Kant Et Obéissance

et maîtres de nos choix. C'est ici que se situe le problème. Nous ne nous rendons pas toujours compte que notre style de vie et notre façon d'agir sont influencés par toute une série d'éléments. Nous risquons parfois de commettre l'impensable par obéissance. Mais quels sont les réels dangers de cette soumission à l'autorité ? Par définition, être libre signifie pouvoir agir et choisir en toute conscience, faire des choix et les réaliser sans contrainte. Face à la liberté, nous éprouvons un sentiment

orientation un but, un sens et la motivation à la moralité. L' Homme n'est plus morale par peur de subir le même sort que celui qui souffre mais devient morale car il comprend que c'est une exigence de sa raison. la loi morale kantienne Pour kant, il existe une loi morale objective connue par la raison. cette loi morale nous oblige a certaines choses et nous retiens d'autre par sa simple exigence. la loi morale est un impératif (un commandement de la raison) catégorique : « agis de telle façon

libre-arbitre. Decarte disait que c'était la principale perfection de l'homme parce qu'elle rend l'homme mettre de ses actions. C'est certainement Kant qui va mettre en place et réfléchir profondément dans cette perspective cette liberté comme une idée transcendantale, c'est-à-dire que c'est l'idée qui motive mes actions. L'homme est libre dit Kant, c'est-à-dire que l'homme est responsable de ce qu'il fait. Il ne peut pas se dégager derrière des excuses. La liberté demeure pour lui un moyen d'agir

" L'homme ne peut devenir homme que par éducation. Il n'est que ce que l'éducation fait de lui" Kant souligne ainsi quand nous sommes pas humain sans une éducation , celle ci nous donne le nécessaire pour survivre. Mais alors qu’est ce qu’une éducation réussie? , celle nous donnant tout le nécessaire pour survire? Nous verrons donc dans une première partie quel est le but les objectifs de l’éducation. Puis dans un deuxième temps nous étudierons différents moyens d’y parvenir qui soulèvent d’autres

l’école du droit naturel ont une conception contractualiste de l’Etat (et, par extension, du droit), bien que leurs théories du contrat soient très différentes (Hobbes, Locke, Rousseau). Jean-Jacques Rousseau 1712-1778 Impé ratif caté gorique de Kant : o « Agis de telle sorte que tu puisses également vouloir que ta maxime devienne une loi universelle ». Est-ce que tout le monde pourrait faire la même chose que moi. o Jonas se demande quel est le statut du « que tu puisses » : Jonas dit que ce pouvoir

l’interdiction morale du meurtre a pour fin d’éliminer les conduites meurtrières chez les hommes. Toute règle définit donc un certain nombre de devoirs auxquels les individus doivent se soumettre. De ce point de vue, la moralité est d’abord une obéissance. La deuxième propriété de la morale est que ses règles portent virtuellement sur tous les domaines de la vie. La vie sociale comme la vie individuelle. Ex. : parmi les devoirs moraux qui concernent la vie sociale, il y a les devoirs moraux

entre l’être et le paraître (le devoir-être) est une valeur inconnue qui est composé de normes. Normes juridiques : Immanente : Sanction de sa méconnaissance de la norme est prononcée de suite. Morale : Sanctionne des comportements extérieurs [Kant (philosophe) parle de comportements inferio.] Elle sanctionne l’intimité, le remord et le mensonge Normes constitutionnel : Norme qui confirme la validité des normes qui suivent Sur quoi se fonde alors la constitution ? Source objective ? Il existe

l'Homme et non pas liée à l'éducation est l idée la plus la + classique en philo et la + répandue. Selon les auteurs , cette connaissance innée viendrait plûtot de la raison en l'Homme ou plutôt pour certains de l'émotion du sentiments. Ainsi selon Kant, la conscience morale serait une connaissance spontanée de la loi morale. Ainsi chacun à parti de l'âge de la raison serait capable de repérer ce qui est bien ou mal simplement en écoutant la voix de sa conscience. D'autres auteurs comme Rousseau

c'était plus efficace; c'était plus amusant. Toujours est‑il qu'en vertu de cette habitude un périodique allemand, la Berlinische Monatsschrift, en décembre 1784, a publié une réponse à la question : Was ist Aufklärung [1] ? Et cette réponse était de Kant. Texte mineur, peut-être. Mais il me semble qu'avec lui entre discrètement dans l'histoire de la pensée une question à laquelle la philosophie moderne n'a pas été capable de répondre, mais dont elle n'est jamais parvenue à se débarrasser. Et sous

le type de conviction qui lui tient à cœur de façon suffisamment différenciée pour exclure tout fanatisme et intolérance. Ainsi comprise, la laïcité n’est pas de l’ordre d’une notion spirituelle, mais constitue une condition de possibilité de ce que Kant appellerait un cadre transcendental. La laïcité n’est neutralité et réserve qu’en raison de l’esprit de concorde principielle qui la définit positivement. Comment « vivre les différences » sans renoncer au partage des références communes ? Le pluralisme