique de la faculté de juger, : « Une beauté naturelle est une belle chose, la beauté artistique est une belle représentation d’une chose », quelle que soit, par ailleurs, sa beauté ou sa laideur naturelle. Ainsi que l’illustre

la philosophie à la théologie, mais elles sont validées jusqu'à un certain point dans leur prétention à la vérité. Ainsi légitimée, la raison humaine ne va pas se satisfaire de son rôle de servante, elle va progressivement s'émanciper de la tutelle religieuse. Un deuxième procès illustre l'histoire des relations conflictuelles entre philosophie et religion, celui de Galilée au XVII ème siècle, condamné par le tribunal de l'Inquisition pour avoir affirmé la vérité physique de l'héliocentrisme

à ds regles, il y a deux type de regle aux kels l'etat doit se soumettre, drt primaire donc ls clauses du traité, et l etat peut etre soumis au drt derivé donc ds actes pris en vertu du traité. L'obligation de l etat au drt primaire c pls frequent ,kant aux obligations au drt derivé c assez rare en pratique, car ça met en cause la souvrainté. dns le premier cas c l etat ki a decidé d adherer or celui ci ne viens pas de l org. -ls sanctions : vont dependre ds clauses du traité, elles peuvent etre de

progrès et inscrit son objectif dans l’histoire de l’humanité en général. ← Condorcet écrit par exemple Esquisse d’un tableau historique des progrès humains, ouvrage dans lequel il inscrit la notion de progrès au cœur de l’humanité. ← Emmanuel Kant (penseur de l’Aufklerung, Les Lumières en Allemand) écrit l’Idée d’une histoire universelle du point de vue cosmopolitique où il affirme que toute l’histoire des hommes est orientée vers la liberté rationnelle de l’individu (arriver à l’autonomie d’un

patrimoine). §2 : Des personnes aux « droits de la personnalité » Les droits de la personnalité sont une création jurisprudentielle du XIXème siècle et surtout du XXème siècle. Ils sont, à l’instar des droits de l’Homme, issus du courant philosophique (Kant) centré sur l’individu qui conduisait déjà les théologiens du XVIème siècle à considérer la vie, l’intégrité corporelle, la tranquillité spirituelle, l’honneur et la réputation comme des biens intrinsèques de la personne. A partir de la fin du XIXème

– de parler d'un avenir de l'éducation dont aucun tenant des deux autres références n'est à même, pas plus d'ailleurs qu'il n'est en droit, de contrôler le discours. 1.  Les éducateurs philosophes La liste des « grands philosophes », de Platon à Kant, recoupe d'assez près celle des grands pédagogues. Cependant, l'écart entre les deux listes, joint à l'incertitude même de la désignation et du statut social du « philosophe », laisse apparaître un flottement instructif : théologiens et pasteurs d'âmes

sont des a priori acceptés sans objection, sans analyse, en renonçant à la dialectique, même si elles n'appartiennent substantiellement à aucun de ceux qui les subissent. L'impératif catégorique de l'industrie culturelle, à la différence de celui de Kant, n'a plus rien de commun avec la liberté. Il dit : tu dois te soumettre — sans préciser ce à quoi il faut se soumettre ; te soumettre à ce qui de toute façon est, et à ce que tous pensent de toute façon ; te soumettre comme par réflexe à la puissance